15. Une nuit pour nous

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CHEN :

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CHEN :

Sun-hi semble vexée par mes aveux. J'embrasse son dos en déposant plein de petits baisers. Elle frisonne. Elle est sensible à mes attentions. J'ai encore envie d'elle. Je dois la rassurer. Elle a fait le premier  pas et j'ai eu du mal à faire le second. En fait, je ne veux pas la brusquer. Elle m'idéalise et cela me met très mal à l'aise. Loin d'elle, j'ai compris que je l'aimais. Alors, je ne veux pas la perdre parce que je ne suis pas comme elle l'imaginait. Je l'ai mise en garde là-dessus. Mais, je ne suis pas certain à cent pour cent, qu'elle comprenne la nuance. 

Je me suis rendu compte que s'il ne se passait rien entre nous ce soir, je la perdrais. Et, je ne le souhaitais pas. C'est pour cette raison que je suis entré dans sa chambre. Et je l'ai vue pratiquement nue. Elle était trop belle et tentante. Je lui ai fait l'amour. Elle était sublime dans mes bras. J'étais tellement heureux. 

Je passe mes mains autour de sa taille, je la rapproche de moi, j'ai besoin de ne faire qu'un avec elle. Je ne vois pas si elle s'est endormie. Je lui murmure à l'oreille :

"- Tu dors ?"

"- Mmmm" Elle me répond.

Je souris. J'ai les moyens de la réveiller tout doucement. Je vais oser la toucher et l'aimer comme il se doit. 

Je passe mes mains sur sa poitrine. Je caresse ses seins. Elle gémit à nouveau. Mon désir grandit, je suis plaqué sur ses fesses. Je la serre très fort contre moi. J'embrasse son cou, et mes mains descendent vers son bas ventre. Elle se tord. La sensation est divine. Je l'enserre avec mes jambes. Je ne contrôle plus mes gestes passionnés. J'ai envie d'entrer en elle. Elle pose ses mains sur mes fesses qu'elle plaque encore plus contre elle. Je souris, elle en veut autant que moi. Je sens sous mes doigts qu'elle est prête à m'accueillir dans son corps. Elle est tellement tentante. 

Elle se tourne vers moi. Elle ne tient plus. Elle dépose ses lèvres sur les miennes. Mmmm ! J'aime ce baiser. Sa langue se fait sensuelle, je deviens de plus en plus fou. Je positionne son corps sur le mien, elle s'assoit sur moi. Et je la sens sur mon désir. Je vais craquer et la posséder tout de suite. Elle me taquine sexuellement, j'adore. Elle pose ses deux paumes de main à plat sur mon torse. Ses doigts caressent mes abdominaux. Je me sens très masculin dans ses bras. Elle sait tirer le meilleur de moi. Ou alors c'est parce-que cela faisait longtemps que je n'avais pas touché une femme. 

Sur ce plan là, j'ai eu raison d'attendre de trouver la femme idéale. Elle s'abaisse pour m'embrasser, et sa féminité se frotte à ma masculinité. Je reçois comme un électrochoc. Je la désire avec tellement d'ardeur. Elle est cruelle. Et j'adore cette cruauté qui me décime. Ses mains sont sur mon torse, elle dépose des baisers sur ma peau, et elle passe sa langue sur mes lèvres. Je suis trop excité. Elle fait tout pour que je perde la tête. Je suis déjà fou d'elle depuis que nos yeux se sont croisés lors de notre première rencontre. 

Elle mordille mon cou, c'est trop. Elle va m'achever. Je ne suis plus habituer à toutes ces émotions sensuelles et sexuelles. Là, je suis à fleur de peau. J'ai trop envie d'elle, elle ne peut pas m'aguicher de cette manière. Je vais succomber. Elle soulève son corps, et descends sur moi. Je ferme les yeux, la sensation est trop forte. Il faut que je retienne mon désir. Je la bloque, il me faut un peu de temps pour me calmer. Avec tout ce qu'elle m'a fait, je dois récupérer. J'admire son magnifique corps. Je caresse sa taille, je me redresse sur les coudes. Ce mouvement déclenche en elle, un peu de plaisir. Elle se mord la lèvre inférieure, preuve qu'elle aime et que cela l'excite. Elle gémit d'une manière très sexy, elle veut que je parte en elle immédiatement ou quoi. Je ne peux plus la regarder. Elle est trop magnifique. Je n'ai qu'une envie la pilonner jusqu'à ce qu'elle crie de plaisir. 

J'efface cette idée de ma tête. Je dois me ressaisir. Je ne suis pas ainsi. Et je veux être très tendre et doux avec elle. Elle bouge sur moi, je gémis. C'est trop intense. Elle poursuit en accélérant, je perd la tête. Elle me contrôle, je souffle pour résister. Bon sang que c'est bon. Elle continue à me faire du bien, je pose mes mains sur sa poitrine que je caresse avec passion. Ensuite j'attrape sa taille et je l'aide à approfondir ses mouvements. Elle crie désormais, et moi également. Nos voix se mêlent. C'est puissant, ce que je ressens en ce moment. Elle me terrasse par ses coups. Elle est très forte au jeu de l'amour. Je ne résiste plus. Je me sens si fragile sous elle. Elle me contrôle, mon plaisir grandit, grandit. Je suis au taquet. J'ai jamais ressenti autour de plaisir avec une femme.

Je la stoppe. Trop, c'est trop ! Son visage s'abaisse sur le mien. Elle m'embrasse. Je la bascule sur le dos. Et bouge en elle. Son corps se tord de plaisir sous mes assauts. Elle gémit, crie, tout mélangé. Elle est magnifique dans  mes bras. J'admire cette beauté qui se tord de plaisir parce que je lui fais l'amour. J'en suis fier. C'est avec moi qu'elle éprouve ces sentiments. Je pilonne comme j'en avais envie. Et je suis très vite dépassé. Elle va chercher le meilleur de moi. Je bouge encore dans son corps, mes coups sont plus lents. Elle me serre dans ses bras, et remonte ses jambes autour de ma taille. Elle est trop offerte là, en dépit du fait que je ferme les yeux pour ne pas voir, je pars en elle. Je m'accroche à son corps. Je m'écroule sur elle, elle m'a épuisé. 

Mon coeur bat tellement vite et j'ai mon oreille posée sur le sien. Nos rythmes cardiaques sont accélérés. Nous récupérons ensemble serrés l'un contre l'autre. Elle m'a dompté et sans difficultés. Je suis totalement et irrévocablement conquis par elle. Je me redresse sur les mains, je lui souris, nos nez se frottent et je dépose un baiser sur sa bouche. Je m'allonge à côté d'elle, pour ne pas l'écraser. J'observe le plafond en souriant. Elle prend ma main avec la sienne. Nos doigts s'entrecroisent. Je suis bien avec elle. .......

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Chen se déchaîne. Oh ! Oh! quel jeu de mots ! Et bien oui, les tourtereaux sont passés à un stade supérieur. Chen aime Sun-hi quand elle le cherche de cette manière.

Une poésie pour CHEN  // exoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant