10 : la moria : la cité de Cavenain

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Pendant les trois jours qui suivirent, nous dormîmes dans les mines où il fit un froid de canard. Je me pelotonnais avec ma couverture. Pendant que nous avançâmes dans les profondeurs de la mine, Legolas ne me quitta pas d'une semelle en me tenant toujours aussi chaleureusement la main  je ne sais pas pourquoi ce contact me rassurait et j'appréciais la chaleur de sa grande main.

Nous fûmes enfin au cœur des mines au bout de trois jours. Des stalactites énormes pendirent au plafond et nous grimpâmes un escalier vraiment raide. Grâce à ma vue de semi-elfe je vis des ruines de maison de nains, des sculptures à moitié détruites, mais il n'y avait aucune trace de nains qui nous indiquerait que certains d'entre eux était encore en vie.

Nous atteignîmes enfin le sommet de cet escalier et j'espérai fortement ne plus en revoir d'autres. Au sommet de cet escalier se trouva une croisée en trois cheminspossibles.

(Gandalf) -Je ne me souviens pas de cet endroit.

Deux heures plus tard, Gandalf se trouva toujours en haut devant les trois chemins, sauf qu'il était assis. Nous avions allumé un feu et Aragorn fuma sa pipe juste à côté de Boromir.Tous les hobbits furent assis et tout le monde attendit patiemment que le magicien se souvînt du chemin.

(Pippin) -Sommes-nous perdus? 

(Merry) -Non

(Pippin) - Je pense que si !

(Merry) -Chut, Gandalf réfléchit

(Pippin) - Merry ! J'ai faim !

J'éclatai de rire silencieusement et Legolas esquissa un sourire puis je passa un pain à Pippin. Il dévora le pain en moins de vingt secondes et il me remercia gentiment .

(Gandalf) -Oh! C'est par ici !

Nous nous tournâmes tous vers lui et Merry murmura à voix basse:

(Merry) - Ah ! Ça lui revient.

(Gandalf) - Pas du tout ! Mais l'air est moins nauséabond en bas. Dans le doute, Meriadoc, il faut toujours suivre son flair.

Gandalf descendit l'escalier en premier en rigolant. Je suis sûr qu'intérieurement il devait bien se moquer de Merry.

Legolas ferma la marche avec moi et nous descendîmes prudemment les escaliers dans une obscurité totale. Comme Gandalf était en tête demarche, la descente pour moi fut laborieuse.  malheureusement les semi-elfes ne voient pas dans l'obscurité totale. Legolas en fut très satisfait d'ailleurs... Est-ce que j'aurai loupé quelque chose entre temps. Pourquoi avait-il l'air si satisfait?

Legolas mit une main autour de ma taille... ce qui m'embarrassait assez, je dois dire, puis de l'autre main, il saisit ma main et il m'aida à descendre... genre, il voit dans le noir et pas moi... ce n'était vraiment pas juste! Au bout de quelques minutes qui durèrent des secondes pour moi, nous arrivâmes enfin en bas de l'escalier.

Legolas me lâcha, non sans un petit sourire victorieux qu'il afficha sur son visage:

(Moi) - Me... merci Legolas.

(Legolas) -De rien, ce fut un plaisir.
puis nous entendîmes juste devant nous Gandalf dire :

(Gandalf) -Risquons-nous à faire un peu de lumière ?! 

La lumière du bâton de Gandalf devint beaucoup plus forte qui permit d'éclairer la grande salle et il ajouta:

(Gandalf) - Regardez, le grand royaume de la cité des Nains de Cavenain.

Je fus tout de suite fasciné et en même temps émerveillé par la beauté de cet endroit. Des rangées de colonnes immenses, épaisses et résistantes montèrent jusqu'au plafond d'une hauteur à couper le souffle. Dans la roche des colonnes étaient taillés tout un tas de forme naines.

(Sam) -Sûr que c'est artistique. Y'a pas d'erreurs .

(Moi)- Gloin m'en avait parlé mais je n'imaginé pas que c'était aussi magnifique 

(Gimli)- Ho, au faite vous ne m'avez pas dit ce qui vous à empêché à la quête de Thorin et sa compagnie ! 

(Moi)- c'était à cause de mon âge et surtout de mon père, j'avais essayer de les rejoindre en cachète mais sa à mal finis

(Gandalf)- ho oui vous parler de l'arbre ?

(Moi)- pour ma défense je ne métrisé pas encore la magie

(Gimli)- que c'est-il passé ?

(Gandalf)- elle voulais faire poussé un arbre devant sa fenêtre pour s'évadé mais au lieu de poussé devant la fenêtre l'arbre à poussé dans le bureau d'Elrond la où moi, la compagnie et Elrond étions. D'ailleurs je n'ai jamais su comment sa c'était finis .

(Moi) - j'ai été privé de sortit pendant 2 jours puis envoyé chez mes grands-parents en Lorien pour mieux métrisé ma magie.

puis tous le monde rigola sauf Legolas qui fit juste un magnifique sourire et pouffa.

Gandalf mena le groupe à travers cette immense salle. Toute la communauté ralentit le pas pour admirer l'art des nains, jusqu'à ce que Gimli partît en courant...

Nous vîmes une petite salle avec les portes grandes ouvertes et énormément de cadavres éparpillés devant les portes.

(Gandalf) -Gimli! 

Gimli n'écouta pas Gandalf et courut dans la salle. Nous le suivîmes et je vis Gimli,un genou à terre en train de pleurer à chaudes larmes devant une tombe .

(Gandalf) -Ici gît Balin, fils de Fundin, Seigneur de la Moria... Il est mort...C'est ce que je craignais .

ho non pas lui, je sentis des larmes me montés aux yeux, Balin était comme un oncle pour moi c'était le premier Nain qui est venu vers moi, c'était le Nain le plus sage que je connaisse . 

Gandalf retira son chapeau et les sanglots de Gimli redoublèrent quand à moi mes larmes tomber en rivière sur ma joue Legolas le vis et me prit dans ses bras en me chuchotant des mots doux, je ne savais pas pourquoi mais cela me calma.

(Legolas) - Il faut avancer, ne pas s'attarder ici 

Aragorn hocha la tête, mis une main réconfortante sur mon épaule et Boromir une main réconfortante sur l'épaule de Gimli .

(Gandalf) -Ils ont pris le pont et la deuxième salle. Nous avons barricadé les portes, mais cela ne les retiendra pas très longtemps. Le sol tremble. Les tambours viennent des profondeurs. Nous ne pouvons plus sortir. Une ombre s'avance dans le noir. Nous ne pouvons plus sortir. Ils arrivent... .

une eleth dans la communauté de l'anneau : VáneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant