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Caleb arriva deux heure après moi.

-Tu ne dors pas encore?

En effet, j'avais allumer la lampe de chevet et j'étais entrain de lire un livre que j'ai trouvé.

-Non, j'ai pas sommeil.

Je me rendis compte que mon ton était froid et sec.

-J'ai fais quelque chose de mal?

Tu as dit devant l'homme à qui je dois un paquet de fric, et que j'ai laisser me toucher pour évite que tu apprennes la vérité, que j'étais un gosse. Normal que se sois vexé non?

-Non, pourquoi tu dis ça, soupirai-je.

-Avant que ta bonne humer me contamine je vais allé prendre une douche, me dit-il sarcastique.

Il reviens une dizaine de minutes plus tard, vêtu simplement d'un jogging. Il se jeta sur lit en soupirant. Je remis les manches de mon teeshirt correctement et repris ma lecture.

-Je comprend vraiment pas pourquoi il y a des gens qui cherche à en mettre plein la vue, du genre "moi je".

Je resta fixais sur mon bouquin.

-Je suis comme ça aussi?

Je releva les yeux sur lui, puis repris ma lecture.

Évidement qu'il n'était pas comme ça bien au contraire, il était l'écoute.

-Pourquoi tu me réponds pas?

-Je suis trop jeune pour avoir se genre de discutions demande plutôt à James, ou Jordan, vue qu'il sont plus vieux, ils devraient mieux t'orienter sur la question.

Il me pris le livre dès mains.

-Attend c'est quoi le problème? Que j'ai rigolé avec mes ex? Ou que j'ai dit que t'étais jeune? A moins que se sois les deux.

-Rend moi le livre.

-Alors dis moi. T'es jaloux?

-Que tu rigoles avec tes ex c'est ton problème pas le mien. Mais que tu dises que je suis jeune alors que tu ne connais pas mon histoire, ni les actes que j'ai du faire pour m'en sortir, ça c'est vexant.

Je lui repris le livre, dieux merci je n'ai pas perdu ma page. J'avoue j'étais peut être un peu jaloux. Pour James encore j'accepte, vus que Caleb n'a pas l'aire au courent du côté sombre de l'histoire. Mais Jordan m'a manqué de respect devant lui!

-Je ne voulais en aucun cas te faire du mal en disant ça. Je voulais juste qu'ils te laissent tranquille.

-Tu m'excuses, mais je suis fatigué.

Je coupa la lumière et me coucha en lui tournant le dos et fermant les yeux.

Je sentis son bras m'entourer et ses lèvres se déposer sur ma nuque.

-Bonne nuit trésor.

-Bonne nuit Caleb.

Ma voix redevint soudainement calme. Comment faisait-il pour m'apaiser à se point?

**********

Un frappement contre la porte me réveilla. Je l'ouvris encore complètement endormis.

-Bonjour, service de chambre, pardonnez moi si je vous ai réveillé.

La femme était âgée et très souriante.

-C'est rien, merci, vous auriez l'heure par hasard?

-Dix heures, votre ami a demander à se que le service se fasse à cette heure, mais si vous préférez, je repasse dans une demis heure.

-Non c'est bon, merci.

-N'oubliez pas de laisser le chariot visible nous le récupérerons lors que ménage.

-D'accord merci, bonne journée.

-Bonne journée.

Dix heures. C'est la première fois que je dors autant sans avoir fumé ou bu. A moins que j'ai recommencé avec mes terreurs nocturne...

Je me retourna sur Caleb qui dormais à point fermé. Au premier coup d'œil, il ne semblait pas avoir de blessures.

-Caleb, le petit déjeuner est servi.

Je lui caressa la joue, pendant que lui gémis en frottant sa tête dans le coussin.

-Aller Caleb, debout.

-Hmmman.

-Il est dix heures, et le petit déjeuner refroidi.

-Je veux un bisou.

J'y en dépose un sur le front.

-Aller bouge ou je mange sans toi.

Il s'assit et pris les plateaux que j'y tendis. Je me mis à coter de lui et commença à manger.

Une fois finis, Caleb prit les plateaux et les rangea sur le chariot, puis bascula au dessus de moi.

-Pourquoi tu m'as fait un bisou sur le front?

-T'as demandé un bisou, t'as jamais précisé où.

Il me regarda avec une grand sourire.

-J'ai encore faim.

-Tu as manger pratiquement les deux tiers du chariot.

-T'es long à la détente toi.

Je fronça les sourcils, puis compris le sens caché de sa phrase. Le rouge ne tarda pas à me monter d'ailleurs.

-Comment tu fais pour passer de personne innocente à pervers, l'interogeai-je.

-C'est à cause de toi, susurrât-il.

J'eu n'eu même pas le temps de répondre qu'il avais pris d'assaut mon cou, encore marqué de la veille. Ses caresses, toujours au dessus de mon teeshirt, me donnèrent des frissons. J'ouvris la bouche mais il posa son doigt dessus pour m'intimer dans le silence. Son genou remonta jusqu'à mon entrejambe. Il fit un légère pression, juste de quoi me faire languir. Ses yeux se plongèrent dans les miens. Je ne résister plus à l'envie de l'embrasser. Je passa mes bras autour de son cou.

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