C H A P I T R E 10 : Un peu de bonheur dans ce monde si cruel.

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Je n'aurais jamais cru écrire ce genre de roman, mais grâce à Myrdin et son superbe roman " C'ERA UNA VOLTA A VENEZIA", j'eus l'idée de faire une scène un peu érotique. (Merci à toi! :)) Beaucoup de lectrices sont assez jeunes, voir vers les 12-13 ans, je voudrais éviter d'en choquer quelques-unes.

Donc, je m'adresse à vous chères lectrices, je ne sais pas si vous êtes aptes à lire des textes légèrement érotique et décrivant une scène où deux personnages s'adonnent à faire l'amour, bien que mon texte ne soit pas énormément révélateur de scène trop érotique^^

J'ai énormément réfléchis avant d'écrire et de publier, et j'espère ne pas troubler certaines des lectrices, bien que j'ai essayé de ne pas trop en dévoiler. Merci!

N'hséitez pas à commenter! Et A VOTER! :D En espèrant que ça vous plaira! :D

***

C H A P I T R E  10 : Un peu de bonheur dans ce monde si cruel.

- Aaliyah...

Cette voix... elle me rappelait quelqu’un, mais qui?

Puis je sentis deux mains masculines qui se déposèrent sur mon corps, et qui remontais jusqu’à mon visage... Je n’en pouvais plus, j’étais morte de trouille. Et je sentis le doux parfum qu’embaumait mes narines...

- CHUCK! Mais tu es malade de faire ça! Tu m’as foutu une de ces trouilles, tu n'imagine même pas! Comment se fait-il que je n’ai pas reconnu ses pas... Étrange.

Lui, il s’étouffait de rire, et moi je l’insultais pendant qu’il se moquait de moi. Il voulait me mettre hors de moi!

- Ahaha, si tu avais vu ta tête, tu étais trop drôle!

- Ouais c’est ça marre toi, imbécile!

- Bon, viens suis-moi, dit-il toujours en riant. Je descendais du lit tout doucement. Nous devions avoir fait un sacré boucan, mais aucune des filles qui dormaient dans la chambre n’avaient bougé le petit doigt, c’était une bonne nouvelle! Puis nous sortîmes discrètement de la chambre à coucher. J’essayais de fermer la porte silencieusement, et j’y parvins. Nous chuchotions toujours, de peur de réveiller le voisinage. J’avais oublié, mais je dormais régulièrement en nuisette et petite culotte, et me voilà entrain de me balader en sous vêtement dans l’allée des dortoirs. Si quelqu’un sortait de sa chambre, je serais morte de honte!

- Et maintenant que fait-on?  Je suis en sous-vêtement! Lui soufflais-je agressivement.

- Maintenant tu te tais et tu me suis! M’ordonna-t-il en murmurant.

Il me prit la main et nous nous mîmes à courir comme deux enfants qui se baladaient dans un endroit interdit sans faire de bruit. Puis au bout d’un moment, nous prîmes le couloir qui menaient aux chambres des professeurs, et il me fit entrer dans une chambre. Apparemment c’était la sienne et j'étaos émerveillée. Il y avait des pétales rouges éparpillées dans l’alcôve, une odeur enivrante de jasmin et des petites bougies rouges de couleur sang étaient disposées dans la pièce un peu partout.

C’était vraiment somptueux, je n’en croyais vraiment pas... Puis il me fixa quelques secondes, nous ne nous disions absolument rien, mais nous nous comprenions rien que par le regard. Je n’avais jamais connu ça avec quelqu’un. Nous nous tenions debout dans la chambre, moi en sous-vêtement, et lui habillé. Puis il approcha sa tête de la mienne, il hésita, et finalement, c’est moi qui m’avança pour l’embrasser. La tension monta d’un coup dans la chambre, je sentais l'électricité qui filait entre nous. Nous voilà l’un contre l’autre, Chuck appuyé contre le mur et moi près de lui. Nous nous embrassions comme deux fous amoureux et tellement ils étaient forts, nous n’avions plus assez de souffle. J’étais face à lui, nous respirions très fort tous les deux, sentant le désir de l’un et d’autre. Des mèches de cheveux lui descendaient dans les yeux, il était tellement craquant et envoûtant. Je sentis qu’il commença à m’embrasser dans le cou, puis remonta vers mon oreille et me susurra très sensuellement : «J’ai envie de toi, je te veux maintenant...».

Aaliyah, dragonnière dans le sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant