j'enchaînais les kilomètres comme un chanteur enchaîne ses paroles. je ne faisais attention à rien, juste la musique guidait mes pas. je m'arrêtai soudainement et n'osai rien faire.
(??) - RenJun-ah!
je coupai ma musique, puis baissai la tête. quelques secondes après, une main traversa mes cheveux, ce qui me remonta ma tête à sa hauteur normale. je tombai alors nez-à-nez avec ChenLe.
(CL) - ça fait longtemps hyung! s'exclama-t-il en souriant.
(RJ) - même pas deux jours, n'abuse pas hein.
(CL) - oui aller, viens je dois te parler de quelque chose.
(RJ) - la chose importante de la dernière fois au téléphone?
(CL) - yep.il me prit par le bras et m'entraîna dans un coin isolé. nous nous asseyions par terre quand mon ami commença la discussion.
(CL) - il y a quelques jours, tu es aller à Busan et tu y as rencontré ma sœur, Li-Mei.
(RJ) - oui, mais comment tu sais que j'y ai vu ta sœur?
(CL) - elle me l'a dit. et par la même occasion, j'ai appris qu'elle avait des sentiments pour toi dès la première fois où elle t'a rencontré. je sais, tu aimes Jeno et ferais tout pour lui, mais depuis que tu es revenu à Séoul, Li-Mei serait en train de tomber en dépression... j'espère donc que tu pourras essayer de la réconforter pour éviter qu'elle fasse des bêtises... m'expliqua-t-il calmement.
(RJ) - je comprends tout-à-fait mais j'ai beaucoup trop d'autres choses plus importantes à régler mais j'essayerais quand même de lui parler.
(CL) - "d'autres choses plus importantes"? donc ma sœur pourrait se suicider et toi, tu resterais là, les bras croisés à regarder la scène!je savais que je l'avais blessé en disant cela mais oui, c'est un peu vrai. vu tout ce qu'elle m'a fait, pourquoi je l'aiderais?? le fait qu'elle soit l'aînée de mon ami je change rien à la situation: je ne ferais rien pour elle.
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my first and last;; renjun&jeno.
Romance« pour la première fois de ma vie, cela ne m'a pas dérangé de parler d'homosexualité avec un homme, surtout celui que j'aime. c'est comme s'il voulait savoir si on avait quelque chose de plus que les autres, mais non. nous sommes tous les mêmes en é...