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"ngai nazo katchua"


•••

.. : - C'est ici que tu prenais ta "trousse" ?

Elle sourit et secoue sa tête de dégoût, et part sans se retourner.

•••

Y a eu un blanc, puis on a finit par parler en même temps.

Moi : - Sheryl je-

Sheryl : - Ok, c'est bon je sais pour toi c'était pas du sérieux c'est ça ?

Moi : - Ouais.

Sheryl : - MAIS-

Moi : - On allait juste s'embrassé , on est pas marié cousine, j'ressent déjà une pression de ta part hors que nous deux on a même pas commencer

Elle me regarde de travers, prend son sac à main et part.


J'avais envie de la suivre, mais j'envoie valser mon idée et j'descend les escaliers pour me diriger vers mon p'tit repaire.

-

Quand j'suis soûler j'enchaîne des tonnes de livres, ça me permet de me canaliser avant quand j'étais énervé je cassais tout, mais maintenant que j'ai trouver quelque chose qui m'apaise c'est mieux.

J'prend plus sur moi.

Je sais qu'il y aura pas toujours une bibliothèque ou que j'aille.

Mais alors, appart ça, qu'est ce qui pourrait m'apaiser ?

J'finit la dernière page de mon livre, et je souffle d'épuisement.

J'reçois un appel peut de temps après.

"Conrad🖖🏽"

J'avais la flemme mais, j'repond.

Moi : - Wassup !  Conny !

Conrad : - Hm.. tu nous oublies ou quoi, depuis la soirée plus aucune nouvelles. T'es dans un gang  ou dans un centre de loisir? Tu viens pas quand tu veut si t'es pas prêt à donner ta vie pour nous comme tu l'as promis, vas t'faire voir.

Bip, bip

Ok, du coup y a un attentat de prévu aussi ? De quoi continuer le déroulement de ma soirée de merde.

J'me lève range mes livres, j'me met en tenue de sport et j'sort.

Il est 22h est la seule chose que je trouve a faire c'est ça.

J'me suis arrêter près d'un parc, j'ai allumer mon pétard et j'me suis allongé sur l'herbe.

J'regardais le ciel, et j'me suis carrément plongé dans mes pensées..

Et dire que y a deux,trois mois j'étais dans un orphelinat délabré, et perdu dans les trous d'Harlem.

Et que, maintenant j'suis ici dans une villa on dirait celle de Donald Trump et que je roule en limousine.

MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide  »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant