La Nouvelle Orléans. Une ville qui ne dort jamais. Mon royaume. Nathy va s'y plaire. Notre maison est en vue. Je fis descendre tout le monde de la voiture. Drogo s'exclame bruyamment en découvrant l'endroit. Peter scruta chaque recoins et Nathy resta pensive. Nicolass lui resta endormit.
Klauss : Ne vous extasiez pas trop, vous logerez à l'ancienne villa. Ce sera moins risqué pour vous tous. Personne ne doit savoir que Nicolass est mon fils. Vous restez avec Elijah, il veillera sur vous. Vous irez à l'université et ne causerez aucun problème. Vous devrez assister à tous vos cours et vous battre pour avoir la meilleure moyenne. Vous aurez les mêmes options, comme sa vous ne serez jamais seul. Ne vous faites pas repérer. Les gens doivent penser que vous êtes des humains. Ce ne sera pas trop difficile vous n'aurez qu'a faire comme Nathy.
Elijah : Vous reprendrez au lycée, en première année, vu que vous paraissez tous avoir 17 ans sa sera plus simple pour nous de gérer. Bien entendu Klauss ne vous à pas énumérer toutes nos règles. Nicolass restera avec moi ou avec une de nos sœur pendant la journée si Klauss n'est pas disponible. Vous changerez tous de noms de famille. J'ai les papiers de Nicolae qui me permettre de vous adoptez légalement. Vous serez donc des Mickaelson. Vous serez frères et sœur, donc les garçons ont gardes ses distances. Si vous avez une mauvaise note, punition, et si nous devions être amené à intervenir, je peux vous dire que Nicolae était le père noël. Nous c'est plutôt le père Fouettard.
Klauss : Vous n'êtes pas en prison, mais mon frère aura votre emploi du temps. Toute absence où retard devra nous être signaler. N'éteignez jamais vos portable, vous les passés en vibreur pendant les cours. Méfiez vous de chaque personne. Et pas de bagarre.
Drogo : Si un mec colle Nathy de trop prêt, on ne doit rien faire ?
Klauss : Non. Tu la sort de ce mauvais guêpier et ensuite tu m'avertir. C'est moi qui m'occuperais personnellement de leur cas. Vous verrez, vous vous plairez. Même si vous loger dans l'autre maison vous êtes les bienvenus ici. A oui, j'oubliais, on ne ramène pas de fille à la maison ou de repas extérieur. Vous faites des erreurs, vous les rattraperez. Peter, mon frère va pouvoir te montrer son magnifique piano ainsi que sa bibliothèque. Drogo, j'ai appris que tu aimais le pouvoir. Marcel mon compagnon va te faire découvrir la ville, mais attention. Tu dois leur faire croire que tu est un humain. Il n'y aura que Marcel qui sera au courant. Nathy, laisse moi te faire visiter.
Je l'emmena à l'étage et lui fit découvrir nos chambres, mon atelier, ma galerie, la bibliothèque, la cuisine, mais je me garda bien de l'emmener au sous sol. Sa vie ne tenait qu'à un fil et encore plus depuis qu'elle est ici. Nicolass se reveilla et brailla pour avoir de l'attention. Ce qui fit rigoler Nathy.
Klauss : Ma douce, que t'arrives t-il , c'est la fatigue ?
Nathy : Non. C'est Nicolass. Il braille pour qu'on s'occupe de lui. Il ne supporte pas d'être seul. Sa ne te rappelle pas quelqu'un ?
Klauss : Euhh ... on je ne vois pas.
Nathy : Toi ! Il a vraiment le caractère de son père.
Quand elle vit ma chambre ses yeux s'illuminèrent. Je voulais la garder près de moi, mais je savais qu'elle courait un danger en rester ici. Elle s'allongea sur le matelas et ferma les yeux.
Nathy : Que c'est confortable. On dirait qu'on est sur un petit nuage.
Klauss : Quand tu viendra ici, tu dormiras avec moi. Dans l'autre maison, je te laisse prendre ma chambre. Tu verras, elle est encore plus grande et plus confortable. Repose toi un peu si tu le désire, je m'occupe de Nicolass. Vous partirez ce soir.
M'occuper de fils était nouveau, mais je n'avais confiance en personne. Sa mère était bien trop fatiguée pour faire quelque chose. De plus, j'ai l'impression que tout est encore trop chamboulé dans sa tête. Ses sentiments ne sont pas clairs envers moi, et elle rejette un peu ce bébé. Pour elle, tout est de sa faute si sa vie à été chamboulée de cette façon, mais elle ne sait pas que cela fait longtemps que son destin est tracé. Nous avons réussit à la garder humaine le plus longtemps possible, mais je ne sais pas si ici on y arriveras. Je pars à la cuisine pour lui préparer un bon repas, cela fait un moment qu'elle n'a rien avalé. Cela fait trois jours. Il faut qu'elle reprenne des forces, boire de mon sang ne va pas la nourrir éternellement.
Pdv Peter
La maison est magnifique. Ils sont encore plus riches que notre père. Tout ici respire le luxe. Elijah me fait faire le tour de la maison et me conduit à la bibliothèque. Elle est énorme. Il y a des millions de livres. Je vais me plaire ici, je sens cela. J'aime apprendre, et Il a l'air d'être un très bon professeur. Il m'emmène ensuite dans un salon où il y a un splendide piano noir. Il doit daté des années 1900. Un très bon piano. Parfaitement accordé. Je me mets aussitôt à en jouer. Je vois Elijah sourire. Il s'assoit dans un fauteuil et ferme les yeux pour m'écouter jouer. Cela me fait un bien fou. Toute ma tristesse passe dans les notes. La mélodie est mélancolique, mais elle me libère d'un poids. Grâce à elle, toutes mes émotions refoulées sortent.
Pdv Drogo
Marcel est charmant. Je l'aime bien. Il m'a tout de suite pris sous son aile. Il m'a présenté à ses amis, et m'a fait faire le tour de son royaume. Il m'a expliquer qu'avant il en était le roi, mais que Klauss l'avait destitué. Il en reste quand même l'adjoint principal. La Nouvelle Orléans est une ville fantastique sans cesse en mouvement. Il y a plein de touristes. Après avoir bu une bonne bière il me conduisit à son appartement. Il était immense. Il m'ouvrit alors les portes de sa salle de sport. Mon visage s'éclaira instantanément. Il m'invita alors à venir le rejoindre sur le tatamis, et m'enseigna de nouvelles techniques de combat. A partir de ce moment là, je savais qu'il allait devenir mon meilleur ami.
Pdv Klauss
Tout le monde est rentré, le dîner est servit. Je les invite à passer à table et leur explique qu'ils doivent se forcer à manger de la nourriture humaine. Que chez nous le raffinement était de mise, et que l'on ne saignait pas la nourriture au cou, sauf pour se défendre. Nathy regardait son assiette septique. Elle n'avait pas envie d'y toucher, pourtant il le fallait. Je ne voulais pas l'y contraindre par l'hypnose. Le dîner touchait à sa fin, chacun nous raconta sa journée et ses premières impressions, pourtant elle n'avait rien avalé et n'avait pas ouvert la bouche. Je ne voulais pas la vexée, mais je m'inquiétais pour elle. Elijah emmena les garçons au salon pour leur donner leur ration de sang. Je m'approcha d'elle, et lui releva la tête. Elle ne voulait pas me regarder. Je lui força donc la main, mais elle baissait les yeux. Elle fuyait mon regard. Que ce passait-il ? Cela faisait bien trop longtemps que je n'avais pas été humain pour comprendre ses émotions. Elle était triste, songeuse, et extrêmement fatiguée.
Klauss : Pourquoi ne pas avoir touché à ton assiette ? Le repas ne te plait pas ? Tu préfére que j'aille te chercher une pizza ? .... Mais répond bordel ! Je suis fous d'inquiétude. Je ne sais pas ce qu'il t'arrives.
Alors, dans une pulsion,j'arracha son collier. Je le fourra dans ma poche. La porte était ouverte. J'allais enfin savoir ce qu'elle me cachait. Mais des larmes se mirent à couler le long de ses joues et elle sorti en courant. Je resta sous le choc. Je savais que j'allais la rattraper.
Pdv Nathy
Cet endroit est merveilleux, Klauss fait tout pour que je me sente comme chez moi, mais c'est impossible. Le dîner qu'il nous à préparé me donne envie de voir. Cela fait des mois que je n'ai pas avalé de nourriture solide. Comment mon corps va réagir ? De plus, il nous à emmener loin de mes amis. Je ne reverrais plus Sébastiàn, ni Démon, ni Sarah. Ils vont me manquer. Même Samantha. La vie d'ado est fini. J'ai eu un bébé. J'avais prévu de le donner à son père et de me tirer. Voilà, c'est fait. Je dois partir. Je courais dans les rues sombres de la Nouvelle Orléans, pourquoi avait -il fait sa. Mon collier. C'est la seule chose qui me permettait de garder une partie de mes pensées secrètes. Il allait connaitre mon plan. Je sortis mon téléphone de ma poche et composa le numéro de celui qui occupais mes pensées secrètes. Il décrocha. J'allais lui répondre, mais je perdis l'équilibre et me retrouva par terre. Un homme s'approcha de moi. Je l'entendais au bout du fil, il lançait des allo, allo. Je ne pouvais pas répondre. J'étais trop vulnérable, j'allais me faire croquer. L'homme m'empoigna et commença à me sentir. Il me dégoûtait. Ses crocs sortir et d'un coup, il vola. Klauss m'avait encore une fois sauvée. Il vit mon téléphone et entendit la personne que j'appelait. Il fit exprès de l'écraser avec son pied. Il me prit dans ses bras et me ramena chez lui. Il me déposa sur le lit et s'assit à mes cotés. Il avait l'air contrarié.
Klauss : Fini de rire. Tu vas tout m'expliquer maintenant et je saurais si tu me mens.