abada kama

chapitre 13

Mam k: tu as une soeur

Kady: qu'est ce que tu racontes mam, tu sais que je ne m'entendais pas avec les filles de mon père alors, elles ne sont pas mes soeurs

Mam k: tais toi et laisse moi t'expliquer mon histoire avant que je ne rencontre ton père et tu comprendras

Kady: .....

Mam k: j'avais 17 ans quand j'ai perdu mes parents dans un accident, et pour les biens de mes parents, mes oncles et tantes ont décidé de s'en accaparé, mais bien sûr si ils devaient le faire avant mes 18ans, sinon ils allaient tout perdre car je serais à mesure de récupérer mon héritage

Kady, était vraiment choquée, elle ne connaissait rien du passé de sa mère, elle ignorait donc que sa mère était issue d'une famille aisée, mais elle n'interrompit pas sa mère dans son récit

Mam k: ils ont donc enterré, mes parents le lendemain de l'accident sans même me laissé les voir une dernière fois et à la suite de l'enterrement m'ont chassé de la maison de mes parents, j'ai dormis deux mois dans la rue, j'ai demandé plusieurs fois du travail bien que je ne savais rien faire, je voulais juste avoir un abri et de quoi à manger, mais c'était difficile pour moi, j'ai donc décidé une nuit de voler, cette même nuit il avait un homme qui sortait juste du restaurant où je m'asseyait pour attendre les restes des clients qu'un des serveurs gentil m'offrait ces jours de travail, cet homme qui sortait du restaurant était très élégant et beau je m'approchais, et tout en étant discrète je réussi à lui prendre son portemonnaie, mais aussitôt pris, aussitôt découverte, je me mis à courir a une vitesse surprenante mais cet homme était plus rapide et futé que moi, à croire qu'il avait l'habitude.
J'étais maintenant coincée dans un des couloir sombre et dégueulasse fasse a cet homme qui s'approchait de plus en plus de moi, je l'implorais de me laisser parti et que je lui remettrai son portemonnaie, que la faim m'avait rendue stupide, il avançait encore plus alors je m'accroupi et ferma les yeux en lui tenant le portefeuille, il le prit mais aussi il me releva, il m'a touché la joue avec tendresse que j'avais maintenant moins peur, il me fit savoir qu'il était militaire et qu'il me ferait rien à condition que je le suive chez lui pour qu'il s'occupe de me nourrir et me vêtir, je ne voulais pas mais une partie de moi me laissait faire et je le suivie