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Étant le premier réveillé, je profita du moment pour me branler dans la salle de bain. Seigneur, que se rêve était bon. Je revins dans la chambre.Et a première vue, Caleb aussi faisait un rêve délicieux. En effet son membre tordait son boxer, légèrement humide, certainement du au "près-sperme".

Je ne l'ai jamais remercier de ce qu'il faisait pour moi. Cette manière d'évaluer la situation à chaque fois, de me prendre dans ses bras, m'écouter, ne pas me juger, et surtout de m'avoir proposé un contrat...

Je devrais le remercier...mais comment? Il a déjà tout.

Et si?

Non il risque...

Quoique?

Après tout c'est comme ça que j'ai appris...

Mais pas lui...

Non!

A moins que...

Puis merde!

Je fis glisser son boxer et me mis à le sucer. Doucement au début, puis de plus en plus fort. Son corps se courbait et ses gémissements devenaient incontrôlables. Ses mains agrippèrent fortement mes cheveux, et son bassin se souleva de manière à allé de plus en plus profond en moi. Il finit au plus profond de ma gorge en lâchant des jurons.

Je me redressa, satisfait de sa réaction, et m'approcha de ses lèvres.

-Tu as un petit quelque chose la.

Il passa sa langue au coins de mes lèvres, puis souris.

-Pourquoi, m'interrogea t'il doucement.

-Je voulais te remercier pour tout...

Il caressa délicatement mon visage.

-Tu n'avais qu'à me dire merci tu sais.

-Tu n'as pas aimé mon remerciement? Tu trouve ça trop bizarre.

Je m'écarta de lui en baissant les yeux.

-Non. J'ai adoré, c'est moi qui doit te remercier.

Il releva ma tête, en même temps qu'il relevait son corps, pour se mettre à demis assis contre le dossier du lit.

Ses lèvres, voilà se que je désir le plus chez lui. Je n'ai jamais pus y goutter. L'envie me dévorait petit à petit.

Son téléphone sonna.

Je suis maudit en vrais, ce n'est pas possible.

-Allo?

-...

-Je ne savais pas non.

-...

-Ok, ben ouais comme d'habitude.

Cent contre un que c'est Jordan! Rien que cette pensée me répugne.

Je m'enlève d'au dessus de lui, et part me brosser les dents.

Je vis à travers le miroir Caleb se mettre dans l'encadrement de la porte, en me fixant.

-Je ne savais pas que Jordan avait appelé hier.

-Mvoi vnoncu.

-Je comprend rien, crache le dentifrice, m'ordona t'il.

-Moi non plus. Tu as du manquer son appelle.

J'espère seulement qui vas me croire.

-C'est bizarre car dans mon téléphone, il y a écrit que notre appelle à duré, une minute vingt.

Oups.

-Il devrait être dans ta poche et ça a dû décrocher tout seul.

-Tu te fous vraiment de ma gueule.

Je frotta mon visage dans la serviette sans pour autant me tourner vers lui.

-Séraphin, d'où tu te permet de décrocher sur mon tel, de parler à la personne, et de ne par m'en informer?

-C'est pas la mort.

Surtout quand ça concerne ce con.

-Je te pensai plus respectueux.

-On prend le train à quelle heure?

Ça passe?

-Sérieusement Séraphin.

Ou pas.

Il me tourna le dos et disparue dans la chambre.

J'avoue que je n'est pas vraiment intelligent à se moment là.

Je retourna dans la chambre et rangea mes affaires. Son sac à lui était déjà prêt.

-Du coup, on prend quand le train, osai-je.

-Après le déjeuner, me répond t'il d'un voix sèche.

On passa donc la matinée à ne rien dire, les deux sur le téléphone. Il tweetait, avec la musique à fond dans les écouteurs, moi je regardait des vidéos. Au moment du repas, le silence était encore plus pesant, et dans le train, n'en parlons même pas.

                            **********

Une fois arrivé, je vi une voiture noir, magnifique, qui nous attendait. Un homme nous ouvris la porte, puis démarra.

-Tiens.

Il me tendis une enveloppe que j'attrapa.

-Merci.

Je l'ouvris et vis une somme faramineuse. Vingt mille euros. Je n'y crois pratiquement pas.

-Pourquoi une telle somme?

-On à passé tout le week-end ensemble, tu m'as sucé, et j'ai pus te marquer. Vue que tu ne m'as pas donné tes prix, je me suis basé sur mes anciens escortes. Tu veux plus?

Sa voix était toujours aussi froide que se matin.

Donc même pour lui je suis une pute.

-Non, c'est parfait.

Le silence revins assez vite. Il regardait par la fenêtre. Ses cheveux retombaient sous ses oreille, et ses yeux brillaient, tout comme sa peaux, avec les reflets lumineux de la ville. Après six heures seize de train, au milieu de centaine de gens, à discuter, il est toujours aussi magnifique. On dirait qu'il sort d'un sommeil réparateur parfait.

Il me déposa chez moi.

Je monta dans mon appartement. Étrange, j'étais persuadé l'avoir fermé à clef.

J'entra avec méfiance.

-Tiens, ma pute préféré, ça faisais un by.

Au non pas lui...

Escort boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant