" Y à trop de jaloux et j'sais qu'au fond ils m'aiment pas"
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Je retourne à mon lit, j'aperçois une présence dedans je soulève la couverture.
Je suis désemparé, à ce moment là je savais ni quoi faire ni comment réagir.
Je l'a secoue de mes deux mains.
Pensées : - Super la tendresse.
On a pas le temps pour ça.
Moi : - Tu fous quoi ici ?
Je vois ses petits yeux, remplis d'incompréhension me regarder.
Je la trouvais presque mignonne.
.. : - Mais Mensah tu m'as appelée à 4hoo du matin, en me disant que je te manquais, que t'avais besoin de moi..
Moi : - Sheryl, te fous pas de moi
Sheryl : - J'ai tout enregistrée, je ne mens pas je suis venue réconfortée l'homme de ma vie !
Elle met ses mains sur mes joues.
C'est à mon tour de la regarder avec mon regard, remplis d'incompréhension.
Moi : - Quoi ? Mais putain qu'est ce que tu racontes ?
Elle passe sa mèche derrière son oreille, et me fixe.
Sheryl : - En réalité ce qui s'est passé c'est que-
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La porte s'ouvre violemment, nous prenant de court.
Je sursaute à la vue d'Amri, qui tirait une tête remplit d'inquiétude.
Ils nous regardent de haut en bas, et n'arrive pas cacher son petit sourire, il reprend rapidement son air sérieux.
Amri : - Vous avez deux secondes, habillez-vous, la police arrive, on s'est fait remonté.
Je bondit du lit, et j'attrape un short, je met mes baskets, sans chaussettes, j'attrape un gilet, que j'enfile sans t-shirt, tout est vraiment bazardé.
Je prête pas vraiment attention a Sheryl, qui criait partout à la recherche de ses habits.
Je dévale les escaliers et j'apperçoit Conrad, tout transpirant, remplissant des sacs, et je me met à les aider.
En quelques minutes nous sommes parvenues à transporter tout ce qui paraissait accablant dans la mercedes, et la maison ressemblait désormais à une maison abbandonné. On monte, dans une autre voiture, car la police connaissait apparament le véhicule qu'on empruntait le plus souvent.
Sheryl tient la portière pour monter.
Conrad : - Tu fais quoi là ?
Elle me regarde du genre « dis lui quelque chose ».
Je détourne mon regard d'elle, et Conrad verrouille les portières.
Sheryl : - C'est une blague ?
Conrad : - Marche quelques mètres y a un arrêt de bus, ou appelle ta meilleure amie ? Elle sera contente de savoir la où t'as passé la nuit. rire
Il démarre à toute vitesse, et nous voilà partit, ou ? Je ne sais pas.
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Dans la peau d'Ayla
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MENSAH | « J'ai pas besoin qu'on m'aide »
Ficțiune generalăMa rage me ronge, et même quand j'aime c'est destructeur. Une part de réalité.