Assassin's creed highschool !

Chapitre 5

-Qu'est ce que tu fais ici ? continua Altaïr, toujours dos à De Sable.
-C'est une question piège ? Comme toi et comme tout le monde je viens à l'école pour étudier, Altaïr.
-Ne me prends pas pour un imbécile ! dit Altaïr en se retournant brusquement.
-Oh, à ton avis, Altaïr ! Réfléchis ! J'ai vu une bagarre, j'ai tenté de l'arrêter comme toi !
-Impossible ! Tu es le genre de personne qui veut la violence ! reprit Altaïr.
-Parfois, quand ça m'arrange, c'est vrai. Mais je t'assure que c'est uniquement pour stopper la bagarre que j'étais là... rajouta De Sable
-Et dans quel but ? fit Ezio
-Ça ne te concerne pas ! fit l'italien aux côtés de Robert.
-Je ne t'ai rien demandé Cesare !continua Ezio
-Tais-toi Cesare, commença Robert, laisse donc ces pauvres gens tranquille. On est pas la pour ça. Mesdemoiselles, je suis sûr que vous êtes nouvelles ici. Je m'appelle Robert de Sable et je vous ferai volontiers visiter le pensionnat. termina-t-il avec un sourire.

Par réflexe, Arly se mis devant sa petite soeur.

-Elles n'iront nulle part Robert. déclara Malik.
-Malik, Malik, Malik,... Tu as beau être intelligent, tu restes le plus naïf du groupe. Je ne te pensais pas être aussi bête. On dirait qu'il ne te manque pas qu'un bras...

À ces mots, Altaïr attrapa de Sable par le col et le plaqua contre le mur.

-Fais attention à ce que tu dis Sable. déclara-t-il en colère
-Fais attention à ce que tu fais Ibn la'ahad. rajouta-t-il sur le même ton.
-Altaïr, lâche-le. ordonna Malik.

Altaïr le lâcha et le poussa par terre.

-Bon chien ! se moqua Robert.
-N'en rajoute pas. intervint Malik. Et si ces deux filles ne veulent pas venir avec toi, ce que je comprendrais, alors tu n'as plus rien à faire ici.
-De toutes façons, Maria nous attend. Cesare, Lucrezia, on se tire. finit Robert en regardant Altaïr.

Puis il partit.

-Merci.

Tous les regards se tournèrent vers la voix qui venait de dire ça.

-Merci. répéta Gabrielle.
-C'est normal. lui répondit Malik.
-Je pouvais très bien nous défendre ! fit Arly
-Je ne pense pas. continua Malik.
-Excusez ma soeur. Elle est un peu...débile... Je m'appelle Gabrielle ! Enchantée de vous rencontrer !
-Nous aussi. fit Malik. Je suis Malik. Voici Altaïr, Ezio, Desmond, Cristina, Leonardo, Shaun, Rebecca et Lucy.
-Ma soeur s'appelle Arly.
-Alors, vous êtes vraiment nouvelles ? fit Desmond
-Ouais, on vient d'arriver. dit Arly.
-Vous voulez qu'on vous fasse visiter ? demanda Lucy
-Oui, avec plaisir ! dit Gabrielle, toujours en regardant Malik.
-Bien ! Allons nous promener avec des inconnues qui ne savent que se battre ! plaisanta Shaun.
-Attendez !!! D'abord, on va manger !! fit Ezio
-Et c'est reparti... souffla Altaïr
-Moi je veux bien aller manger ! fit Gabrielle, encore en train de regarder Malik.
D'ailleurs, ce dernier intervint :
-Pourrais-tu arrêter de me regarder comme si j'étais le pape en personne ? fit-il à l'intention de Gabrielle.
-Quoi ? Moi ? Nan ! Je...je...Je cherchais...euh... Je ne te regardais pas du tout !... Tu te trompes !... balbutia Gabrielle en rougissant
-Ça va calme-toi, je ne vais pas te faire de mal. Je te demande seulement d'arrêter de me fixer.
-Mais je te fixais pas du tout ! Ezio tu voulais pas aller manger ?
-Si mais... commença Ezio
-Eh ben on y va ! le coupa Gabrielle. Allez vous attendez quoi ? Le déluge ? dit-elle en tirant sa soeur vers le rang de la cantine.
-Si tu veux mon avis Malik, commença Altaïr, tu fait de l'effet à quelqu'un. dit-il avec un sourire.
-Arrête Altaïr. On sait très bien tout les deux que cette fille était tout simplement gênée par le fait que je n'ai plus de bras gauche.
-Oh non, crois-moi, c'est autre chose.
-Altaïr, tu me fatigues.
-Je sais. finit-il en souriant
-Allez, vous venez Altaïr et Malik.
-On arrive Ezio ! dit Altaïr. Malik ?
-Oui ?
-Tu es très loin d'être bête.
-Je rêve ou le grand Altaïr me fait un compliment ?! plaisanta Malik.
-Tu pourrais pas seulement profiter du fait que je t'en fasse un ?
-Nan, désolé c'était trop tentant !
-Tu m'épuises !
-Je sais. Allez viens, les autres vont nous attendre.
-Je te suis mon frère.