LA FEUILLE DE L'IMMORTALITE

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Nous somme transporté par Djed dans un monde semblable au notre, tout était presque identique sauf les saisons, pour la première fois j'ai vu et sentie les flocons de neige sur mon visage, Ramsès et moi étions comme toutes ces personnes ordinaires qui nous entouré, j'ai vu défilé ma nouvelle vie du début jusqu'à présent. Cela m'a aidé à m'adapter en même temps à ma nouvelle situation, j'étais entrain de lire sur la terrasse de ma nouvelle belle demeure, un livre, à cet instant je ne me souvenais plus de ma vie précédente. Ramsès entre dans notre nouvelle maison en me disant:

-Je viens de perdre mon emploi, mon père vient de mourir dans un accident de voiture.

Je ferme mes yeux et me dit "ce n'est pas possible". A cet instant précis tout devient plus claire, je lui ais dit:

-Redis moi ton prénom.

Il me regarda curieusement et me dit:

-Nathalie, tout va bien?

-Je dois te dire que oui et non à la fois;

Notre maison était en plein centre ville et le bruit de la circulation a envahis mon esprit. Dans mes bras je tenais un enfant qui pleurait incessamment, je me suis levée pour me regardais dans le miroir et j'ai vu derrière mon dos, le jeune apprentie de Karnak, il était entrain d'écrire sur mon miroir en Hiéroglyphe "je te rappelle, que je suis maitre des dimensions divers, j'ai presque atteint ma plus grande gloire. Cet homme que tu vois ainsi que l'enfant que tu tiens entre tes bras, n'est pas ceux que tu crois, ils sont de moi. La reine n'est plus la bienvenue dans le monde où les âmes sont perdues." Je lisais et prononcer de ma langue égyptienne, en même temps j'entendais la voix de cet homme qui me posait des questions.

- Je sais que tu est multilingue, mais je ne reconnait pas celle-ci.

Ma force intérieure m'a laissé presque indemne, et le visage de Ramsès à légèrement changé, quand à notre fille, je savais que je devais la protéger de son père désormais. J'ai vite compris que la personne avec qui je vivais était un homme dangereux, les gouttes de sang que j'ai aperçu sur ses manches ne m'ont pas laissé indifférente. J'ai pu revoir la scène, ou même remonter le temps et voir la discussion entre lui et son père. La mort n'étais pas causé par un accident de voiture.

L'apprenti changea de visage dans le miroir, j'aurai pu apercevoir le plus grand djinn, qu'une fois Ramsès me fit montrer quand j'étais sur le trône avec lui.

"Reste dans le silence Nefertari, ce que tu tiens dans tes bras, c'est mon enfant." M'écris t-il et son sourire était glacial.

Je suis sortie de notre maison, et fut bien surprise de savoir diriger une machine aussi ridicule, ma fille pleurais et je me précipitais avec une prière d'une prêtresse perdu dans l'espace-temps. Je me regardait régulièrement dans un miroir propre et claire en dirigeant cette machine, dans une direction inconnue. Mon visage n'avais pas trop changé, J'étais en panique, car j'ai entendu un bruit qui m'était méconnue sur le moment, j'ai pris ce téléphone intégré dans cette machine, et tout à était plus claire et plus vivant, la voix de mon fils qui me laissait un message d'un autre lieu. "Maman, j'ai eu mon bac avec grand succès, je suis si content et fière, si tu es d'accord je resterais ce soir chez les parents de ma nouvelle petite amie, tu me rejoindra n'est-ce pas?". J'étais incapable de lui répondre, en serrant mon volant, je me suis suis emporté à nouveau dans une autre dimension, par semblable du tout avec ce lieu mais plutôt à mes émotions.

Oui, je me suis revue à peine quitté, juste avant que notre planète s'effondre, je pouvais enfin observer à travers une vitre transparente ma nouvelle maison de Terre, des vitres transparents étaient posées entre ma fille et moi et celle d'Omega. Il me regarda avec un regard serpent-homme; " je t'ai crée pour l'humanité ma fleur de vie, on se retrouvera dans une nouvelle vie, on se retrouvera dans chacune de nos vies, ainsi la formule d'Omega sera complète, dans le froid et la chaleur. J'ai sauvé deux femmes, les plus importantes, observe les murs qui vont bouger et se transformer, dans une énergie semblable à celle que nous avons vécu." Puis nous avons sentie une grande tristesse tous les trois, nous avons vu la lumière et entendu un grand bruit, et le sable chaud à envahis mon corps presque sans vie.

Journal de Nefertari Où les histoires vivent. Découvrez maintenant