"Le savoir est une arme, j'suis qualibré j'lis qu'des bouquins"
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Elle me fais le plus beau de ses sourires arrogants.
Ayla : - negro.
J'lui fais moi aussi l'un de mes plus beau sourire arrogant.
J'la pousse dans la chambre, j'verouille puis claque la porte derrière moi.
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Ayla : - Tu me veut quoi putain !
J'la regarde même pas j'massoit sur son lit.
J'enlève mes chaussures, j'fais des ourlets sur mon jean, j'enlève ma veste, j'la plie.
La j'suis prêt.
Moi : - Donc.. malgré que je te déteste de tout mon cœur j'ai pris sur moi pour sortir avec toi, et tu me laisse comme une grosse merde.. donc moi Mensah j'suis une salope?
Ayla : - J'pense que oui du coup.
Attendez, la petite elle est loin d'avoir compris.
J'me suis lever tellement rapidement, et je l'ai plaquée contre le mur.
J'étais déchaîné et plutôt sexy.
Moi : - ALORS QUOI ! C'est par ce que j'suis noir.. toute cette putain de haine, écoute moi l'esclavage c'est finit donc si t'arrêtes pas ton vieux jeux j'vais t'apprendre à te stopper !
Moi : - OU ALORS PEUT ÊTRE QUE TU VEUT QU'ON JOUENT !
J'rigole de nerf, et j'balance sa chaise.
J'la colle contre le mur de toutes mes forces avec ma main droite et avec ma main gauche je caresse sa joue avec un de mes couteaux favoris.
Moi : - Et si j'étais le maître et toi l'esclave?
Ayla : - Men..sah..
Moi : - Ferme ta gueule Ayla, tu voulais voir mes couilles non? Ça te plaît pas ?
J'allais glisser le couteau vers son cou mais j'suis rapidement interrompu.
Ça frappe à sa porte.
Siméon : - AYLA OUVRE !
Moi : - T'avise plus jamais d'essayer de me la mettre ça sera cent fois pire, cette fois t'aura mal chérie.
J'la relâche puis j'la regarde glisser contre le mur, j'aperçois quand même un sourire sur ses lèvres.
J'deverouille la porte et j'pousse Siméon pour rejoindre ma chambre.
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MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide »
General FictionMa rage me ronge, et même quand j'aime c'est destructeur. Une part de réalité.