Escort boy

8

-Ce n'est pas chemin pour aller chez moi.

Caleb souriait, sans dire un mot.

-Caleb ou on va?

Face à son silence, je décida d'insister.

-Caleb allé dit moi. S'il te plaît.

-Apprend à patienter.

Je regardais le paysage, attentant désespérément de savoir où on allait.

Soudain la voiture s'arrêta.

-Séraphin, aller viens.

Il m'invita à sortir de la limousine tout en prenant soin de me bander les yeux.

J'avais peur. La dernière fois que je me suis retrouvé les yeux bandés je...me...je ne préfère pas y penser. C'est Caleb, je ne risque rien. Enfin j'espère.

-Fais juste attention, il y a une petite marche. Voilà doucement. On y est presque.

Une légère brise vint caresser mon sage. C'était tellement agréable. La peur s'envolait petit à petit. Il ne me restais que sa voix en tête.

-On y est. Ne bouge pas.

Il m'enleva le bandeau.

Un feux , prêt d'une tente, et une vue magnifique sur un lac m'a laissa sans voix. Comment avait-il put préparer tout ça alors que nous étions au gala?

-Caleb...s'est...

-Ça te plaît?

-Oui, beaucoup.

Son visage s'illumina. Je pense que le mien aussi.

-Tu es surpris?

-Oui...

-Alors je reprend l'avantage.

Son air narquois revins au galop.

-Mais et pour nos vêtement?

-J'ai tout préparé.

-Comment?

-En appelant les bonnes personnes. Personne n'est entré chez toi rassure toi. Je me suis permis de t'acheter des vêtements.

-C'est...wow.

Personne n'avais jamais organisé ça pour moi. Ni même quoi que se sois. J'en ai pratiquement les larmes aux yeux. Une émotion me submergea. Elle est tellement agréable, et si forte.

-Séraphin, ça va?

J'hocha simplement la tête. Il me prit contre lui. Une nouvelle vague de cette émotion m'envahit. Je glissa mes mains sous sa veste, puis les resserra sur sa chemise. Ses lèvres se posèrent sur mon cuire chevelue tout en murmurant mon prénom.

Lorsque je repris mes esprits, la lune était au plus haut dans le ciel. Caleb avait laissé poser ses lèvres sur mon front tout le temps de notre contacte.

-Caleb?

-Oui?

Nous chuchotions. Certainement du à la peur de rompre cette intimité.

-Merci.

-De rien.

Je m'écarta de lui, puis m'alluma une cigarette. Pendant mes cinq minute d'absorption du cancer, lui partit se changer.

Une fois sortis de la tente, il ne portais plus qu'un jogging, et un teeshirt noir. Ça lui donnai un aire normal. Mais le plus séduisant resté son corps légèrement dessiner sous les vêtements à peine plus large que lui.