une eleth dans la communauté de l'anneau : Váne

9 : la moria

POINT DE VUE Legolas : 

Nous étions arrivé devant les mines de la moria après que frodon l'ai décidé, je posa Váne près du feu et appela Gandalf pour qu'il puisse la guérir ce qu'il fait d'ailleurs, il m'a prévenu qu'elle se réveilleras un peut plus tard mais que tout allais bien, pour une raison que j'ignore j'était très inquièt pour elle et je fus très soulagé en aprenans qu'elle allait bien. 

Cela faisait 2 heures que nous étions la devants les portes fermé Gandalf cherhé toujours le mot de passe pour rentré quand je sentis du mouvement dans mes bras c'était elle, Váne venait d'ouvrir les yeux et je très heureux de voir qu'elle allait bien.

POINT DE VUE Váne : 

j'ai réussi à ouvrir les yeux et je vis que j'était dans les bras de Legolas alors je me mis à rougir et me releva doucement pour m'assoir et me mis à pensé sur pourquoi je réagis tous le temps quand legolas est près de moi .

Soudain j'entend un bruis de porte qui s'ouvre et tous le monde se dirige à l'intérieure .

j'avançais à côté de Legolas et Gimli 

(Gimli) - Bientôt maîtres elfes, vous allez pouvoir apprécier la légendaire hospitalité des Nains. Un bon feu, une bière brassée, une belle pièce de viande, car ceci mon ami est la demeure de mon cousin Balin.

Legolas et moi échangeâmes un regard pas très rassuré de l'endroit que je trouvai trop sombre à mon goût même pour une mine sachant que j'ai déjà visité Erebor. Gandalf qui se trouva devant nous, fit de la lumière avec son bâton. Tout à coup, quand nous pûmes enfin y voir quelque chose, je vis à nos pieds, des squelettes de nain jonchés de partout.

(Gimli) - Et ils appellent ça une mine ! Une mine! 

(Boromir) - Ce n'est pas une mine...

(Moi) - C'est un tombeau.

Quand Gimli regarda à ses pieds et constata qu'il s'agit de corps de nain, il hurla de douleur et moi j'avais un passement au cœur car j'apprécié vraiment les Nains depuis que j'ai rencontré la compagnie de Thorin. Legolas retira une flèche d'un des corps qui se trouva par terre et il examina la flèche:

(Legolas) - Des Gobelins!  

(Moi) - Nous devrions sortir d'ici et en vitesse.

Je sortis une flèche de mon carquois et je bandai mon arc, prête à tirer sur le moindre bruit suspect. Boromir et Aragorn dégainèrent tous les deux leurs épées. 

(Boromir) - Allons vers la trouée du Rohan. Nous n'aurions pas dû venir par ici... Allons, partons vite d'ici! Allez, sortons!  

Nous reculâmes lentement et à reculons vers la sortie. Tout à coup, j'entendis les cris de Sam paniqué:

(Sam) - Frodon! Non!... Grand-Pas!

En me retournant, je vis une tentacule grise, visqueuse et sans doute toute gluante, enroulé autour de la cheville de Frodon. Sam frappa la tentacule qui lâcha Frodon et retourna dans l'eau sombre. Soudain, une multitude de tentacules jaillirent. je tirai des flèches dans les tentacules pendant que Aragorn et Boromir utilisé leur épées jusqu'à ce qu'Aragorn réussisse à coupé la tentacule qui retenez Frodon, ce dernier retomba dans les bras de Boromir .

(Gandalf) - Dans les Mines! 

(Boromir) - Legolas! Váne ! 

(Aragorn) - faites ce qu'il dit ! 

puis moi et Legolas décrochâmes chacun une flèches qui vont toute les deux dans les deux yeux du monstres .

(Aragorn) - courrez !!

Quand Legolas vis que je ne bougez plus il m'attrapa fermement la main et il m'entraîna dans la mine. Dès que nous fûmes tous rentré les tentacules de la créature cognèrent contre le mur de la mine. 

Une partie du plafond de l'entrée commença à s'écrouler heureusement nous étions tous assez loin de l'éboulement. Tout s'effondra dans un grand fracas et nous nous retrouvâmes dans le noir complet. Nous n'entendîmes plus que nos respirations saccadé.

Après un court instant, le bâton de Gandalf s'illumina. Ce ne fut qu'à ce moment-ci que je remarquai que Legolas et moi, nous nous tînmes toujours la main et je me mis à rougir. Legolas se pencha vers moi et il me chuchota à l'oreille:

(Legolas) - Ne recommencez plus jamais ce que vous venez de faire...

Je le regarder dans les yeux et j'essayait de sonder son regard, mais son regard fut insondable. Était-il en colère ou tout simplement inquiet pour moi?... mais, pourquoi, quand je pensais au fait qu'il s'inquiétait peut-être pour moi, je me sentais tout à coup un peu heureuse ? Était-ce mal de ma part? pourquoi je rougissez à chaque fois qu'il est proche de moi ? 

Legolas me reprit la main et sans me la lâcher ce qui me sortit de mes pensées il avança. 

(Gandalf) - Soyez sur vos gardes ! Il y a des êtres plus anciens et plus répugnants que les Orques, dans les profondeurs du monde. Ne faites pas de bruit. Il nous faudra quatre jours de marche pour atteindre l'autre côté. Espérons que notre présence passera inaperçue.

comme si c'était pas déjà stressant d'être dans une mine ou il y a eu une invasion de gobelins il faut que Gandalf en rajoute .Vous allez peut-être trouver ça étrange, mais rien que de tenir la main de Legolas, me rassure. Legolas et moi nous fûmes juste derrière Gandalf et nous dûmes passer en colonnes pour passer sur une sorte de pont étroit. Ce ne fut pas pour autant que Legolas me lâcha la main.