Je m'eveillait le lendemain avec une migraine conséquente, je remarquait l'absence d'Aloysse, le chat noir de la veille, cependant il m'avait remercié par un petit cadavre de serpents sur le bord de la fenêtre. Je m'agenouillais près du sac dont j'avais répandu le contenu hier. Le contenue en question se composait de deux chemises de lin, d'un pantalons marron et d'un autre de cuire souple noir, de sous-vêtements noir et de deux pulls d'une sorte de cachemire, il y avait également un tissus plié en petit carré de 5 sur 5, le tous maintenus par une cordelette. Je défi la corde et dépliait se que était enfaite en grande cape a capuche noir. Il y avait également une ceinturé quoi que harnet serait plus exacte. Le harnet était équipée de plusieurs pochettes et notamment d'un emplacement spécial et sur mesure pour le carnet, en parlant du carnet, je l'ouvrit mais rien de nouveau ni était inscrit.... je poussait un soupire et ramassant une chemise blanche et le pantalon noir je me dirigeait vers la salle de bains, la glasse me renvoya le mon reflet et je ne trouvais aucune trace d'oreille féline ou d'autre caractère non humain. Je laissait les vêtements dans la salle de bains et, après avoir constaté qu'il n'y avait pas de robinet, partie dans le salon afin de faire chauffé de l'eau dans la cheminé.
Ma mains me rappela a la réalité lorsque je pris le tisonnier. Lorsque je retournait dans la salle de bains et versait l'eau dans la baignoire, un frottement contre ma jambe me fit baissé les yeux, aloysse se sauta sur le bord du lavabos et s'assit en me regardant de ces yeux vert mis-clos, il tenait dans sa gueule la tête d'un serpent noir dont le corps se tortillais dans l'espoir de s'échappe. J'échangeais un regard avec aloysse, je pris un pot, je le plaçait sous le serpents, aloysse se pencha, fit entré le corps dans le pot et se prépara a lâché et a se retiré. L'action suivante dura une fraction de seconde, aloysse libera le serpents qui lui infligea un coup avant qu'il ne saute or de danger et je rabattit le couvercle sur le pot enferment le serpents, je placit mes pierre d'aélion pour lesté le couvercle et empêcher le serpents de sortir. Je soufflait une seconde avant de me tourné vers aloysse, se dernier léchais la plaie peux profonde sur son épaule en réflexe j'immobilisais le félin et versait de l'eau brûlante puis glaciale sur la plaie, cela me value de nombreuses griffures profonde sur les jambes, la poitrine et les bras.... je relâchait le félin qui s'éloigna et feula violemment contre moi...
Moi - '' excuse moi... on ma toujours dit que le venin se désagrégeait sous l'effet des changements brusques de température''
J'étais véritablement désolé, je pensait vraiment se que je disait.... aloysse s'en rendit compte et s'assit pour recommencer a léché la plaie. Je soupirait, me dévêtie et entrais dans mon bain, comme a mon habitude je me laissait glisse et plongeait la tête dans l'eau, a force j'avais réussi a obtenir une apnée d'environ une minute.... être sous l'eau était un moyens de réfléchir pour moi, une fois dans l'eau, on y était coupé du monde, au calme... dans l'eau, les seule bruit qui nous parviennent prennent une sorte de «résonance mystique et mystérieuse» et personnellement j'adorais ça.
Lorsque je sortie de mon bains, l'eau avait pris une teinte un peux rougeâtre des suite de mes nombreuses blessure de guerre, pour se faire pardonner aloysse avait entrepris de léché mes blessures mais je les avait dissuadé par des caresse mouillé.... Je m'était ensuite vêtue, j'avais été surprise par le «sur mesure» de mes vêtements et du harnet. Je sorti, suivie par aloysse, je laissait le serpents dans son pot et le posais sur la table basse, puis je rallumais le feu. C'est quand je me retournait que je commençais a m'inquiéter, je vis aloysse sauté sur le dossier du canapé, mais il se rattat, glissa et se retrouva a demi étalé sur le canapé et a demi dans le vide. Du coin de l'oeil j'aperçus une petite bouteille, l'odeur de l'alcool fort m'irritait les narines d'ici. Je pris la bouteilles et dans le même temps, enroulait aloysse dans une couverture et imbibais d'alcool un morceau de coton trouvé sur la table. Je dégageait la plaie d'aloysse, l'imobilisait comme possible et commençais a désinfecter, il poussa un miaulement de douleur déchirant qui me lacera les tympan. C'est ce moment que choisit corvos pour sortir de sa chambre, il marqua un temps de surprise puis s'approcha
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Les Miroirs Des Mondes T-1 [En Réécriture]
Paranormal(Bienvenu dans mes rêves. Hé oui, toutes mes histoires sont des rêves que je réordonne pour en faire des livres agréables à parcourir ^^ Mais malheureusement, en raison de centre d'intérêt restreint et du temps de conversion entre le rêve et l'hist...