chronique d'Aya: mon mariage forcé!

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•Partie 29•

• ça parle, parle, parle, sans me connaître •

Dans la peau d'Ayssin:

On allait rentrer à la maison vu que les heures de visite étaient fini mais la machine d'Aya s'est mise à sonner.

Moi et maman on se regarde, puis j'ai appuyé sur le bouton rouge pour alerter les infirmiers.

On dirait qu'ils savaient déjà, vu qu'ils étaient déjà plusieurs à rentrer.

L'infirmière : je vais vous demander de sortir s'il vous plait!!

On sort sans rien rajouter.

J'étais vraiment stressé. Je veux pas qu'il lui arrive un truc. C'est ma moitié comme même !

On les voyaient sortir et rentrer. On avait chargé de prévenir les autres de ce qui se passait.

Maman: c'est trop stressant pour moi..

- assis toi maman!

Je l'aide à s'asseoir. Elle avait l'aire tellement fatiguée.

Je m'assois à côté d'elle.

Après quelques minutes, il y a une infirmière qui vient nous voir limite en courant.

L'infirmière : madame je vais vous demander de signer ces papiers rapidement, nous sommes dans l'obligation d'opérer votre fille • nous donnant des fiches avec un stylo• le coeur de votre fille est devenue vraiment fragile. Si on l'opère pas, elle ne pourra pas vivre dans les heures qui suivent. Elle est actuellement réveillé mais à du mal à respirer!

Maman: on peux la voir?! •les larmes aux yeux•

Infirmière : je suis vraiment désolé mais on va la préparer pour l'opération !

Maman signe la feuille en tremblant.

On les voit sortir avec elle. Elle avait son masque sur le visage et les yeux ouverte. Elle était toute pâle, grisé et avait l'aire vraiment fatigué.

On se précipité directement vers elle.

Maman: Aya tu m'entends?!

Infirmier: madame s'il vous plait!

Il quittent rapidement notre étage en prenant l'ascenseur pour aller au sous sol.

Point de vue extérieur :

La mère éclate déjà en sanglots et Ayssin essayait de la calmer.

De l'autre côté, on préparait Aya pour l'opération. On avait du mal à l'anesthésié, vu qu'elle venait de se réveiller de son coma.

Situation qui ne plaisait pas tant que ça aux médecins.

Médecin: bon sang, on va la perdre!