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" Je marche avec les mêmes depuis le berceau "



" Je marche avec les mêmes depuis le berceau "

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J'attend les bras croisé, il me tend ses bras pour me porter. Il me soulève et me fait passer la grille.

Il me pose au sol, et sonne. Il rentre et commence à saluer ses cousins en espagnol, ça criait de partout et des enfants couraient de partout.

Plusieurs hommes étaient regroupés dans le salon, et plusieurs femmes étaient en cuisine, des petites filles, des jeunes, et des femmes agées.

Rayane : - Assis toi.

Il s'assoit en me tenant la main.

Rayane : - C'est tranquille, ne t'en fait pas.

Les hommes m'entourant étaient quasiment tous tatoué d'une larme au visage, même certains qui semblaient avoir l'âge de Rayane.

Ca frappe violemment à la porte et des jeunes hommes, noirs de peaux tous cagoulé rentrent en criant dans l'appartement armés jusqu'au cou.

Plusieurs armes étaient pointé sur nous. Il n'y en avait qu'un seul qui n'était pas armé il se tenait debout mais pas face à moi.

Un homme plus âgé dégaine une arme directement, et je me blottis contre Rayane, qui sort une arme a son tour.

.. : - ¿Qué hacen hijo de puta en mi casa? ! ( Que faites vous chez moi bande de fils de pute)

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Dans la peau de Mens'

C'est réel ce que je suis entrain de voir ?

Moi et mes gars étions cagoulés, on venait d'entrer dans la maison du chef des MARA.

Sans mentir, j'en ai fait des descentes, mais celle là était impressionnante.

Revenons à ce qui me dérange, étant de dos je n'avais pas tout de suite remarqué mais, j'aperçoit Ayla sur les genous de Rayane.

Mais déjà dans un premier temps qu'est ce qu'elle fait là, tard le soir dans le maison d'un chef de gang ?

Elle trempe dans ça elle ?

Et Rayane c'est un mec comme ça lui ?

J'suis tellement perturbé que je ne remarque pas la situation dans laquelle nous sommes réellement.

Conrad me met un coup d'épaule.

Conrad : - Eh oh !

Conrad : - C'est comment là ? Je vais aller  parler avec lui.

Il me montre un homme tatoué de partout, même sur le crane. Il me regardait avec une haine indescriptible.

Il se tourne vers Amri.

MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide  »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant