chapitre 25

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Kady: merci ma chérie tu m'as fait passer une excellente journée.

Layana: Tu as aussi égayé notre journée, n'est-ce pas Kadidja?

Kadidja: um..ma..ma

Kady: (rire) elle est trop adorable, tu m'acommpagnes jusqu'à la porte? comme ça ma tante saura que je n'ai pas été seule, je parie qu'elle s'est beaucoup inquiétée

Layana: mais sans problème ma chérie, attends je te fais descendre et tu portes kadidja.

Kady: OK Lay

Layana: tu m'as appelé Lay? Toute chamboulé comme si cet appellation avait un sens pour elle

Kady: oui désolée si ça te gêne

Layana: oh non ma chérie, au contraire ce nom me réchauffe le coeur, c'est la première fois j'entends ce diminitf mais c'est comme ci je l'avais déjà entendu et avec la façon dont tu m'appelé

Kady: étrange hein!

Layana: bref allons s'y

à l'entrée de la maison se trouvait la tante de Kady, qui ne cessait de faire des aller-retour par inquiétude pour sa nièce Kady

Tante: déni (enfant) d'où viens-tu et pourquoi ce n'est qu' a cette heure que tu rentres?

elle resta figée en se rendant compte que Kady n'était pas seule, mais avec une dame, une dame qui l'intriguait

Layana: bonsoir madame

Elle ne reçu aucune réponse à sa salutation, mais ce qui la gêna encore plus était le regards intense que cette femme lui portait

Kady: tante!

mais toujours aucune réponse

Kady: ma tante, toi aussi arrête de l'analyser comme ça, c'est mon amie elle s'appelle Layana Touré Hima, c'est la fondatrice de l' ONG des femmes battues, violées, c'est avec elle j'ai été toute la journée.

Tante: oh excuser moi, Bonsoir ma fille et enchanté, je vois, je comprends maintenant pourquoi votre visage me dit quelque chose, allé entrez, je vous apporte de l'eau, en leur ouvrant grandement la porte afin qu'elles puissent entrer

Layana: non merci je suis juste venue déposer Kady, je vais devoir rentrer je suis toute fatiguée et je dois aussi Nourrir Khadidja

Kady: merci encore Layana

Layana: le merci te reviens ma chérie et tu sais pourquoi

Kady: ok on s'appelle,bisou

Tante: j'espère que c'est pas de ma faute hein, je ne voulais pas la mettre mal à l'aise

abada kamaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant