Chapitre 6

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Je tourne en rond dans la bibliothèque. La venue de Klaus ici m'a mise en rogne. Et je ne peu rien faire pour me calmer. Je tape mon pied dans un énièmes livre sans bien même me soucier de la trajectoire que ceux-là prennent lors de leur voler. Puis soudain, quelqu'un frappe à la porte. Mon regard tombe directement sur celle-ci qui se trouve s'ouvrir tout doucement. J'ai le temps de deviner qui cela peut-il être. Mon odorat me fait reconnaître Hayley en premier lieu, puis un vampire. Ce n'est pas difficile de comprendre qu'il s'agit de Marcel. Elle fini par s'ouvrir totalement. Je ne me suis pas trompé. Et la pression en moi augmente d'un cran. Surtout lorsque je vois cet air inquiet sur chacun de leur visage. J'entend déjà ce qu'ils vont me dire. De revenir à la raison et bla-bla-bla. Je dois me contenir, car même si cela m'énerve je ne dois rien montrer ou alors il penserons que leurs paroles me touchent. Et puis dans le fond, j'en ai rien à faire. Je me détend. De toute façon, mise à part me parler rien d'autre ne sera fait. Et je m'assoie confortable sur l'une des chaises, au milieu de tout ces livres volant en l'air quelques minutes plutôt, et leur offre mon plus beau sourire.

- Hayley, Marcel! Je ne savais pas que vous passeriez pour le week-end. Excusez-moi pour ce désordre, dis-je en regardant autour de moi, les frères Salvatore ne son pas vraiment friand du ménage.

-Je vis dans le Bayou, au milieu de la boue et des crocodiles, répond Hayley en prenant place à la table. Ce n'est pas quelques vieux dictionnaires qui vont m'effrayer.

-C'est vrai, le Bayon! Comment vont t'es loups alors ? Et le beau Jackson ?

-Ils vont très bien. Et tu as les condoléances de toute la meute.

-Cool, je penserai à leur faire livrer un petit mot de remerciement.

Je sans une espèce de tension au sein de la bibliothèque. Ils ne sont pas à l'aise face à moi, je le sens. Et leurs têtes peu laisser croire qu'ils ont vu un mort.

-Eh, les gars, faites pas cette tête, c'est pas moi qui suis morte.

Je vois du coin de l'œil Marcel qui gigote sur ses deux pieds. Il a envi d'intervenir. D'ailleurs, il n'a toujours rien dis depuis qu'il est entré. Il ne fait que m'observer, les bras croisés contre sa poitrine et l'une de ses mains qui soutient son menton. Avec toujours comme accessoires sa veste de cuire. La voix douce de la louve résonne une nouvelle fois dans la pièce.

-On est là pour t'aider à aller mieux, Ali.

Elle est vraie, sincère et tout peu ce lire dans son regard.

-Je vais bien.

-Arrête de te foutre de nous, s'énerve Marcel. Éteindre ton humanité... Ali, regarde tout ces gens qui sont autour de toi.

-Parce que vous étiez là lorsque Tyler est mort ? Non. Ni même après.

-Nous avons nos obligations à la Nouvelle-Orléans, une ville à gérer, dés conflit, le défend Hayley. Tu n'a pas le droit de nous  reprocher cela. Et c'est pas comme ci nous ne t'avions pas app...

-Ca m'est égal, je la coupe en haussant les épaules.

-Quoi qu'il en soit, intervient de nouveau Marcel, nous ne sommes pas ici pour te rabâcher ce que t'es amis t'ont sûrement déjà dis.

Il s'avance en notre direction en laissant aller ses bras le long de son corps. Marcel attrape une chaise et s'assoit dessus à califourchon. Hayley quant à elle se penche sur la table en joignant ses deux mains. J'ai quatre yeux rivés sur moi. Génial. Mais je les écoute avec attention.

-C'est vrai. Nous sommes y'a famille, nous ne voulons que ton bien et acceptons;

-Même si c'est dur;

Petite Hybride [TOME 3]Where stories live. Discover now