Chapitre 13: E.N.D

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Point de vue de Lucy
Je sere les deux nouvelles clés contres mon cœur. Il ne faudra pas que j'oublie de passer un contrat avec la vierge.
Je ne la connais pas mais je l'aime déjà. J'espère qu'elle le sait.

Et E.N.D entra dans la pièce. Attend quoi?! Ne devrait-il pas être combiné au cobaye? Je croyais que mon père s'en était débarrassé, alors....
Que fais-t-il là?

Il s'incline au pied de mon lit d'hôpital.

E.N.D: Maîtresse. Je suis de retour. Avez-vous besoin de moi?

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Point de vue de E.N.D
Mon maître semble choquée. Je la comprends un peu, puis qu'on ne devait pas se rencontrer . Notre créateur ne serait pas content de nous savoir en vie. Lucy elle, est différente. Son expression choquée se remplace par un grand et large sourire. Elle me fait signe de me lever et me rapprocher. Ce que j'exécute à l'instant.

Je reconnaîtrai ses yeux entre mille. Aussi brillant que des étoiles, aussi marron que du chocolat, aussi expressif qu'elle.
Je les ai déjà vus remplis de larmes. Je les ai déjà vus remplis d'une joie intense. Je les ai déjà vus en colère contre son père. Le plus inoubliable, je les ai déjà vus s'inquiéter quant à mon sort.
Elle tapote une place de son lit d'hôpital. Je m'assois.

Lucy: Alors...tu t'en es sorti?
E.N.D: Oui....
Lucy: C'est bien.

Elle bâille à s'en décrocher la mâchoire. Je lui passe la main dans les cheveux.

Lucy: J'ai sommeil.... nous parlerons plus-
« zzzZ »

Elle s'endort au milieu de sa phrase. J'esquisse un sourire. Elle m'a l'air si paisible ainsi endormie. Je n'aurais jamais crus la revoir sans les barreaux entre nous. Vous vous demandez sûrement comment je la connais. Très bien. Je vais vous expliquer.

Son père, Jude Heartfillia, a eu une période de folie génétique. Il s'amusait à créer plein de monde de toutes sorte. Des monstre comme moi.

Parmis toutes ses créatures aussi laide les unes que les autres , j'étais le seul à avoir une apparence quasi humaine. J'avais également appris à parler. Jude pensais qu'il y était arrivé. Lucy , elle ne l'intéressait plus. Il l'a jeta sans ménagement dans ma cellule. Il me donna une chambre. La chambre de Lucy. J'observais les portraits accrochés aux murs, la tapisserie fleurie, une armoire rose et un lit royal. J'ouvre l'armoire en premier. Dans celle-ci traîne tout sorte de robe à froufrou. Je vois quelque chose scintiller à la lumière dans le fond du meuble. Un couteau. Je le lâches du coup comme s'il m'avait brûlé. Que fais un couteau dans une chambre de petite fille?

Je continue mon exploration.J'admire les figurines dans l'étagère. Des fées, des chevaux, des sirènes, des dragons et d'autres créatures fantastiques. Tout en haut trône une petite poupée solitaire. Un étage complet de l'étagère lui est réservé. Je crut comprendre qu'elle avait de l'importance pour la petite.

C'est ainsi que avec la poupée dans mes bras, je descendis au cachot. Je vois des humains, tous des enfants, enfermés entres les murs gris-noirs. Je jette un coup d'œil. Un garçon de 4-5 ans est dans la cellule avec son petit frère. Il me regarde intensément durant que son frère, lui roupille sur ses genoux. Je remarque des coupures sur leurs dos. Pauvres enfants. Je tourne ma tête,je me rappellerai toujours de leurs regards suppliant et surtout du grand frère, qui avait la peau sur les os.

Je me dirige vers la cellule de Lucy. Lorsqu'elle m'entends arriver, elle frémit. Elle levait les yeux et remarquant que c'était moi, fus extrêmement soulagée. Je lui tendis la poupée entre les barreau. La petite Lucy l'attrapais et la serrant contre son cœur avec ses frêles bras, elle me dis: « Merci »

Depuis ce jour, je me mis à descendre régulièrement au cachot, malgré le dégoût qu'il m'inspirait. Je parlais de longues heures avec Lucy et parfois, son rire mélodieux résonnait entre les murs de la prison, ayant un effet relaxant sur tout les personnes présentes. Je me mis à désirer ses moments merveilleux en sa compagnie. Une fois, elle me confia un secret d'enfant. Je n'ai pas le droit de vous le dire, c'est un secret. Par contre je peux vous raconter cette fin de soirée en juillet.

Lucy (passé): Dis-moi, tes parents sont où?

Je pus lui répondre. Un boule me montait dans la gorge. Elle avait touché un point sensible. Elle est très douée pour sentir que quelque chose ne va pas.

E.N.D (passé): Je l'ignore. Je ne les ai jamais connus.

Une larme coulait sur ma joue. Je l'essuie rapidement. Je ne peux pas pleurer devant elle pour ça ,tandis qu'elle a perdue bien plus que moi.

Lucy (passé): C'est pour ça que tu n'as pas de nom?
E.N.D (passé): ... Effectivement.
Lucy (passé): Tu demanderas à quelqu'un en qui tu as confiance.
E.N.D (passé): ..... Quelqu'un en qui j'ai confiance hein?.... Lucy, choisi-moi un nom.
Lucy (passé): Moi?
E.N.D (passé): Oui toi....
Lucy (passé): Personnellement, je t'appellerai E.N.D. C'est un peu égoïste ,mais tu m'as apporté la fin de ma tristesse. Tu m'as en sorte amener de la lumière dans ce lieu obscur.

Moi? De la lumière? Je suis heureux d'avoir pus l'aider.

E.N.D (passé): L'acronyme signifie quoi?
Lucy (passé): Etherious Natsu Dragneel. Etherious, ça sera ton prénom. Les deux derniers noms composent le nom de mon ami d'enfance.
E.N.D (passé): Etherious.... Natsu Dragneel. J'aime bien!

Etherious. Un nom rien que à moi. Je me décidais à trouver ce Natsu Dragneel, son ami d'enfance. Je lui rapporterai.

Je pris une profonde inspiration avant d'entrer dans le bureau de M.Heartfillia. Il est un monstre. Laisser sa fille entre des barreaux dans une endroit si peu éclairé, ne la nourrissant pas tant que ça. Je parla avec lui durant une bonne heure. Il acquiesça finalement à mon grand projet. Combiné les cobayes avec les montres et les renvoyer dans la nature. Ils auraient soit un corps d'humain et une attitude de monstre où un corps de montre accompagné de sentiments humains.
J'insista pour choisir moi-même un alter égo qui me conviendrait. Enfin, je le pria de prendre soin de sa fille. Le jour même où je partais, Lucy retrouvait sa chambre.

Je me promit de lui obéir comme si elle était mon maître à cet instant précis. Je ne saurais dire si c'est mon côté animal ou juste moi ,mais elle me fait penser à une mère innocente. Je la protégerai de tout, même d'elle-même si il le faut. Il ne lui reste pas longtemps à vivre. Elle doit être heureuse pour toujours. Au cours du temps, mon attitude envers les humains en général. Mon sentiment envers elle ne changera au grand jamais. Celui ou celle qui lui enlève son bonheur périra de mes propres mains. Je m'en fait le serment.

De nouveau moi......

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Parce que moi je suis là en continue. Enfin.... le décalage horaire ,il faut vivre avec.
Je vis au Québec alors..... j'ai pas les mêmes heures de sommeils que vous.
Alors que je publie cette partie il est 10:25.
Un record de rapidité.
L'inspiration je suppose.

1200 mots
Brihyoras

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