" En vtt le soir je rentre tard, le soir je rentre pété "
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Ça rigolait au éclats, chantaient, tout cela n'était que pure hypocrisie, et de bons comédiens nous sommes, mais une pièce de théâtre finit toujours par ce terminée.
Vient le moment où..
Parler sert à détourner..
Maintenant nous devons agir.
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Conrad s'empare de la tête de l'homme m'ayant ouvert la porte et Amri pose un pistolet sur sa tempe.
Ils s'arrêtent tous de rire et une tension s'installe, l'ambiance est.. électrique ?
.... : - Putain ! rire Bien joué petit, bon maintenant pose ça tu risque de t'blesser.
Amri : - Juan, me sous-estime pas car j'peut te faire sauter à tous moments.
"Juan" claque des doigts et tous ses gars disparaissent, toujours le fusil sur la tempe les gars le font assoir.
J'savais pas du tout que c'était ça qui allais ce passer, et j'me suis pas fait adopter pour retourner dans ces genre de bails bresom, mais j'peut faire quoi là ? Dites moi ?
Rien.
Conrad : - MENSAH ! ARRÊTE DE RÊVER LA ! VA CHERCHER NOTRE FRIC !
Pensées : - Sache que si t'exécutes cet ordre la, à partir de maintenant tu décides de replonger , t'en sortira plus.
J'met un peut de temps à me lever, puis j'm'y rend.
J'dévale les escaliers jusqu'au sous sol, il fait noir, mon téléphone sonne :
Appel entrant ➡️ " Richardson "
Ok, j'suis littéralement un homme mort, il a cramé que j'étais plus dans mon lit.
J'entends qu'on m'appelle de loin, j'assumerais les conséquences c'est rien.
J'éteins mon téléphone et j'me concentre, je dois être rapide et efficace.
Je cherche l'interrupteur en vain sans parvenir à le trouver.
Moi : - PUTAIN TOUJOURS ÇA AUSSI, M'FOU LA HAINE !
J'ai rien pour voir, alors j'y vais à l'aveugle j'ouvre un tiroir je fouille, je fouille, je fouille..
Vous avez captez j'pense.
Force de persévérance je trouve du fric, j'prend le sac et j'remonte en courant avec, je m'apprêtais à fermer la porte quand j'entendis une respiration.
J'marrête cinqs secondes, puis plus rien..
J'ai du halluciné.
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MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide »
General FictionMa rage me ronge, et même quand j'aime c'est destructeur. Une part de réalité.