chapitre 26

1.2K 95 114
                                    

Coucou mes loulous, je vous assure que la chanson d'en haut je l'ai connue aujourd'hui, mais j'ai tout de suite aimé, je vous invite donc a l'aimer avec moi

Du côté de Kady

Au retour de l'hôpital, je vis ma tante assise en pleine réflexion

-tante, qu'est ce qu'il y'a continue toujours à réfléchir à je ne sais quoi, aujourd'hui dit moi qu'est-ce qui te tracasse

Tante: Kady, je te jure que la tâche de naissance de layana et la même que

Kady: celle de maman!

Tante: tu vas me trouver folle mais je n'invente rien.

Kady: Je sais tante, tu te souviens que je suis venue pour chercher ma soeur

Tante: oui bien sûre, tu as des nouvelles ?

Kady: j'ai mieux tante et tu seras contente, regarde les analyses et après tu me diras quoi faire.

Dans le bureau de Layana

Quand cette lettre te parviendra cela voudra dire que tu as été retrouvé par ta sœur comme je lui ai demandé, et que je serai partie.
Ces lignes, je les ai pensé réfléchit et écrites avec ma déception, ma peine, ma douleur.
Je n'aurais jamais pu affronter ton regard après ta voix abandonné ma pauvre petit fille, c'est quand même bien que tu la lise maintenant, apres ma mort.
Il vaut mieux te dire tout de suite que oui, je ne suis pas une mère parfaite, et je regrette mes actes, oui je regrette de t'avoir abandonné ma fille, je n'aurais pas du t'abandonner ma fille mais comment te nourrit lorsque je n'arrivais pas à manger moi même?

Cependant avec tout l'amour que j'ai vécu et ressentir avec ton merveilleux père," ta soeur t'expliquer peut-être bien notre histoire si tu le décide", j'ai donc décidé de te garder auprès de moi, je t'ai même donné le nom donné  de ma mère, Laye.

J'avais retrouvé quelques parents de ton père, ce fût avec le coeur brisé que je reçu toutes sortes d'injures et de rejets, il me traitais de prostituée qui ne connais pas le père de sa bâtarde, d'autres disais que j'étais une mendiante que ton père à voulu aidé mais j'ai fini par salir son nom en voulant lui donné l'enfant de ma débauche, qu'il était préférable pour moi de jeter l'enfant ou je voulais, je me refusais ce crime envers mon propre enfant, mais une seule semaine, m'a ouvert les yeux j'ai trainé dans la rue et dans la faim, le froids avec toi, par chance tu n'es jamais tombé malade dans mes bras sinon sans experience ou apprentissage avec mon jeune âge comment aurais je pu savoir comment te soigné, ne pouvant pas manger, je n'avais aucun lait à te donné mon enfant, je te nourrissait avec les restes d'eaux que je ramassais ou demandais, et quand j'ai su qu'il m'étais impossible de te voir souffrir avec moi et mourir de faim, c'est avec le coeur lourd et remplir de peine que j'ai décidé de te ramener à cette hôpital je t'avais donné naissance, là bas j'étais sûre que les infirmières te reconnaîtrait, comment elle aurait pu t'oublier, elle admirait ta beauté, oui, tu étais tellement belle, le teint de ton père que tu avais te donnait de l'éclat, j'etais sur qu'elle prendrai soin de toi jusqu'à ce qu'on te place en adoption, dans une famille qui te donnerai beaucoup d'amour, c'était ma prière pendant des années.

abada kamaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant