𝑺𝑨𝑵𝑮 𝑹𝑶𝒀𝑨𝑳

Brouillard

_ ton prince ? Demanda menaçant le prince Uchiha.

Revenant peu à peu à elle, la paysanne se redressa de la couche et s'exprima avec véhémence pour la majesté en face d'elle

_ je suis servante à son palais majesté, une subalterne de la cour Royal de Uzurbia, rien de plus.

Il regarda la pauvre fille en face de lui et soupira de soulagement ; un instant il avait cru à l'irrationnel,
Il lui commanda qu'elle pouvait se rendormir et quitta l'appartement.
La paysanne ne trouva plus le sommeil ce soir là...

Deux jour après leur venu à Perla, pour la première fois depuis ce voyage, les deux princes décidèrent de partager une Le souper avec la jeune servante de Uzurbia, elle se vêtit d'un splendide vêtement, elle n'avait pas eu le droit de s'approcher des deux hommes depuis qu'ils étaient arrivé et en soi, le prince soleil n'avait pas eu besoin de ses services.
L'heure du souper arrivait à grand pas. Et plus l'horloge tournait, plus la jouvencelle se sentait gênée à l'idée de partager le repas avec des héritiers. Elle n'avait aucune manière et ne savait pas se tenir à table ; tous gestes comptait ce soir. Ils allaient sans doute la retrouvé dans le cliché de la paysanne, mais après tout ce n'était pas un crime d'en être une n'est ce pas ?

Lorsqu'elle sortit de la chambre, ses mains moites se posaient sur chaque mur du long couloir qui menait au lieu du souper, elle traînait les pas et ainsi traînait le vêtement,
La peur la tenait au cou et anormalement elle se sentait malheureuse de prendre le souper à la table des personnalités princières.
Elle aurait pu faire le service comme les femmes présentes ici, ça aurait été plus convenable, du moins elle le pensait.

Arrivée au lieu de supplice, elle retrouva les princes déjà assis à la grande table, le regard glacial et perçant du prince Uchiha, la blessa comme un poignard qu'elle recevait en pleine poitrine

_ nous t'attendions. Depuis ton arrivé ici, tu ne mange presque pas selon les dires de mes servants. J'aurais pu te laisser mourir de faim mais ton roi et ta reine aurait eu un motif pour me lancer la guerre.

À l'instant, elle venait de remarquer quelque chose chez ce prince, la majesté de Perla était un homme en middle age, il n'était pas vieux c'était un fait mais il n'était pas aussi jeune que le prince soleil,il devait avoir environ trente ans pas plus ni moins. Les gens pouvaient se demander pourquoi considérer de tels détails, tellement anodin mais elle, elle avait besoin de ses détails, elle était sotte paysanne mais observatrice.

_ m—merci votre majesté.

_ Sasuke exagère ! Personne allait lui faire la guerre !

Les deux hommes s'échangeaient dès regards complice, puis se souriaient mutuellement, ignorant ainsi la présence de la jeune fille. Leur regard se faisaient tellement intense l'un pour l'autre que la paysanne se gênait de sa présence.

La nourriture venu, l'appétit lui était ôté. Elle ne comprenait pas ce sentiment qui serrait son cœur ; elle avait ressenti comme un piqure à l'intérieur de sa poitrine lorsqu'elle avait vu l'intensité du regard océan pénétrer dans celui abyssale du prince de Perla.

_ hey, tu ne mange pas ? Demanda fort soucieux le futur héritier de Uzurbia, le regard rempli de sollicitude.

Il avait aussitôt arrêter de manger et regardais la femme qui l'avait accompagné dans son périple, le Uchiha quand à lui restait passible, le regard tourné vers celle qui avait gagné l'attention.

_ votre magnificence, l'appétit ne vint pas. J'aimerais vous demander la grace de me retirer...

Le visage de Naruto se déforma anormalement tandis que Sasuke esquissait un sourire en coin, il avait une petite idée sur la raison pour laquelle la jouvencelle voulait s'en aller et s'en délectait farouchement.

_ très bien. Tu peux disposer Hinata.

_ merci votre majesté.

Retroussant sa robe, elle se leva et arpentait le couloir jusqu'à pénétrer dans la couche qui lui avait été assignée.

Peu de temps après, le prince soleil vint la rejoindre, il s'asseyait sur le rebord du grand lit et caressa innocemment les cheveux de la brune et lui demanda :

_ pourquoi as tu mal ? Es-ce ma faute ?

_ Non votre grandeur ; le cœur d'une paysanne ne peut souffrir d'un amour insensé car elle n'avait qu'à ne pas éprouver des sentiments impossible.