?: voilà tu es satisfaite de toi? Et maintenant madame s'entrelace dans les bras d'un autre homme.
Layana:( en pleure)
?: tu pleures MDR efface moi tes larmes de crocodile là, non mais, toi tu n'a pas peur de Dieu hein, tu finis de tuer mon cousin et tu es ici a te réjouis avec ton amant
Dereck: écoutez madame, cessez de dire de telle allégation quand vous ne savez rien, et si vous êtes aussi cruelle que ça, allez vous deversé là où on a vraiment besoin, mais par ici.
?: oh toi pardon la, ici c'est la maison de mon cousin, c'est aussi chez moi.
Narrateur : hélas en Afrique la maison de nos frères, nos cousins, son nos maisons à " nous " et non à leurs femmes avec qui ils ont lutter et suer pour garantie un toit à leur famille, en Afrique, la cousine ou la soeur s'installe dans le foyer de son frère ou cousin pour, elle même commander le foyer à sa guise et elles arrivent même à fais partir l'épouse de leur frère. Elle ignore qu'elles sont aussi des femmes umh, Bref , on retourne à l'histoire.
Dereck: vous allez sortir et laissez sa femme le pleurer, d'ailleurs il y'a sa fille à l'intérieur et elle doit pas l'apprendre ainsi
?: de quelle fille vous parlez ? La bâtarde ? J'ai toujours dit a Brahima que cette fille n'était pas de son sang, en plus dans notre famille c'est toujours un garçon qui naît d'une union, et cette sorcière à triché peut-être même avec vous! Elle a donc été puni en ayant une fille.
Layana: (se relevant en essuyant ses larmes) toi je vais te tuer
Dereck: non Layana ne lui donne pas l'occasion de te salir d'avantage
Layana: comment ose t'elle dit tout ça de moi et traiter kadhy de bâtarde, notre fille?
?: moi je n'ai fait que dire la vérité
Dereck: OK madame j'ai voulu être gentleman avec vous mais s'en ai assez en l'emmenant à la sortie par le bras.
Dereck: sava c'est fini, je suis là avec toi.
Layana: mon calvaire commence maintenant, elles vont me le reprocher toute ma vie, je serai la risée et la sorcière de la famille.
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abada kama
General FictionDeux différentes femmes Deux différentes histoires Et une seule chose qui les assemblent. ? reviens moi je t'en prie je n'accepterais jamais ta perte.. ... Il est mort au moment ou je commençais à l'aimer et a regretter mes actes.