She could be the one - SCBTO

Une de plus

Les trois autres voitures partent avant la mienne. Delphine a remis son mini short par-dessus son maillot de bain tout mouillé. Je mets le contact et démarre la voiture. Elle en profite pour mettre la musique, elle tombe sur une piste de radio. J'engage la voiture sur le sentier et entendant la voix de Charlie Puth avec sa chanson How long. J'arrive à peine sur la route principale que je sens la main de Delphien sur mon avant-bras, celle-ci descends jusqu'à mon membre qui commence à grossir. Elle me regarde approche ses lèvres vers mon oreille et murmure « Raf, j'attends sa depuis que je t'ai vu, baise-moi. » Un sourire victorieux apparaît progressivement sur mon visage. Je trouve alors un petit chemin un peu plus loin et stoppe la voiture.

Je détache ma ceinture et la prends sur mes genoux. Je dévore sa bouche, passe mes mains dans son dos pour défaire son haut de maillot. Ses tétons pointent, j'en profite pour coller ma bouche dessus. Elle commence à gémir. Je sens mon pantalon se serrer de plus en plus. Elle se sous-lève juste assez pour que je puisse déboutonner mon pantalon et que je le fasse descendre sur mes cuisses. Elle en profite pour enlever son short et son bas. Je prends ma bite et la dirige vers son sexe. J'entre en elle, elle est chaude et tout serrée. J'accélère les vas et viens et l'entends gémir plus fort.

« Raf accélère, continue. » J'aime pouvoir faire des femmes ce que je désire. Je bloque son téton avec mes dents, ma langue titille le bout sensible. Elle gémit de plus en plus fort, son vagin se contracte, elle en est pas loin. J'accélère encore, j'ai besoin de jouir. Elle bascule de l'autre côté m'entrainant dans sa chute. C'est ça que j'aime, coucher avec une fille différente tous les jours que dieu fait. On se rhabille, et on roule direction l'immeuble. Après une dizaine de minutes où le silence a été comblé par la musique, on arrive dans la cour de l'immeuble. Je gare ma voiture et me dirige vers le sas, Delphine me suivant. J'appelle l'ascenseur, rentre à l'intérieur avec Delphine et appuie sur le numéro de son étage. Pendant notre monté, elle se colle à moi et essaye de m'embrasser avant de sortir mais je ne suis pas ce type d'homme. J'esquive en lui disant que je ne suis pas un homme à prendre et elle sort sans m'adresser un regard.

Point de vue de Delphine :

Ce connard celui-là, me jeter comme ça franchement cesricains n'ont peur de rien. Il ne sait pas encore de quoi je suis capable pourarriver à mes fins. Demain quand on ira à l'université, il verra ce qu'il perd.Ce n'est pas tout, il est déjà 21h20 il serait peut-être temps d'aller manger. J'espère qu'Ema a préparé le repas, elle cuisine tellement bien. Je mets la clé dans la serrure et sens la bonne odeur de pâtes à la bolognaise. J'aime quand elle prépare mon plat préféré.

« - Je suis rentrée !

-Parfait, les pâtes sont prêtes on peut manger. Tu pourrais juste prendre les assiettes et les couverts s'il te plait j'emmène les plats au salon.

-Ok, je prends une bouteille de vin aussi pour accompagner le tout ! »

Dans notre famille, on est de fines connaisseuses ence qui concerne le vin et c'est vrai que c'est ce qui vas nous manquer le plusici.

Le repas se passe dans le silence, je n'arrête pas de penser à ce qui s'est passé dans la voiture de Raf. C'est fou comme un mec comme lui peut faire. Vu comment il baise bien, il a forcément eu des dizaines de filles de fille dans son lit mais aucune n'est comme moi. Après avoir dévorer mes spaghettis, je vais sous la douche et y reste un long moment. J'ai besoin de réfléchir à comment lui faire payer son attitude. Je choisis mes vêtements pour demain enfin je dirais plus des « bout de tissus ». Un haut très décolleté et très court laissant mon ventre et mon piercing à la vue de tous. Pour accompagner au mieux ce haut, une jupe en cuir minuscule et une paire de cuissarde. Il va voir si les françaises ne savent pas être fatales.

Je suis tellement épuisée par cette journée que je m'allonge dans mon lit en sous-vêtement seulement. J'ai déjà hâte d'être demain pour mettre ma vengeance à exécution.