Les gardiens de Sélénia

Chapitre XVI

Les jours suivants je suis pas aller au Palais comme je le fessais quotidiennement, j'avais honte de ce qu'il s'était passer. En rentrant chez moi je mettais enfermer dans ma chambre, j'avais pleuré le trois quart de la nuit persuadais d'avoir perdu l'homme que j'aime. J'avais fini par m'endormir vers cinq heure du matin. J'avais pris soin d'éteindre mon portable pour que personne  ne me contacte, j'avais envie d'être seule, je voulais parler à personne. Quelqu'un frappe à ma porte, je réponds pas mais la personne insiste.

Moi:- Je veux être seule laisse moi tranquille.
??:- Mais c'est important.
Moi:- Amélia ?
Amélia:- Qui d'autre ?

Je me lève pour allais lui ouvrir.

Moi:- Qu'es qu'il y a ? Demandais-je timidement.
Amélia:- Tu viens plus c'est dernier temps au Palais. Qu'es qu'il se passe ?
Moi:- Tu as qu'à demander à Thierry.
Amélia:- Il a rien voulût me dire. Il c'est enfermer dans sa chambre aussi.
Moi:- Et Rosa elle est pas avec lui ?

Je m'empêchais de me préoccuper d'elle. Elle mérite pourtant pas autant d'attention de ma part.

Amélia:- Je l'ai pas vu depuis trois jours. Talia il c'est passer quoi ?
Moi:- Une dispute
Amélia:- Avec Thierry ?
Moi:- Non Rosa.
Amélia:- Ho... Et ?
Moi:- Et je lui des choses horribles qu'elle mérite soit dit en passant et Thierry était derrière moi.
Amélia:- Et tu te rabaisse à ça, je te penser plus forte que ça Talia.
Moi:- J'assume pas Amélia, j'aurai dû t'écouter quand tu m'as dis, de rien faire et attendre mais je suis rentrer dans son jeu quand elle m'a provoquer. Maintenant j'ai tout perdu.
Amélia:- Mais non ne raconte pas m'importe Thierry il t'aime toujours.
Moi:- Je n'en suis plus si sûr.
Amélia:- Mais il y a pas que Thierry qui c'est fait retourner le cerveau.
Moi:- Qu'es que tu raconte.
Amélia:- Il est évident qu'il t'aime encore, il sera dans l'état qu'il est maintenant.

Je la regarde avec interrogation. Comment il est en se moment c'est vrai se mettais pas dit serai malheureux pour moi, et qu'il se dirigerai directement vers Rosa et qu'il y avait aucune autre possibilité, mais apparemment oui.

Amélia:- Il a tout casser dans sa chambre, vraiment tout, je l'ai jamais vu comme ça.

Elle reprend la parole quelque seconde après en tapant dans des mains se qui me fis sursauter.

Amélia:- Bon au lieu de te morfondre demain tu viendras au château, en attendant on va rejoindre les filles et on va achetez vos robes pour la cérémonie qui à lieu dans cinq jours. Ça va te changée les idées.

N'aillant pas vraiment le choix je me prépare pour qu'on rejoigne nos amies au centre commerciale.

Dans un café en plein milieu des magasins nous avons enfin finie de nous acheter nos robes. Nous avons passer une éternité dans les boutiques parce que Oriana et Inès trouvaient pas la robe finalement se sont des robes plus ou moins simple qu'elles ont prient, j'ai voulus les égorgeraient mais après réflexion je me suis que c'étais pas la meilleure des solutions. C'est vrai que retrouvais toutes mes amies ma fais un bien fou et j'ai pu me changée les idées. Et dieu sait combien j'en avais besoin.

Je rentre chez moi toujours accompagner de Amélia. Elle insiste une dernière fois avant de partir pour  me voir au château demain sinon elle venait me chercher, elle dit ça très sérieusement et je sais qu'elle en est capable, alors je pense que j'ai plus vraiment le choix. Et puis elle a raison il faut que je vois Thierry de un parce qu'il me manque, de deux parce que il est pas heureux et ça me rend malade de savoir de c'est ma faute et de trois je veux savoir se qu'il c'est passer avec Rosa.

Le lendemain je me rend alors au Palais un peu angoisser. Es-ce que j'avais tord, je l'ai pas perdu ? Je l'espère tellement. Je passe les portes du Château, puis monte les escaliers, arrivais dans le couloir où sont les chambres. Je reste plantais là ne sachant pas quoi faire, aller d'abord chez Amélia ou aller directement voir Thierry. J'ai envie de le voir mais en même se sais quoi lui dire. Maintenant que je suis là j'hésite à repartir mais je suis plus forte que ça,il faut que je fasse quelque chose je peux pas laisser Rosa gagner, pas aussi facilement. Je fais un pas vers la porte de Thierry, mais cette dernière s'ouvre. Je me fige, lui aussi en me voyant. On reste comme ça de longue seconde puis je m'approche de lui d'un pas hésitant. Quand j'arrive à un mètre de lui je m'arrête et me plonge dans ses yeux fatiguer comme les miens. Il finit par enlevé l'espace qui rester entre nous en me prenant dans ses bras, je le sert contre moi, il m'a manquer même si c'est que quatre jours, ça avait été affreusement long.

Thierry:- Désolé. Me chuchote-il.
Moi:- Non moi excuse moi... Lui répondis-je sûr le même ton.

Il se détache de moi pour mettre c'est main de chaque côté de la tête. Il secoue sa tête en me regardant dans les yeux.

Thierry:- Non tu n'as rien fais, tu m'as juste exposé le problème et je ne t'ai pas écouter.
Moi:- C'est pas grave.
Thierry:- Si ça l'ai, j'ai brisé ta confiance.
Moi:- N'en parlons plus, tu veux bien ?
Thierry:- D'accords mais avant, il faut que tu saches se qu'il c'est passer avec Rosa.

Je hoche la tête. Je voulais savoir ça depuis dès jours enfin dès quatre jours mais quand même je voulais savoir. On rentra dans sa chambre, je fais pas attention au bazar qu'il y a c'est vrai qu'il a tout casser, et on s'assoit sur son lit puis il m'explique que dès que j'étais partis elle s'était mit à pleurnicher et que par réflexe et aussi par il était son amis, il l'avait prit dans ses bras. Puis elle est repartie chez elle. Le lendemain elle est revenue. Et elle avait bien comprit qu'elle avait "quartier libre" et elle en a profiter. Elle pensais avoir enfin eu le cœur de Thierry et c'est là que tout à changé, elle se vanté d'être la princesse du royaume. Thierry alors à bien comprit qu'elle était là que parce qu'elle voulait être la futur Reine et par pour lui. Mais qu'elle peste.

Thierry:- C'est se que j'aime chez toi, tu en as rien à faire de qui je suis par rapport au royaume, mais pour qui je suis réellement et ça je t'en suis reconnaissante.

Je lui souris avec le plus beau sourire que je n'ai jamais fais. Puis je l'embrasse.

Moi:- C'est normal c'est parce que je t'aime.

Je lui avais enfin dis je lui avais jamais dis et lui bon plus mais je sais qu'il le pense. On a franchit un obstacle et j'espère ne plus jamais la revoir, cette peste que je déteste plus que tout.

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