Rideaux, mouroir d'applaudissements.
Tu es là, sourire au lèvres, pensée brève et étrange que c'est un couteau qui me déchire le ventre.
J'ai le sol fondu aux jambes, pas envie de me lever, juste de rester là et pleurer un peu peut-être.
Tu te lèves, élancement soudain de l'assise du fauteuil contre son dossier.
Un sursaut, quelques instants à te suivre des yeux.
À tenter de comprendre ce que tu dis à travers le brouhaha des j'ai beaucoup aimé, excusez moi et manteaux enfilés.
Je ne sens plus le parfum de la dame à côté de moi.
Bien-sûr que je t'aime.
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Dans les corps souffle le vent
Short StoryUn jour je me suis dit que les émotions et sentiments, c'était un peu une sorte de vent qui soufflerait à l'intérieur. À l'intérieur du cœur, du crâne, et des poumons. Il paraît que mon style d'écriture est mécanique alors ramène tes boulons et ent...