Assassin's creed highschool !

Chapitre 42

STOOOOOOOP !

J'invite tous mes lecteurs à relire la fin du chapitre précédent étant donné que ça fait longtemps que j'ai pas publié.

...

*Regarde sa montre pour voir l'heure qu'il est et sifflote*

C'est bon c'est fait ?

Bien.

Bonne lecture !

Maria lui donna une énorme gifle.

Altaïr fut si surpris qu'il perdit l'équilibre et tomba sous le choc. Malik et Ezio s'élancèrent à ses côtés en un instant et les autres firent des inspirations bruyantes.

Maria s'abaissa au niveau d'Altaïr, l'attrapa par le col et s'exclama :

-Tu m'as fait flippé abruti ! T'es vraiment complètement fou !

Altaïr ne pensa même pas une seconde à se venger et regarda Maria dans les yeux avant de lui dire avec un sourire narquois :

-Je confirme, je suis fou de toi.

Maria se retint de lui mettre une autre gifle pour lui faire reprendre ses esprits, mais se calma et déclara :

-La ferme. T'es vraiment une ordure. Tout ça pour ça.

Elle le laissa retomber sur le sol et il se cogna. Elle se releva et croisa le regard furieux de Malik.

Elle déglutit et fit d'un ton plus calme :

-Euh... Laisse-moi t'aider Altaïr.

Elle lui tendit une main qu'Altaïr accepta volontiers avant de dire :

-T'inquiète Malik, je vais bien. Elle ne m'a pas fait mal.
-Quoi ? Tu rigoles j'espère ? Tu es tombé ! fit Malik se retenant de les frapper tout les deux.
-Je vais bien. répéta Altaïr.

Malik leva les yeux au ciel et se demanda comment c'était possible qu'il existe des personnes comme Maria et Altaïr. Mais bien qu'il ne pouvait pas supporter leur comportement, il était fier qu'Altaïr ait enfin eu le courage d'avouer ses sentiments. Il sourit légèrement à cette pensée et secoua la tête, exaspéré par les deux.

Altaïr dépoussiera ses vêtements aidé par Maria, et cette dernière soupira :

-Désolée, je voulais pas te faire mal, mais tu m'as surprise alors...
-Ne t'inquiète pas, je comprends. fit Altaïr en lui souriant.

Maria leva la tête et croisa son regard. Elle voyait clairement qu'Altaïr attendait quelque chose. Il l'a regardait comme s'il elle pouvait lui apporter le saint Graal.

-Quoi ? fit-elle incertaine de ce qui se passait.
-Et toi ?
-Quoi et moi ?
-Qu'est-ce que tu as répondu ce soir-là ?

Maria leva les yeux au ciel.

-À ton avis ?
-Dis-le moi.
-Tu sais très bien.
-Je veux que tu me le dises.
-Non.
-Pourquoi ? T'as trop de fierté ? fit Altaïr en souriant malicieusement.

Maria parut choqué.

-C'est toi qui dit ça ?

Altaïr ne pouvait s'empêcher de sourire. Quand elle prenait ce ton là, ça voulait dire qu'elle était prête à défendre ce qu'elle pensait juste, même si pour le coup, c'était elle en tort. Il baissa la tête, essayant de contrôler son sourire en vain, et replanta son regard dans les yeux de Maria. Il attrapa délicatement ses mains et s'apprêta à dire quelque chose lorsqu'Ezio éternua si puissamment que le bruit résonna dans la rue.