Escort boy

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Finalement j'étais resté chez Maria. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais elle tenait à ce que je reste au repos totale. Je n'avais même pas eu le droit de l'aidé à faire la vaisselle. Enfin.

Caleb sonna à sa porte. Elle lui ouvrit gentiment, et l'invita à entrer.

Après m'avoir salué, il me lança une veste en cuire noir, un peu grande pour moi, et un casque.

-On part à moto, demandai-je souriant.

-Ouais, c'est pour ça que je t'avais dis de mettre un jeans et des bonnes chaussures.

L'enthousiasme monta en moi. Je n'ai jamais eu la chance de chevaucher une moto, mais l'envie était présente en moi depuis l'enfance.

-Génial!

-Par contre, on ne va pas tarder, j'ai promis à mes parents qu'on serai là pour midi.

-Ça marche.

Je pris Maria dans mes bras, en la remerciant mille fois. Elle a toujours été la, quoi qu'il se passe, et j'espère que ça continuera. Je l'aimais plus que tout au monde. Elle était le mélange parfait entre une soeur, une amie, et une maman. Et je comptais bien lui rendre l'appareil un jours ou l'autre.

-Je t'aime beau gosse.

-Moi aussi je t'aime beauté.

Caleb leva les yeux au ciel face à la niaiserie de la situation.

-Désolé de te le piquer, mais il faut vraiment qu'on parte.

-Caleb, je n'ai pas de vêtement pour chez tes parents.

Je suis plus que gêné de lui avouer ça.

-Pas grave, tu prendras les miens. Maintenant on y vas, si on arrive en retard, ma mère vas criser.

Une fois en bas, il m'aida à monter sur sa moto, et vérifia mon casque.

Nous avions fait à peine cents mètre que la peur de tomber était partis, et avais laissé place à un véritable bonheur. Cette sensation de liberté, et de solitude étais juste incroyable. Je resserra mes mains autour de sa taille, et laissa mon pensées s'envoler.

**********

Nous arrivâmes devant une maison beige, avec un joli ré-de jardin fleuri de roses. Il gara sa moto devant une grande porte de garage grise, puis m'invita à descendre. Il m'enleva mon casque, après avoir enlever le sien, en affichant un sourire magnifique.

-Attend, tes cheveux sont en bataille.

Sa main passa dans mes cheveux, puis caressa mon visage.

-Voilà, la tu est parfait.

-Et toi tu as des mèches qui rebiquent.

Je le recoiffe à mon tour.

Il pris ma main et me traîna jusqu'à la porte d'entrée.

Une femme, taille moyenne, blonde, les yeux verts, ouvris la porte.

-Bonjour les garçons, allez y entré, dit elle d'une voix douce.

Caleb la pris dans ses bras avant d'entrée.

Le séjours, salle à manger, donnait l'impression de sortir d'un magazine. Blanc, avec quelque touche de marron, comme la table, ou les meubles.

-Maman je te présente Séraphin, mon ami.

-Enchanté, je suis Sandra Smis, la mère de Caleb.

-Enchanté madame Smis.

-Au non, pas se genre de manière, appelle moi Sandra.

Je fis un "oui" de la tête hésitant. J'ai toujours au le besoins de respecter les parents, malgré l'image que j'en ai eu.

-Bonjour Caleb.

-Salut papa.

Il s'avança en lui faisant la bise.

-Papa, voici Séraphin.

-Enchanté, Patrick.

Je sera la main qu'il me tendit.

-Enchanté.

-Alors c'est lui ta pute?

Une voix d'adolescent entrain de muer, se fis entendre des escaliers. Un garçon, quinze ans je dirai, les cheveux blonds très courts, les yeux marrons, portant un teeshirt blanc, simple, avec un jeans, et des baskets noir, descendit.

-Ferme ta gueule.

Caleb devint soudainement agressif.

-Les garçons s'il vous plaît! Pas de ça! Ordonna Sandra.

-Séraphin, voici mon petit frère, Dimitri.

-Sal...

-Je parle pas au pédé, me coupa t'il.

Au moins je suis fixé.

-Respecte le c'est pas une merde comme toi!

-C'est la tapette qui parle? Moi au moins je suce pas des grosses bites comme une salope!

-Dimitri stoppe! Tu te calme tout de suite! S'exclama Patrick d'une voix dure.

-Pardonne le Séraphin, il a beaucoup de mal avec l'homosexualité.

-Ce n'est rien madame...Sandra.

Un homme brun comme Caleb entra, accompagné d'une jeune femme rousse.

-Bonjour tout le monde.

-Grand frère!

-Petit frère!

Caleb se jeta dans les bras de l'homme. Je n'avais jamais vue de frères se serrer aussi fort.

La rousse fis la bise à tout le monde, puis se présenta à moi.

-Manon.

-Séraphin.

-Mik, voici Séraphin, Séraphin, Mikael, mon grand frère.

-Salut.

-Salut.

On se fit la bise, puis il se tourna de nouveau sur Caleb.

-Suis-je le meilleur grand frère du monde?

-Oui!

-Devine ce que Manon et moi avons trouvé à l'aéroport.

-Euh...un chient?

-Encore mieux.

-Euh...

Un sosie de Caleb, une copie conforme, un double identique, passa la porte.

Il est magnifique.