Je sentis un baiser sur mon front, je me mis à sourire bêtement et à penser à Enzo. J'ouvris les yeux doucement mais je fus surprise par la vision qui s'offrait à moi. Je me rassied et me frotta les mirettes. Étais-je en train de rêver où de faire un cauchemar ? Il était là, devant moi. Il me souriait. Par reflex je portais la main à mon cou, et me rendit compte que mon collier avait été remis en place. Je n'étais plus enchaîné.
Klauss : Il est l'heure de te réveiller ma douce, sinon tu risque fort d'être en retard en cours.
Nathy : En cours ?
Klauss : Nous sommes lundi. Je t'attends à la cuisine.
Je dois être en train de rêver c'est sur. Klauss, gentil ! En tout cas, c'est une meilleure manière que celle d'Elijah. Avec lui on se croirait dans une caserne. Je pris ma douche et je le rejoignit. Sur la table une myriade de gourmandises m'attendait. Je me rappela la promesse faite à Enzo et j'avala un petit gâteau. Klauss m'invita alors à le suivre dans la voiture. Je n'en croyait pas mes yeux. Il me déposa devant le lycée et me souhaita une bonne journée, puis il parti. Je fut surprise, mais ensuite, je me mis à avancer direction la salle de classe. On commençait par l'histoire le lundi. J'étais contente, j'allais revoir Sébastiàn, mais aussi Enzo. Je m'apretait à entrer dans la classe quand Vanessa me barra le passage.
Vanessa : Alors la nouvelle, t'es revenu. Tu aurais pu rester plus longtemps chez toi, sa ne nous dérangeait pas.
Nathy : Excuse moi je souhaiterais entrer. Je ne voudrais pas mettre en retard le reste de la classe à cause de ta faute.
Elle ne bougea pas d'un iota. Enzo arriva et la poussa puis m'invita à entrer. Il pris place à coté de moi. Sébastiàn arriva et commença son cours. Quand il me vit, son visage s'illumina. Il était content que je soit de retour. Nathy is back. Oui oui. Grâce à Enzo j'ai trouvé la force au fond de moi d'affronter Klauss.
Sébastiàn : Ah Mlle Mickaelson vous êtes de retour. Je voudrais bien que vous veniez me voir à la fin du cours.
J'hocha la tête en guise de réponse. Il avait compris mais pas que lui. Le cours se déroula sans encombre pour une fois. La classe se visa, pas complètement, deux rigolos m'attendait, j'ai pas besoin de vous dire qui. Je déambula entre les rangs et m'approcha du bureau avec une certaine préhension.
Sébastiàn : Mlle Mickaelson, je peux constater sue vous allez mieux. Je vous ai fait des copies des cours que vous avez ratée et voici le devoir à me rendre demain. Je ne vous retiens pas plus longtemps.
Sa main frôla la mienne lorsqu'il me tendit le sujet, je ressenti la même sensation que lorsqu'il m'avait sauvé. Je quitta la classe heureuse.