Louise :
En effet, mon père devait avoir devancer les mystérieux expéditeurs du message anonyme car deux semaines sont passées et toujours rien, pas une seule lettre en vue, ni aucune action quelconque qui paresserait étrangère dans le comportement de mes parents. Ma mère semblait avoir totalement effacer de sa mémoire le passage où elle pleurait devant moi et où elle s'excusait désespérément.
Mon père nous avait donc dit comme prévu que lettre était une erreur de destinataire et maman avait soigner ses plait, dût au vers qu'elle avait casser, et ramasser les débris. Tous semblaient être normal dans notre appartement. J'avais évidemment tous raconter à Valentine, dans les détails près, ce qui s'était passé lorsque j'avais trouvé ma pauvre mère en sanglot sur sa chaise. Valentine c'était affolé et avait aussitôt crier « oh là là, on se croirait dans un film adapter d'un roman de Stephen King ! genre tes parents ont reçu une lettre chelou et le lendemain ta mère vas être hanter par l'esprit de la lettre et vous aller tous mourir dans d'atroce souffrance ! » elle avait l'habitude de me réconforter en exagérant mes propos et en allant dans la catastrophe, évidemment ça marchait. Nous avons ensuite imaginé une histoire complètement folle, nous avons ris et toute cette histoire mettais sortit de la tête.
Tout c'était très bien passer pendant un ou deux mois, nous n'avions rien reçut depuis le jour de la rentrer et rien de spécial ne nous été arriver. En fin, jusqu'à ce jour-là, le 28 novembre. Jamais je n'oublierais ce soir. Quand je suis rentrée mon père été déjà là, ce qui est très rare car en générale il ne revient à la maison que vers 22 heure, il était en train de discuter avec maman, il semblait stresser et on aurait dit qu'il n'avait pas dormit depuis plus de trois nuit, ce qui été surement le cas, dès que mes parents on remarquer ma présence ils ont arrêté de ce parler et ma mère est partit dans la cuisine. Je n'ai pas posé de question, c'était fréquent qu'ils se disputes, alors je suis partie dans ma chambre où j'ai appelé Valentine en Face Time. Et puis vers 19h 40 j'ai entendus un son de vitre briser et un son lourd comme un corps qui s'effondre à terre et un cri, un cri horrible, inoubliable, un cri remplit de douleur et de tristesse. Valentine ma ordonner quelque chose à travers le téléphone mais je n'ai pas entendu, j'ai couru directement dans le salon où la bai vitrer avais exploser, des bouts de verre remplissait le sol et les meuble. Et lorsque j'ai tourné la tête j'ai vu mon père, il été à terre, il ne bougeait pas, ma mère était assise près de lui, elle se balançait devant en arrière et tenait la tête de papa entre ses mains. Et puis il avait ce liquide rouge sur le parquet et partout sur papa et maman. Je n'avais pas compris sur le moment ou plutôt je ne voulais pas comprendre. Mais mon père était mort. Il avait été assassiner. Et maintenant son corps sans vie gisait sur le sol du salon et dans le bras de ma mère. Je me suis approcher de lui, il y avait un petit trou situé sur sa poitrine, près de son cœur, du sang en jaillissait abondamment. A sonpoignet, le verre de sa montre était brisé, je me suis accroupie lentement pouréviter que mes jambes ne cèdent, j'ai ensuite détaché discrètement la montre demon père et je l'ai rattachée à mon poignet avant que ma mère ne l'ait remarqué.Près de ses pieds se trouvait un petit morceau de papier où il était inscrit« de la part du SIDG » mon cœurfit un bon dans ma poitrine et mon sang ne fit qu'un tour. La colère m'envahietout entière, mais à peine l'avais-je pris dans mes mains que le mot c'étaitdésintégrer entre mes doigts.
Jamais je n'oublierais ce soir-là, jamais je n'oublierais le son de la vitre qui se brise, jamais je n'oublierais tous se sang, tous ses pleurs, tous ses cris. Jamais je n'oublierais la tête dévaster de ma petite sœur lorsqu'elle a appris que son père était mort. Jamais je n'oublierais les coupables de la mort de mon père. Et un jour je me vengerais et je tuerais tous ceux qui ont un rapport avec le SIDG, quoi que ce soit et qui que ce soit, je les tuerais.
Maël :
- Marius ?
Il était debout dans le grand hall, il semblait perdu, ses longs cheveux noirs était gras de sueur et tombait lourdement sur ses épaules. Sa main droite tremblait tellement que le revolver qu'il tenait risquait à tout moment de lui tomber sur les pieds. Son t-shirt blanc était collé à sa peau et ses yeux était fixé sur un point inimaginable surement situé près du sol.
- Hey fréro ça va ? ai-je repris plus inquiet.
Je me suis approcher de lui lentement et j'ai posé ma main sur son épaule puis sans prévenir il sursauta avant de laissa tomber l'arme au sol. Il a relevé brusquement la tête et ma regarder affoler puis il a murmuré « papa... ».
Louise :
J'avais l'habitude de glisser mes écouteurs dans mes oreilles et de mettre ma musique à fond pour éviter d'entendre les disputes de mes parents lorsque j'étais enfant. Je faisais cela pour ne rien entendre, du moins je cherchais à ne rien entendre. La musiqueest une échappatoire, c'est un moyen d'oublier ce qui se trouve autour de soi,de se laisser transporter autre part dans un monde qui n'appartient qu'à nous. Unmonde créé de tout pièces par notre inconscient fait de tous ce qui nous plaitavec en fond la mélodie qui raisonne dans nos tympans. Pour ma sœur c'était l'inverse elle ne supportait pas la musique, cela l'angoissait. Elle ne comprenait pas pourquoi je faisais cela, pour elle c'était un moyen de lui rappelait le bonheur des autres et pas le siens, et ça l'enfonçait encore plus dans la spirale de la tristesse, c'est comme ça qu'elle l'appelait. Mais maintenant je la comprends, je comprends son raisonnement car désormais rien ne pouvais m'aider à aller mieux, rien. J'avais beau écouter des musiques heureuses qui me rappeler des bons moments tous cela revenait à me dire que je ne pourrais jamais retrouver un tel bonheur.
Cela faisait trois mois que mon père avait perdu la vie.
Cela faisait trois mois qu'il m'avait emmené avec lui.
Je ne vivais plus désormais, je survivais.
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Le mec de l'avion
Mystery / ThrillerLorsque Louise croise le regard d'un jeune homme dans l'avion elle ne s'imagine pas que c'est le début d'une histoire folle qui va l'emmener jusqu'au bout du monde. Et au péril de ceux à qui elle tient, elle vas l'aimer et le suivre aveuglement san...