Petite Hybride [TOME 3]

Chapitre 28

Bonnie entre dans la crypte, accompagnée de Jérémy, récitant des mots semblables à du latin. C'est bien cette langue. Je ne sais pas ce que ça veux dire, mais ce qu'elle donne l'impression de chanter vient fortement perturber Alicia qui prend peur. Elle commence à se débattre, mais il est trop tard pour elle. Je pousse Alicia aux pieds de la sorcière sans la lâcher afin d'éviter qu'elle ne vienne a fuire. Elle tente pourtant de se lever, puisant dans ses dernières réserve mais comprend vite que c'est déjà voué a l'échec et regarde Bonnie apeuré.

-Bonnie, qu'est-ce que tu fais ?

Mais elle ne répond pas, bien trop concentré par son incantation. Cette sorcière m'as toujours impressionné. Elle détient une force et une maitrise incroyable de la magie. Je l'ai vu évoluer des années à l'autres et je peu vous dire qu'elle est doté de grands pouvoirs. Cette femme est forte et est capable de grandes choses. Bonne empoigne tout à coup le bras de Jérémy qui prend la parole.

-Ta mère aimerais te faire passer un message.

-Ma mère ?

Puis plus un bruit se fait entendre. Des lors où Bonnie a posé ses mains sur la tête de Alicia, c'etait comme ci quelqu'un venait de couper les sons. On aurait dit que même la forêt venait de se figer. Plus personne ne bouge et n'ose respirer. Le temps s'arrête. Notre souffle est coupé. Bonnie continue de murmurer son sortilège pendant de longues minutes qui semblent interminables.

Je me souviens, lorsque j'étais toute petite, ma maman et moi parlions toujours de tout et de rien quand nous étions que toute les deux. Papa s'éclipsait souvent pour le travail, pour le sport ou encore le bricolage et la cuisine. C'est vrai qu'il avait pour passion de tout faire pour satisfaire ses deux femmes préfère. Il avait l'habitude de répéter cette phrase encore et encore.
Maman aimais beaucoup prendre soin d'elle. Quand je replonge dans mes souvenirs, je la revoit encore qui brosse ses longs cheveux noirs devant sa coiffeuse faites de marbre. Elle était vraiment belle, surtout au naturel. Elle n'avait besoin de rien, si ce n'est un peu de crème sur son visage. Je la revois encore passer ses mains sur sa peau pendant de longues minutes. J'étais toujours assise à ses pieds avec mon fidèle ami Monsieur Jo, un petit ourse en peluche bordeaux qui portait un teeshirt vert. Il était tellement doux. Je l'ai eu dès la naissance. Il n'as jamais perdue son poil brillant ou encore même un oeil. C'était mon allier de l'époque. Maman me remettait souvent que j'avais de la chance de l'avoir et qu'il fallait que j'en prenne soin. Les amis se font très rares. Avec l'âge, je comprend mieux ce qu'elle a voulue me dire ce jour là. Elle me sortait toujours ce genre de phrases, sachant parfaitement que je n'allais rien comprendre en vue de mon jeune âge. Mais elle savait que je m'en souviendrais au moment voulue.

-Viens t'asseoir près de moi, mon ange.

Elle tapote doucement sa main sur la petite banquette de cuire sur laquelle elle était assise. Ma mère avait une très belles chambres. Les tons était tout particulièrement rose, beiges et blancs. Je revois encore les rideaux de la chambres s'agiter doucement au rythme du vent. Ce jour là, j'étais sur le lit de mes parents entrain de sauter partout. Ma mère avait toujours peur que je tombe du lit. J'ai pris Monsieur Jo avec moi et cours grimper sur les jambes de ma maman. Elle sentait tellement bons. Elle avait la même odeur qu'offrais les chambres entièrement fleuris de toutes sortes différentes. Le me suis collée à son torse tandis qu'elle me caressait doucement les cheveux de la racine jusqu'à la pointe. Elle me faisait la même chose pour m'endormir.

-Tu sais quoi ? m'as demandais ma mère en me fixant d'un air rieurs.

-Tu es la plus jolie petite fille de se monde.