chapitre 14

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Au Sénégal, chez layana

Elle avait enfin ramené sa fille avec elle, et était vraiment contente de retrouver sa raison de lutter, mais son sourire allait être de courte durée, à peine entrée, elle reçu une belle gifle de la part de Brahima qui, c'était réveillé y'a de cela trente minutes , moins un, la petite kadidja aurait été propulsé sur le sol, Layana le regardait avec incompréhension et dédain, mais lui s'en foutait, elle nu pas la chance de répondre à sa gifle ou de dire quoi que ce soit qu'il l'avait déjà tiré par les cheveux, il prit leur fille dans l'autre bras et là déposa sur le sol

Brahima: étais tu passée sale p..., tu ne te suffit pas de ce foyer et en plus tu entraine ta fille dans ta puterie

Layana: mais tu es malade, lâche mes chev...

Il serra encore plus fort sur les cheveux de Layana tout en la trainant par terre.

Dans la peau de Layana

Il l'a commencé à me frapper, il m'a lancé un verre au visage, fort heureusement pour moi il ne sert pas brisé sur mon visage, il criait qu'il allait me défiguré afin que je ne puisse plus sortir, il me donnait des coups de pieds au ventre et dans le dos, mais je ne me laissait pas faire j'avais décidé de ne plus accepté qu'on me détruise, je me débattais comme une folle mais plus je me débattait plus les coups que je recevais s'intensifiait,

Brahima: sale p... Il faut te défigurer afin que tu puisses rester à la maison, comme une chienne pour surveiller la maison

Layana: lâche moi, tu n'es qu'un monstre, c'est bien toi le chien alors c'est toi qui doit surveiller cette maudite maison, si j'aurais su que tu étais un animal je ne t'aurais jamais épousé.

Brahima: ouii, parce qu' au fond ça te plaisait de faire ta pute, mais je crois que je vais bien me chargé de toi, femme indigne, incapable

Il m'infligeait un supplice, commençait à me donner des coups encore et encore, il ne me frappait plus: il me tabassait, il me détruisait, et en plus devant mon bien le plus précieux.

Je pleurais, je cessais de jouer la dure je l'implorait de me lâcher, je pleurais ma souffrance, et j'ai encore plus pleurer lorsque j'ai entendu les cris de ma fille, elle ne comprenait sans doute pas tout, mais elle savait que sa mère souffrait, que sa mère était en danger, c'était la toute première fois que Brahima m'avait réduit au rang animalier,

abada kamaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant