Falimata,La vie après la mort !

Partie 23

𝗙𝗮𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁𝗮 : 𝗟𝗮 𝘃𝗶𝗲 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗼𝗿𝘁 !

𝗔𝘂𝘁𝗲𝘂𝗿 : La plume de Babss

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P͟ɑ͟ɾ͟t͟i͟e͟ 23

Éclipse de plusieurs semaines ...

La vie suivait son cours, les jours se succédaient et se ressemblaient. Alex vit désormais avec les deux dames sauf que Fatima ne savait pas ce qui se tramait dans son dos. Après son accouchement, elle devenue calme et très réservée.

Flashback deux jours plutôt :

- Fais taire l'enfant s'il te plaît !
- Mais lèves toi tu es son père aussi non ? Je ne suis pas la seule a l'avoir conçu !
- Tu te moques de qui ?
- S'il te plaît il est 3h du matin et tu veux qu'on se crie dessus ?
- Tu sais quoi ? Allez y vous faire voir, je pars au salon dormir moi !
- Alex ? Reviens, je n'ai pas fait l'enfant seul. Alex ? Alex ?

Il est venu au salon et n'arrivait pas à dormir, il était sorti pour fumer quand il voit Salamatou qui était debout prêt du jardin. Ils sont maintenant dans une maison plus grande. Salamatou a vendu l'autre maison parce qu'elle avait des soucis de conscience.

- Tu n'as pas peur que quelqu'un te tombe dessus ?
- Peur comment ? Je sais que tu es dans la maison, c'est de toi seulement que j'ai peur.
- Pourquoi tu ne dors pas ?
- J'en ai perdu l'habitude tu sais ? Depuis que mon défunt mari est décédé et que j'ai empoché sa fortune, j'arrive plus à dormir. J'ai cru que vendre la maison allait me soulager mais c'est de mal en pie.

Plusieurs minutes où personne ne disait mot des deux :

- Pourquoi est-ce que tu me fixes ?
- Je te trouve assez audacieuse, en réalité, vous êtes que des vipè.res dans votre famille. Où est-ce que tu as mis l'argent ?
- Dans un endroit très sûr que je te montrerai peut-être un jour.
- Tu n'as pas ouvert un compte en banque j'espère, c'est très flagrant.
- Je l'ai mis en lieu sûr !
- Et tu ne veux pas dire où tu l'as caché ?
- Le dire à qui ? À toi ? Laisses moi rire ! Je t'ai déjà donné ce que je te devais, ou bien tu en veux plus ?
- Tu prends de l'âge et nous sommes tes seuls héritiers.
- Et donc ?
- Tu sais moi tu m'as toujours plu, je te trouve très attirante !
- Toi Alex, me trouver moi attirante ? Mon œil oui. Dis que tu veux mon argent.
- Tu veux que je te montre que je ne blague pas ?
- Agis ! Agis c'est tout ce que je te demande.
- Quelle preuve tu veux encore ?
- Je veux que tu élimi.nes ta femme !
- Pardon ? COMMENT ?
- Arrête de crier, tu veux l'argent ou pas ?
- Tu es sérieuse dans ton délire ? Tu parles de ta sœur ?
- Oui ma demie-sœur, je n'ai jamais eu d'enfant. Nous allons élever le tien ensemble. Elle doit tôt ou tard mour.ir non ? je veux que tu la tues maintenant et je te promets que tout ce que je possède sera à toi. On va vivre une vie de luxe, une vie de roi et reine.
- C'est un peu fort mais laisse-moi réfléchir.
- Je vais dans ma chambre, si ton enfant pleure beaucoup, il y'a une autre chambre. Tu sais où me trouver mon étalon, ma porte te sera toujours ouverte !

Ils sont partis dans la chambre de la bonne dame laissant la pauvre Fatima avec son enfant dans leur triste sort !

(...) Fin du flashback...

- Allo ? Alex ? C'est bon pour le produit !
- D'accord, je t'indique mon nouveau quartier et tu me l'amènes. Tu es sûr que si elle le prend, c'est fini ?
- Aucune traces, elle va mourir.
- Bien, je t'attends.

Il a raccroché et a fait un rire très malicieux. Fatima s'est approchée de lui avec le bébé de 4mois en mains.

- Tu as gagné au loto ?
- Non, mais bientôt je pense !
- Hum, Alex ? Tu ne penses pas qu'on doit partir de cette maison ?
- Partir ? Mais où ? Tu penses que j'ai de quoi prendre soin de vous ? Laisse l'enfant être ici, on profite de la richesse de ta sœur en attendant.
- Je n'ai pas confiance en Salamatou.
- Tu ne devrais pas, elle a accepté me cacher ici tout ce temps. Elle prend soin de toi et de notre enfant.
- Promets-moi que tu vas chercher un boulot et laisser toute cette vie.
- Je vais le faire, je te le promets. Sers-moi à manger maintenant.
- Garde le bébé.
- Mais non et s'il fait pipi sur moi ? Écoute, dépose le sur le salon.
- J'ai l'impression que tu ne l'aimes pas.
- Ça n'est pas cela.
- Hum !