" J'ai trop mal à la vie mais j'ai pas l'antidote"
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... : " D'ailleurs il assumera surement pas la nuit torride qu'on à passé, mais bon.."
Siméon me regarde, et fait une tête de dégouté.
Siméon : - Me dis pas que-
Moi : - T'es sortit par les fesses toi ou quoi ? Bien-sur que non. Jamais de la vie je l'as touche, une folle comme ça, pour qu'elle aille raconter des bêtises sur moi encore, non merci.
Siméon : - Mais t'avais bu.. peut être que..
Moi : - Que quoi ?
Siméon : - Elle en à profitée.
Le temps que l'idée me monte au cerveau, je bondit du lit.
Une envie de vomir me prend et je me dirige vers les toilettes, mon corps commence à trembler, et j'ai des palpitations.
Une crise d'angoisse me prend, et ma vision se trouble.
Siméon tape à la porte.
Siméon : - MENSAH TU VAS BIEN ?
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Siméon m'as soulevé jusque dans mon lit, et m'as bordé, en quelques temps tout le monde se retrouvait autour de mon lit y comprit Sheryl.
Sheryl : - J'ai dis ça pour rire Mensah, juste de l'amusement je voulais pas que ça t'atteigne autant. Je ne me serait jamais douté que tu réagirais comme ça.
Siméon : - T'es vraiment la grosse conne que tu penses être, c'est quoi le putain d'intêret ?
Richard : - Siméon, surveille ton language. Sortez tous, j'ai besoin de lui parler.
Chacun sort à son tour.
Richard : - J'ai surement été trop dur avec toi, en l'espace de quelques mois, je te sort d'un cadre misérable, je te demande de changer entièrement, d'entrer dans un monde que tu ne connais pas, personne ne peut changer du tout au tout. Je n'ai aucun mal à reconnaitre mes erreurs, je t'aime comme mon fils Mensah, je ne veut que ton bonheur.
Il inspire profondément et me regarde.
Richard : - Il n'y aura pas de Charles, mais je te demande d'agir en sorte que je puisse te faire confiance. Sinon je serai obligé d'être dur. Je te laisse faire ton choix.
Je suis tellement épuisé face à cette crise d'angoisse que je n'ai pas su géré, que je ne prend pas la peine d'y répondre, je ferme les yeux histoire de me reposer, et de récupérer de l'énergie.
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Je me fais réveillé par la porte de ma chambre qui s'ouvre.
Un doux parfum, comble l'odeur de ma chambre, c'est grave de sentir aussi bon.
Elle rentre dans ma chambre, elle remet son sac a main correctement et s'assoit sur mon pouf.
Sans mentir, elle est très jolie.
.. : - Tu vas mieux ?
Je rigole nerveusement, et je me lève de mon lit tranquillement, j'ai l'impression d'avoir bu une potion magique et d'avoir retrouver toute mon énergie.
Je sent son regard sur mon corps, pendant que j'attrape un t-shirt et un jogging.
Je l'as regarde.
Moi : - Je t'en pose des questions ?
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MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide »
Ficción GeneralMa rage me ronge, et même quand j'aime c'est destructeur. Une part de réalité.