Le coup de foudre...

Chapitre 40

J'embrasse rapidement Lenni, prend Adam, et sort en courant des studios. Je me rends à toute allure à l'hôpital, c'est aujourd'hui que Maxime sort. Je suis tellement heureuse. On va enfin pouvoir reprendre le cours normal de notre vie, élever notre enfant, et être heureux ensembles.

J'arrive devant l'hôpital, y entre, et monte au troisième étage, avant d'entrer dans la chambre de Maxime. Je le trouve debout dos à moi, en train d'enfiler un t-shirt. Il ne m'a visiblement pas entendue. Je m'approche donc discrètement, et enroule mes bras autour de sa taille, ce qui le fait sursauter et rire. Il se retourne et m'embrasse tendrement.

-Bonjour ma princesse, dit-il en souriant.

-Bonjour, je réponds en l'embrassant à mon tour.

Il enfile enfin son t-shirt, et prend son fils dans ses bras, et se met à lui faire des chatouilles, ce qui le fait exploser de rire.

-Tu as signé les papiers de sortie ? Je demande en souriant en les voyant s'amuser.

-Oui, acquiesce-t-il, tout est bon on peut y aller.

-Parfait, je conclue.

Je prends donc son sac, pour éviter qu'il ne se fatigue, et nous sortons ensembles de l'hôpital. Nous installons Adam dans la voiture, et rentrons enfin chez nous. Le lendemain de son réveil, j'ai déménagé toutes mes affaires chez lui, pour que nous reprenions enfin une vraie histoire ensembles.

-Waouh... Souffle-t-il.

-Quoi ? Je demande.

-Ça fait bizarre de revenir ici... Dit-il. Surtout avec toi. Tellement de temps est passé depuis...

Je prends délicatement sa main.

-C'est un nouveau départ, je le coupe. Nous deux, et notre fils. Rien que nous trois.

Il sourit et m'embrasse tendrement avant de sortir de la voiture. Nous prenons nos affaires et montons.

-Je n'ai pas eu le temps de faire de courses... Je souffle. On commande quelque chose ?

-Avec plaisir, acquiesce-t-il en s'asseyant sur le canapé.

J'attrape donc mon téléphone et commande des sushis, en le regardant jouer avec Adam sur le canapé, ce qui me fait sourire. Je les rejoins une fois la commande passée, et ris en voyant Adam pleurer de rire.

-Mes deux amours... Je chuchote en posant ma tête sur l'épaule de Maxime.

Je souris en le sentant m'embrasser sur le front. Nous nous relevons ensuite pour donner à manger à Adam, puis aller le coucher, puisqu'il est déjà crevé notre petit bout de chou. Une fois cela fait nous revenons au salon, et je m'assois sur le canapé. Il se couche, et pose sa tête sur mes genoux, ce qui me fait sourire. Je commence à lui faire des papouilles dans les cheveux, puisque je sais qu'il adore ça.

-Oh ça m'avait manqué ça, dit-il avec un grand sourire.

Je ris légèrement et l'embrasse en continuant. J'entends la sonnette retentit, et vais donc ouvrir. Je reviens ensuite au salon avec les sushis et nous nous asseyons. Nous dînons en parlant de choses et d'autres... Nous remémorant nos souvenirs ensembles, parlant d'Adam, de notre avenir...

-Tu voudras qu'on se marie ? Je demande.

-Bien sur, acquiesce-t-il. Et toi ?

Je hoche la tête en souriant.

-Tu voudrais quel genre de mariage ? M'interroge-t-il.

-Quelque chose d'élégant, mais simple, je réponds. En petit comité, nos amis proches et la famille, c'est tout.

-Et toi dans une magnifique robe blanche, ajoute-t-il.

Je hoche la tête en souriant.

-Tu pourrais enfin t'appeler madame Dereymez, dit-il avec des étoiles dans les yeux.

Je souris et l'embrasse tendrement.

-Tu imagines dans dals après ? J'ajoute. Lenni Kim, et sa partenaire Marie Dereymez.

-Ça claque ! S'exclame-t-il.

J'explose de rire, tout comme lui.

-J'adorerais, ajoute-t-il avec un sourire en coin. Ça montrerait à tout le monde que tu n'es rien qu'à moi.

Je souris et l'embrasse tendrement. Nous terminons de manger, puis allons dans notre chambre. Je me déshabille, et enfile un des t-shirt à Maxime.

-Le retour, dit-il en riant.

-Mais je les aime trop tes t-shirts, je réplique avec une moue boudeuse.

Il rit et je me couche, tandis qu'il se deshabille, et que j'en profite pour admirer son corps de rêve. J'ai tellement de chance d'avoir un aussi bel homme à mes côtés.

-Arrêtez de me matter mademoiselle Denigot, dit-il en riant.

-Je sais que vous adorez ça monsieur Dereymez, je réplique.

-Hum... C'est vrai, acquiesce-t-il.

Nous rions tous les deux et il me rejoint sous la couverture. Je me blottis dans ses bras et l'embrasse tendrement. Nous parlons en nous câlinant pendant un très long moment, pendant une, ou peut être deux heures, avant de nous endormir d'un coup dans les bras l'un de l'autre, comblés de bonheur...