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Nous entrâmes dans une pièce.

-Alors c'est comme ça que tu gagnes ton fric maintenant. En faisant la pute.

-Qu'est-ce que tu fais ici? Et depuis quand t'es riche toi?

Je redevenais agressif.

-Ben j'ai toujours eu du fric contrairement à toi.

Ses mains agrippèrent mes hanches.

-Ne me touche pas ou je balance ton petit trafic au flic.

-Je te rappelle, que tu me dois bien ça.

Je mordis ma lèvre inférieure, il n'avais pas tord là dessus.

-Ah moins que tu préfères que je raconte ton histoire à Caleb? Ou que je tapes scandale en disant qu'un moins que rien en manque de drogue m'a agresser pour voler mon fric.

-Caleb ne te croirais pas.

-Il m'a raconté votre petite nuit à la belle étoile. Tu penses vraiment qu'il ne croirait pas?

Je resserra les poings.

-Apres si tu veux, je peux lui raconter ton histoire, et ce que tu as fais, tu sais la première fois ou tu as perdu le contrôle. Ah ce pauvre gas qui a finit au urgence, il est toujours dans le coma me semble t'il.

Mes poings se relâchèrent, je ne voulais pas que Caleb connaisse cette partis de moi. Ses mains se chargèrent d'enlever mon pantalon.

-Tu vois quand tu veux, tu comprend vite. Aller mets toi dans ta position habituelle.

Je me mis à quatre pattes face à lui.

-Ouvre!

Il tira mes cheveux en arrière, j'ouvris la bouche, et m'abandonna complètement. Il faisait des vas et viens rapide. Ses gémissement gras me répugnais, mais pas autant que la semence qu'il lâcha au fond de ma gorge.

Il passa derrière moi, cracha au niveau de mon anus, et y entra son penis. Je n'avais même plus envie de pleurer lorsque ce genre d'acte était pratiqué sur moi. J'ai trop l'habitude pour ça.

Toujours en moi. Il s'assit et me maintenu de manière à pouvoir me pilonner de l'intérieure. La douleur était atroce. Mais je ne laissais rien paraître.

-Alors sale pute, t'arrives plus à te cambré?

Je me cambra un peu plus, et me prit quelque coups dans le dos et finis par me courbé "correctement".

La douleur devenais de plus en plus intense. Je n'attendais qu'une seul chose, qu'il finisse vite. En réalité, j'avais plus peur du regard de Caleb, que d'un flingue chargé posé sur ma tempe.

Je sentais son sperme coulé. C'était enfin finis. Je me rhabilla et alla au toilette.

Maintenant, je devais faire comme si tout était normal. Caleb ne devait rien savoir de ça. Je sortis mon téléphone et vis un message de James. J'ignorais qu'il s'appelait comme ça. Dans mon quartier tout le monde l'appelaient King.

De King:

Vue que t'as été une gentille chienne, je veux bien descendre ta dette à 80M.

Je ne pris pas la peine de répondre. A quoi bon. Au moins j'avais eu une réduction de dettes.

Je sortis des toilette et vis James, Jordan et Caleb rire ensemble. Plusieurs questions me vains soudain a l'esprit.

Et si Caleb était déjà au courent?

Depuis quand sont-ils amis?

Et si Caleb faisais aussi se genre de choses?

Stupides pensées abjecte.

Je ne verrais pas Caleb faire des choses aussi sale. Mais en même temps je ne le connais que depuis un mois. L'envie de vomir me repris. J'arriva juste à temps au dessus de la lunette. Je dois rentrer mes nerfs lâchent.

De moi:

Caleb je dois rentrer à l'hôtel je crois que je suis malade...

De Caleb:

Pas de problème je vais venir devant l'entrée, rejoint moi je t'appelle un chauffeur.

Je ne tarda pas à le rejoindre. Manque de chance, il était encore avec James.

-Tu nous quittes déjà Séraphin?

-James laisse le, tu vois bien qu'il a l'air mal.

Caleb me tendit un billet de cent euros et un billet de cinquante.

-Tiens pour payer la course. Tu es sur que sa va allé? Tu veux que je rentre avec toi?

-Non, je pense que ça ira, j'ai dû juste manger un truc qui ne me convient pas.

-Tu n'as pas appris à ton escorte que même mal on se doit de rester à une soirée, interrogea James un grand sourire aux lèvres.

-Laisse le, il est encore jeune et il apprend. En plus je préfère le savoir au chaud à l'hôtel, plutôt que mal ici.

Encore jeune. On aurai dit un gas de trente piges qui parle. On n'a jamais que trois ans d'écart!

Le taxi arriva, et me ramena à l'hôtel. J'entra dans la chambre, et me pris une douche bien chaude avant de me glisser sous la couette.

C'était donc ça qu'il pensait de moi? Que j'étais un gosse.

Escort boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant