Pdv Jake
Ils nous ont répondu, sa veut dire qu'ils nous ont vu. Ils vont venir. J'espère juste que ce sont nos amis. Sa fait maintenant deux heures que je descend, et j'arrive enfin au bunker. J'y retrouve Nathy et Colin, celle ci c'est endormit dans ses bras. Il la repose délicatement et vient me rejoindre à l'extérieur.
Colin : Tu crois que c'est Ryan ?
Jake : J'espère. Où est Adam ?
Colin : Il est parti à la plage.
Jake : Je vais le rejoindre. Tu reste avec elle, et vous vous planquer. Garde une arme avec toi on ne sait jamais. C'est peut être des trafiquants. Tu fermes de l'intérieur et je camoufle l'entrée. Je te donnerais le code pour que tu m'ouvres.
Colin : Ok. Ne t'inquiète pas, je veille sur elle.
Jake : Ouais, mais pas de rapprochement. Tu te rappelle. Pas tans qu'elle n'est pas consciente de ce qu'elle fait.
Il lève les yeux aux ciel et ferme la trappe. Je la camoufle et me mets en route.
Pdv Matt
Nous avons atteins la plage. Enfin ! Mais il n'y a personne. Ils n'ont pas du y rester. Avec mon frère on commence à examiner les lieux, et nous sommes aussitôt attirés par des arbres cassés. Un parachute est accroché en hauteur. Nous le tirons, et là, Daryl se mets à hurler. Il lâche le sac du parachute qu'il avait en main et cours vers le bateau. Je ne comprends toujours pas. Je prends à mon tour l'objet et sa fait tilt dans ma tête. Sur le sac, je vois le logo de Carter Corp. Ce sont eux. Ont est sur la bonne île. Je rejoins mon frère qui s'excite sur la radio.
Daryl : On n'y est ! Je répète on y est. On n'a trouvé un parachute. C'est à eux !
Pablo : Daryl c'est Pablo, je transmets à Carter. Il sera heureux. Revenez vite.
Nous retournons sur la plage et déchargeons le matériel qu'on à emporté. Daryl jette un œil aux dégâts du gouvernail pendant ce temps là. C'est vraiment calme, il n'y a aucun bruit à part celui de la mer. Ils ont du flipper grave.
Pdv Adam
Cela fait un moment que je marche, notre campement étant très éloigné de la plage, mais je suis pressé de savoir qui est venue nous chercher. J'ai dépassé la carcasse de l'avion il y a dix bonnes minutes, et je vois le bateau sur la plage. Je me cache derrière les arbres. Je ne distingue pas les personnes, mais je vois deux hommes affairés sur la voile. J'observe le bateau et vois le nom de celui ci. "Le Carter II "
C'est bien eux. Je sors des buissons en courant à leur rencontre. Matt, et Daryl ! Je suis tellement content de les voir. Ont se saute dans les bras. Ont va pouvoir rentrés !
Matt : Adam ! je suis content. Tiens tu dois avoir faim et soif, attrape sa poteau.
Adam : Moi aussi, j'suis content. On va se tirer d'ici.
Daryl : On à eu quelques avaries à cause de la tempête. Il va falloir réparer avant. Comment vont les autres ?
Adam : Jake, ne devrais pas tarder, mais il était plus haut que moi, y'a un sacré chemin jusqu'à notre campement. Il a du mettre Nathy et Colin en sécurité avant de venir. On n'a trouvé de l'eau, on chasse pour manger, on n'a des fruits aussi, et on n'à trouvé un bunker. Oh vous avez des couvertures et des vêtements !
Matt : Bien sur. On peut laisser le bateau là ? Sa craint rien ?
Adam : Mettez l'encre, l'eau monte beaucoup. On va se mettre en route.
Daryl : Et Nathy ? Et Colin ? Comment ils vont ?
Adam : Colin, à rater son atterrissage et à finit dans un arbre. Il s'est péter la cheville, mais il va mieux maintenant. Quand à Nathy ... C'est une autre histoire.
Matt : On n'a appris pour l'Afrique.
Adam : Elle est sortie de son mutisme, mais bien qu'elle nous le cache, le traumatisme est toujours présent. Elle s'est mis en tête de couché avec nous pour effacé toute traces de l'autre connard.
Daryl : Vous en avez pas profité j'espère !
Adam : Non, bien sur. On n'a fait un pacte. Mais dès qu'elle sera consciente de ses actes, on n'a dit que ce sera chacun pour soit. Par contre ne soyez pas étonné, qu'elle est peur de vous et qu'elle se soit rapprochée de nous.
Daryl : Pas de problème, allez c'est bon, en route alors.
Matt : Attends, la radio.
Daryl : ta raison.
Nous avions mis les choses au clair, et nous avions repris notre route.
Pdv Klauss
Enfin, me voici à New York. La ville à pris chère ! Ils vont en avoir pour un moment à tout reconstruire. Alors, qu'es-ce que mon frère, son batard, le chien et le connard peuvent avoir en commun pour essayer de m'éloigner de cette endroit ? Je marche sans savoir où aller en pensant à cette question. Je lève doucement la tête lorsque j'entends une voix que je connais bien. Sans le vouloir, je m'étais retrouvé dans le quartier des affaires. Alors je n'avais pas la réponse à ma question, mais elle me semblait de plus en plus évidente. Lui aussi était là. Et la seule chose que tout ce petit monde avait en commun c'est ELLE. Mais elle était morte devant mes yeux, c'était imposible. A moins qu'ils ne l'aient trasformés avant. Non, je l'aurais sentis. Je m'approcha de lui sans faire de bruit.
Klauss : Alors mon chez cher Démon ! Que fait tu donc par ici ?
Démon : Klauss ! Mon ami ( dit t-il d'un ton ironique ) . Et bien comme tu peux le voir. Je travailles.
Klauss : Toi ! Travailler ! Permets moi d'en douter. Tu n'as jamais rien fait gratuitement. Dis moi la vérité.
Démon : Je prends toujours de la veine de vénus. Tu ne peux pas m'hypnotiser. Et je travailles, comme je viens de te le dire. Et toi ? Que viens tu faire si loin de ton fils.
Klauss : Je me promène. Je suis à la recherche d'un connard et d'un chien qui ont tué ma bien aimée. Aurais tu des informations à me communiquer ?
Démon : Huuummm. Laisse moi réfléchir ! Non. Je ne les ais pas revus depuis notre départ de Mystéry spell. Tu as pensé à y regarder ? Ils sont peut-être retournés là bas.
Mais oui, comment je n'y ai pas pensé plus tôt. Mais avant ma douce me préoccupe beaucoup plus qu'eux.
Klauss : Et à tu des nouvelles de ma douce ?
Démon : Aux dernières nouvelles, enfin, je n'y étais pas, mais elle se serais fait tuer devant tes yeux. Tu aurais du me la laisser, j'aurais pu la protéger moi.
Klauss : Je te rappelle que nous avons un fils ensemble.
Démon : Fils qu'elle n'a jamais voulu. Maintenant, j'ai du travailles. Laisse moi.
Klauss : Ce n'est pas fini. Crois moi. Sa vient juste de commencer.
Il en sait plus. son cœur n'était pas régulier. Il me mens. S'il est là, c'est qu'elle n'est pas loin. Elle n'est donc pas morte.
