Pdv Nathy
Je suis sortie de mon sommeil par des chatouilles. Des cheveux me frôlent le visage de manière régulière. J'ouvre péniblement les yeux, et je vois Colin un air grave sur le visage. Je suis dans ses bras mais pas totalement. Il est penché sur moi. Mes jambes ne sont pas contre lui, mais je sens qu'on me les maintiens. Je commence à bouger pour essayer de me libérer.
Jake : Nathy ne bouges pas, tu vas tomber.
De quoi ! D'où je vais tomber ? Mais on est où là ?
Jake : Je t'ai dit d'arrêter. On va faire une pause dès qu'on le pourra, là c'est trop dangereux.
Je n'ai pas envie de l'écouter, et je me retourne pour me défaire. Je tombe par terre et là je réalise que nous sommes au bord d'une crevasse. Je me précipite aussitôt dans les bras de Jake qui me récupère en me serrant contre lui.
Jake : Je t'avais dit de pas bouger. T'écoute jamais ma parole ! Adam ! Tu l'attrape ?
Il me hisse en hauteur et deux bras me réceptionne. On n'était en train de monter ok. Adam me regarde rouge de honte de la position dans laquelle nous nous retrouvons, et sans savoir pourquoi je me rue sur ses lèvres. Elles sont douces, et ont un goût de miel. Il me rend mon baiser, c'est d'une intensité !! 'un coup, il s'éloigne et j'entends un raclement de gorge. Colin et Jake sont derrière nous.
Moi : Vous pouvez m'expliquez où on est et ce qui s'est passé ?
Adam prend la parole et me raconte tout depuis leur découverte, à ma morsure de serpent, aux saignées, et à notre présence ici. Il me rassure en me disant qu'on est presque arrivé et que je pourrais me laver. Il parait très gêné par ce qui s'est passé, mais je ne sait même pas pourquoi je l'ai embrassé.
Pdv Klauss
Sa fait déjà plusieurs jours que j'ai commencé mon enquête et tout me laisse pensée qu'ils sont partis loin d'ici. Je me pose encore la question si je dois retourner à New york et creuser cette piste, rentrer chez moi, ou retourner voir mon frère. Mes sources, m'ont affirmé qu'ils avaient été à New York, et qu'il y avait un contact au vu de leurs appels téléphoniques. Mon frère était lui aussi dans cette ville et je trouve son départ pour Tokyo prématuré. Tout semblait faux. Je me dis qu'il y a quelque chose là bas que je me dois te trouver, mais quoi. D'autre part mon fils me manque, il a du grandir et comme on me l'a assez répéter, je dois lui donner une éducation. Mais retourner glaner des infos auprès de mon frère m'offre une possibilité infime de trouver ce qu'il manigance, et la trahison à toujours été la pire souffrance à mes yeux.
Après avoir mûrement réfléchit, ma décision était prise. Mon billet en main, je monte dans l'avion. Celui ci se rempli rapidement, et décolle. Au bout d'une heure de vol, le pilote nous informe que nous devons nous poser sur un petit aéroport à cause de la météo. New york devra attendre. Mais moi j'ai faim. Mon compagnon de siège fera l'affaire. Afin de ne pas éveillé les soupçons de la police, je l'hypnotise, il pourra toujours me servir plus tard. Ils nous mettent dans des chambres d'hôtel, et e décide d'allumer la télé. J'apprend que le jet d'un milliardaire se serait scratché sur une île, et que les passagers seraient tous vivants. Pour l'instant. Le film du crash passe en boucle, mais aucun nom ou photo dévoilant l'identité des occupants. Juste leur fonction dans l'entreprise. Je trouve cela vraiment bizarre, d'habitude l'identité est la première des choses dites. De plus ce Carter à l'air de tenir à la vie de ses employés pour mettre autant de monde sur l'affaire. Un fais divers comme tout les autres. Je décide d'appeler mon frère pour avoir de ces nouvelles, mais aucun réseau. Dommage. Bon ! je vais aller manger.
Pdv Stéphan
Eléna et Lorie sont restés à la maison, je suis parti à la recherche de mon frère lorsque Lorie m'a expliqué pour la visite du mec chevelu. S'il la suivit c'est qu'il à quelque chose en tête, je le connais bien. Je n'avais pas eu trop de mal à le retrouver, je n'avais eu qu'à suivre les cadavres qui s'entassait, et je fus surpris par sa détermination à vouloir travailler. Il y avait vraiment anguille sous roche. Le meilleur moyen de trouver pourquoi c'était de l'aider. Je devais infiltrer des entreprises pour trouver celui qui avait proférer des menaces de mort sur une autre entreprise. Avec ses renseignements j'étais bien aidé.
Avec mon aisance, je n'eut aucun mal à me faire engagé chez Pir Group, en tant que stagiaire. Bon au moins j'étais dans la place, et personne ne faisait attention à moi, c'était plus facile pour mener mon enquête. En allant faire des photocopies, j'entendis une conversation que je n'aurais jamais du entendre. Un homme proférait des menaces sur un autre, lui disant qu'il n'avait pas bien fait son travail, qu'ils étaient vivants, et qu'il était mal renseigné puisque celui qu'il visait n'était pas dans l'avion. Je pense que j'avais trouvé celui que mon frère cherchait. Un coup de fil plus tard, le mec était en train de me suivre jusqu'à chez Damon.
Damon : Ta été rapide. Mr Carter ne s'était pas trompé, c'était donc bien lui.
Stephan : Oui. Bon maintenant que ta ton mec tu vas me dire pourquoi tu fais tout sa ?
Damon : Attends, il me faut des explications. Prends ton portable on va filmer ses aveux. Alors maintenant tu vas me dire gentillement ce que tu as fait à Mr Carter.
Mec : Crève.
Damon : Bon si tu le prends comme sa. J'avais justement un ptit creux.
Mon frère lui saigna la carotide, mais le laissa en vie.
Damon : Bon tu parles, ou je te tue ? A moins qu'on utilise l'autre méthode.
Mec : Non, c'est bon. De toute façon, mon boss va me tuer. Carter c'est le concurrent de mon boss, et il veut sa mort. Quand il était en Afrique, il à voulu le faire tuer, mais le connard là bas, à pris son assistante et c'est bien fait plaisir.
Damon : Tu sais que la fille à été complément démoli ?
Mec : D'après ce que j'ai entendu, il n'y a pas été de main morte, et il l'a rempli par touts les trou. Une vrai salope à c'qui parait.
Je reste choqué ! Mon frère vient de lui envoyé son poing, et continue de le frappé. Il défend la fille. c'était donc sa. Y'a toujours une fille la dessous. Depuis quand il se préoccupe du sort des autres.
Mec : C'est bon ! J'pouvais pas savoir qu'c'était ta pute.
Et là, il le tue. Son cœur est toujours dans sa main.
Démon : Tu méritais de crevé sale bâtard. Stéphan débarrasse moi de ce corps et demain on y retourne je veux le boss.
Stéphan : C'est qui cette fille ?
Démon : Personne.
Mon frère était vraiment bizarre, je ne l'ai vu dans cette état là que trois fois. Pour Katerine, mais elle n'était plus. Pour Elena, et je savais qu'elle n'avait aucun problème. Et pour Nathy, mais elle était morte aussi. Serais- t-il de nouveau tombé amoureux ? Il avait dit Carter, et le mec avait parlé de son assistante. Sa devait pas être très difficile à savoir qui elle était.
Après avoir pris le corps, je me retrouva devant le bâtiment de Carter Corp. J'avais emprunter les vêtements d'un coursier pour apporter un pli à l'assistante en question. Avec la tornade qui arrivait, bon nombre de personnes n'était plus dehors, et l'entreprise était fermée. Je partis donc vers un vigile lui expliquant que je devais bosser malgré le temps et poser le pli sur son bureau. Il me répondit qu'il n'y avait plus d'assistante du patron et que la place était vacante. L'ancienne avait du démissionner,de retour du voyage d'Afrique surement parce que le patron l'avait jeté après avoir couché avec elle. Quelle ironie du sort. Était t-il vraiment au courent ? Il m'avoua ensuite que ce n'était qu'une rumeur. Il prit le paquet en me rassurant qu'il serait donner à son patron. Je devais trouver qui était cette fille. Tout cela ne pouvais pas être une coïncidence. Je me doutais bien que cette fille n'avais pas couché avec son patron, enfin qu'il ne l'avais pas jeté et qu'elle devait être importante pour lui pour engager Démon trouver ce bâtard. Elle avait eu l'air d'avoir bien mangé. Cette fille était la clé, bien trop importante pour mon frère pour être une simple personne, et celui bien trop mystérieux à mon goût. Je reparti alors chez mon frère après avoir fait un détour à Central parc. Fallait bien que je manges un peu. Y'aurais bien un écureuil à se mettre sous la dent.
