Escort boy

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-Tu fous quoi ici?

-J'avais envie de baisé.

-T'es entré comment?

-Ta serrure est facile à crocheté. Maintenant toi et moi on doit parler d'un truc sérieux.

-Quel truc?

Je jette mon sac au sol et me pris un verre d'eau.

-J'ai plus de plan cul.

-Tempis pour ta gueule. T'as vingt cinq ans, t'es assez grand pour en trouver un.

-Justement, je veux que se sois toi, et t'inquiètes pas je décompterai ça de ta dette.

Une simple pute aux yeux de tous...

-Or de question.

Il se leva en souriant.

-Très bien, c'est Ryan qui en payera les conséquences.

Je laissa mon verre s'exploser au sol.

-Laisse le en dehors de ça.

-Tu as dis que tu refusais mon offre, donc à plus.

-Fait moi mal.

Il ne tarda pas à succomber à mon offre. Ors de question qu'il s'en prenne à lui.

-Déssape toi.

Je lui obéi, et laissa uniquement mon teeshirt sur ma peaux. J'entendis sa fermeture éclaire s'ouvrir. Il cracha sur mon anus puis entra violemment. Il écrasa ma tête sur la table en lâchant des râles aussi répugnant les uns que les autres.

-Cris comme une chienne.

Dieux merci, je simule plutôt bien. Car l'envie de crié de plaisir n'était vraiment pas présente. Il finit en moi quelque dizaine de minute plus tard.

Répugnant est un mot terriblement faible pour décrire cet acte.

-Enlève ton teeshirt!

Impossible pour moi de bouger à cause de la pression qu'il émet sur mon dos et ça il le sais parfaitement.

-Tu veux vraiment jouer à ça? La pute désobéissante.

Le bruit de sa ceinture me donna un frisson désagréable. Je savais parfaitement ce qui allé se passer. Une routine. Un simple quotient. Et pourtant... à chaque fois mes larmes désiraient sortir. A chaque fois mon corps se meurtri un peu plus. A chaque fois je me dis que je devrais mettre un therme à tous ça. A chaque fois tout ce calme, je me dit que c'est enfin fini. Et à chaque fois ça recommence.

Il arracha mon teeshirt. La ceinture claque sur ma peaux, de plus en plus fort, j'ai eu bau essayé de me défendre, mes mains et mes pied se sont retrouvés liés à la table.

-Dit moi salope, ça te dirais une petite partis à plusieurs?

-Non.

-Tu parles trop.

Il prit du scotch et m'en colla sur la bouche. Puis rigola, et m'en mis sur les yeux.

Quinze minute plus tard, d'autre gas et des jeunes femmes entrèrent dans mon appartement. Ils me prirent à tour de rôle. Les filles me giflées, et s'amusaient à maltraiter mon penis, et les mecs, à me pilonner et à éjaculer sur ma peaux.

-King, contant que tu nous ai invité.

-Que la fête commence.

J'entendis le bruit d'un appareil photo.

Je suis complètement couvert de honte. Surtout si King montre cette photo à Caleb,  je ne tiendrais jamais le coût.

Voilà mon quotidien, et je ne peux en vouloir qu'à moi même. Si je ne m'étais pas enfoncé dans les dettes, je n'en serais pas là aujourd'hui.

                                ***********

Du sperme coulais de mon anus, mélangé à du sang. Mon penis étais lui aussi en sang. La douleur était insupportable, insurmontable. Une véritable horreur. Le peu de force qu'il me restait me servit à enlever les scotches de ma bouche et mes yeux.

Maria débarqua chez moi, sans prévenir. Je n'ai malheureusement pas eu le temps de me laver avant qu'elle arrive.

-Séraphin...

-Dégage.

-Enfile un pantalon, on part à l'hôpital.

-Non!

Ma tête se mis à tourner soudainement, et la douleur à se faire encore plus intense. Je ne pensais pas que cela pouvais être possible.

-Séraphin, reste avec moi...allé mon petit cœur tiens le coup...