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" T'as pris le contrôle de ce qu'il y a sous mes pecs "

••••

Moi : - Depuis quand tu me connais ?

Elle s'attendait réellement pas à ça.

Elle fuit mon regard, mais finit enfin par le croiser.

Elle souffle et me fixe.

Ayla : -  3 ans

••••

J'me levais pour partir quand elle me tire le bras afin que je puisse me rassoir.

Ayla : - Oui je t'ai mentie mais, je ne voulais pas assumer, puis ce que j'étais pas heureuse de te revoir.

Moi : - rire  Putain mais qui ne me ment pas ici ?

Ayla : - J'ai été énervée de te revoir car depuis le début, quand on s'est rencontrée pour la première fois, t'es direct partie sur Sheryl et tu m'as ignorée, tu t'en rappel sûrement plus.. Je t'aimais beaucoup mais c'est avec elle que t'as finit.. puis t'es partie comme ça,du jour au lendemain.

Moi : - On étaient enfants Ayla, ça n'as eu aucune importance la preuve j'en ai aucun souvenir.

Ayla : - Moi ça m'as marquée alors, j'ai complexé long-.. temps et tout ça pour toi. T'es la cause de tout ce que j'ai endurée..

Elle essuie unes de ses larmes, puis elle repasse sa mèche derrière son oreille.

Je la regarde et je ne sais pas quoi lui répondre.

Moi : - T'attends une réaction ?

Ayla : - Pas vraiment.

Je me lève et je part en direction du salon, en traînant des pieds.

J'étais assez blasé, ouais.

Je surprends une discussion entre Richardson et mon garde du corps Charles.

Je décide d'aller me mettre derrière le mur séparant le salon de la cuisine, d'ici j'avais une vue ainsi qu'une entente parfaite.

Richardson : -  Je pense que tu ne lui sert a rien, j'ai douter de lui mais aujourd'hui je sais la vérité il ne traîne plus avec son gang, et l'histoire de Sheryl était fausse il est donc temps pour toi de partir.

Charles : - Richard je pense que Mensah a besoin de quelqu'un qui sait lui imposer son autorité, tu es beaucoup trop vie-

Richardson : - Je ne te permets en aucuns cas de remettre en doute la manière dont laquelle  j'éduque Mensah

Charles : - Et moi C.H.A.R.L.E.S je-

Un rire que je ne peut contrôler s'échappe.

Le gars il a épeler son prénom, comme les pétasses dans les films.

MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide  »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant