MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide »

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" Eu ja sofrir par amor"

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Danny met quelques minutes à arrivé puis nous ouvre les portes du véhicule.

Il lance l'album Drake - Take Care, et on s'ambiance comme des fous, en snappant à l'arrière du bolide.

Danny en rigole, et bombarde jusqu'à la maison.

Arrivé à la maison, je vois la moto de son catcheur, garé en bas, et sur son casque j'aperçoit quelques gravures mais le casque étant à l'envers, j'ai du mal à lire les initiales gravé.

Je met un léger coup d'épaule a Sohan.

Moi : - Tu lis quoi là ?

Sohan : - M..

Il tourne sa tête pour mieux lire.

Sohan :- AH ! MARA. Pourquoi ?

Moi : - Hm.. Mara hein..

Sohan : - Pourquoi ?

Moi : - Comme ça.

Il hausse les épaules et on passe la porte d'entrée suivit de Danny.

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Quelle belle vue.

Très chère et tendre Ayla assise sur les genou de son catcheur, je racle ma gorge pour leurs faire savoir notre présence.

Ayla : - Coucou Sohan, tu vas bien ?

Ah. Mensah fantôme ?

Rayane rigole et s'affale dans son fauteuil.

Moi : - Range tes dents et assis toi correctement toi, t'es pas chez toi ici.

Oui j'suis un gros rageux. J'accepte et mon cœur est fermé.

Ayla : - Mens-

Sohan lui fait signe de laisser tombé.

Ayla à du mal a cacher son sourire en coin.

Je fais mine de pas l'avoir vu et je trace dans ma chambre.

Je verouille ma porte, afin que je puisse préparer mon sac en toute discrétion j'y met un survêtements jordan full black, une cagoule, ainsi qu'une paire d'asics noirs.

Je le jette sous mon lit et je ressort comme si de rien était, tout est géré.

J'inspire un bon coup, et je me rend dans ma salle de bain.

Je me regarde dans le miroir, et pendant deux minutes je crois revoir le visage de Juan, la tête remplit de sang. Cette vision fait accélerer les battements de mon coeur.

Pensées : - T'es pas taillé pour cette vie là.

Je me rince le visage à l'eau froide.

Je ressort de ma salle de bain, et tombe face à Ayla assise sur mon lit les jambes croisées.

Moi : - Tu galères ou quoi ? Lève tes sales fesses de mon lit.

Ayla : - Elles sont pas sales. Tu vas faire quoi si j'me lève pas ? J'suis bien ici.

Moi : - Très bien.

Je me dirige vers elle, je l'as soulève sur mes épaules et je la pose devant la porte.

Moi : - Si elles sont salles, tu les a posé sur les genou périmé de ton gigolo.

Elle sourie, en me regardant ranger mes affaires.

Moi : - Quoi ?

Ayla : - Je sais pas.. les rôles s'inversent on dirait.