Première rencontre. partie 1

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                         Nous sommes dans les années 1970 de notre monde


Moi Thorin fils de Thraïn, petit-fils de Thror, Roi d'Erebor seigneur de la Montagne Solitaire. Je vais vous conter comment ces étrangers sont entrés dans nos vies.

En ce temps, Thror était le Roi bien aimé de notre belle cité d'Erebor ; Souverain respecté parmi les hommes et le royaume des elfes, avec qui nous faisions commerce. J'étais si fier d'être le petit-fils de ce grand Monarque. Je souhaitais de tout mon cœur devenir comme lui, un Roi juste et bon pour notre peuple.

Je n'étais encore qu'un jeune prince qui accompagnait régulièrement mon père, quand Thror donnait conseil, dans la grande salle du trône pour gérer les affaires du royaume. Mon grand-père s'efforçait de rendre la justice de façon impartiale et équitable, pour régler les conflits de plus ou moins de grandes importances et son autorité n'était jamais contesté.

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Voici le jour où tout bascula ; Ils sont arrivés un matin d'on ne sait où.

L'audience publique allait bientôt prendre fin quand une voix féminine interpella mon grand-père.

-« Oh ! Grand roi des nains ! Nous venons nous présenter devant vous ! ».

Je me tenais debout juste à coté de mon père, qui lui se trouvait à quelque pas du sien assit sur son trône. Nous cherchions du regard étonnés, qui pouvait se permettre d'intervenir comme cela sans avoir était annoncé. La foule regroupée d'hommes et de nains s'écarta dans un murmure interrogateur, pour laisser passer une femme suivit de deux hommes.

La garde royale, qui veillait à notre sécurité se précipita de faire un rempart de leurs boucliers et de leurs épées, pour empêcher ces étrangers d'avancer plus en avant. Le silence était revenu, la foule cessa de s'agiter au déploiement des soldats.

Je pensais que nous avions affaire à des ambassadeurs, venus d'une contrée bien lointaine de la notre, pour ignorer nos coutumes.

De là où j'étais, je pouvais les observer, leurs accoutrements étaient vraiment des plus étranges. C'est ce qui piqua ma curiosité, ils étaient tous les trois vêtus de la même façon... Tout comme les hommes qui l'accompagnaient, la femme portait un pantalon noir ainsi qu'une chemise blanche à la coupe étroite et peu commune, voilà qui était plutôt excentrique. Il était rare de voir par ici une femme porter des vêtements d'homme, c'est ce qui me fit penser qu'ils venaient de très loin pour être habillés ainsi.

Je n'ai jamais été attiré par la gente féminine du peuple des Hommes et je revendique avec fierté que je préfère la taille et les courbes généreuses des femmes naines. Mais là, je ne sais pas ce qui m'arrivait, j'avais du mal à détacher mon regard de cette femme, il se dégageait d'elle quelque chose de troublant que je n'arrivais pas à définir. Je clignais plusieurs fois des yeux pour rependre mes esprits lorsque je remarquais, qu'ils portaient tous les trois des sacoches en bandoulières faite de cuire noir. Que pouvait-il bien y avoir à l'intérieur ?

Je jetais un regard rapide et furtif sur mon père et mon grand–père pour voir leurs comportements ; ils étaient là stoïques et observés ces inconnus, j'en fis de même.

Les trois humains durent attendre que le roi d'Erebor prenne sa décision de les écouter ou de les renvoyer, de façon peu protocolaire. Les trois humains se retrouvèrent devant des gardes casqués et armés, aux visages fermés et sévères leurs mines étaient vraiment peu engageantes, Régina et ses frères comprirent qu'ils devaient faire profile bas, s'ils voulaient mener à bien leur mission. Aussi, elle leur conseilla de ne rien faire pour le moment, le moindre faut pas pourrai leur coûter cher.

La Muse qui modifia l'histoire d'Erebor-Tome1(En pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant