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Moi : - Toi aussi tu devrais sortir de tout ça.
Amri : - Nesayem-
Moi : - Je sais, mais ma famille peut t'aider !
Amri : - Je peut pas vivre au crochet des gens. J'suis désolé, je me dois de sauver ma sœur, ma mère ne s'en remettra jamais si je l'as perd.
Moi : - Amri je te jure que-
Amri ; - T'inquiète pas pour moi, je suis dedans depuis que je suis né. On va s'en sortir.
Il me tchek et monte son scooter.
Il démarre sans daigner à se retourner.
Je souffle et passe la porte d'entrée.
Siméon : - Surprise !!
Siméon me saute dessus, il a l'air d'aller beaucoup mieux, je sourie et je le serre dans mes bras.
Une fois que le décale légèrement, j'aperçois un homme musclé et très grand qui s'approche de moi doucement.
Son visage pouvait dégager une certaine souffrance.
Mais il avait l'air heureux de me voir.
.. : - Mensah.
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Moi : - On se connaît ?
Il laisse échapper un rire gêner.
Siméon : - Je t'assure on s'est posé la même question au début, assis toi car ça risque de te prendre au tripes.
Je m'assoit et il s'assoit face à moi. Et en l'espace d'un instant tout le monde quitte le salon.
Je me retrouve seul face a cette homme.
J'avoue qu'il m'effraie légèrement, sa carrure était plus qu'impressionnante.
Je ne pouvait m'empêcher de scripter chaque cicatrices qu'il avait visible sur son corps.
Impossible de les compter.
Moi : - Du coup ?
.. : - Commençons par les bases.. par l'échange de nos prénoms. C'est.. déjà.. un bon d-d-ébut.
