La voleuse

Chapitre 11

J'attrape mon téléphone et je le déverrouille pour regarder mes messages :

Je ne voyais pas de quoi voulais me parler mon ami alors j'éteignais mon téléphone et je remonta dans ma chambre pour me coucher.

**

_ quel est la seule radio qui paye ton loyer ?
_ Virgin Radio !
Je coupa mon réveil qui me hurlais dans les oreilles. Je sortis de mon lit et je me dépêcha de me préparer pour aller en cour.
Une fois devant le collège je vis Benji' entrain d'attendre je m'approchai de lui doucement pour lui faire peur, je remarqua soudainement qu'il avais un endroit dans les cheveux ou sa couleur était plus foncé, j'en fis abstraction et je posa mes mains sur ses épaules en même temps que je lui disais « bouh ». Il sursauta et se tourna vers moi.
_ t'es cinglée ! Tu m'as fais super peur ! Dit-il mort de rire.
_ je vois ça. Au fait je voulais savoir ce que tu dis dans ton message j'ai rien compris.
_ j'ai plusieurs chose à te dire. De une, la personne qui a voler ton téléphone et qui détiens ton compte Instagram, s'amuse à envoyer des nudes à tout les gars de la classe...
_ attends c'est une blague ?! M'exclamais-je.
_ non, Joss' est venu me voir toute à l'heure pour me dire : « dis à ta chaudasse de copine qu'elle est vachement bien foutue » et j'ai tout de suite compris.
_ pourtant il c'est que ce n'est pas moi qui ai mon téléphone !
_ tu sais, je le connais bien et si ça l'arrange d'oublier ça, il fera tout pour l'oublier.
_ je fais comment ? Demandais-je paniquée.
_ fais comme ci de rien étais, t'inquiète pas je serais toujours à coter de toi pour veiller à ce qu'il ne face rien de déplacer.
_ merci. Lui dis-je.
_ et la deuxième chose c'est à propos des deux dernières semaines, je suis désolé de ne pas avoir donner de nouvelles.
_ je t'en veux un peu, mais tu devais avoir une bonnes raisons.
Il me sourit tristement en approuvant. On rentre dans le collège et on monta les escaliers, tous les garçons de la classe me regardèrent avec des regard pervers et des sourires en coin. J'allais m'asseoir à ma place et le cours commença.
_ vous êtes enfin de retour Bejamin. S'exclame la professeur en rentrant.
_ c'est Benjamin. Répliqua celui-ci exaspérer.
La prof l'ignora et le cours passa trop longuement à mon goût, je ne supportais pas le regard des garçons sur moi.
Quand le cours se termine je me leva et je rangea mes cahiers dans mon sacs je me dirigea vers la porte avec Benji' à mes côtés. Une fois dans les couloirs Joss' passa à coter de moi et me mis la main au fesse. Je me tourna et le gifla directement, Benji' le regarda furieux.
_ qu'est-ce que tu viens de faire la ?! S'emporte mon ami.
_ a mon avis ça ne dois pas la déranger tant que ça vue les jolies photos qu'elle m'envoie. Lui répondis son jumeau avec un sourire pervers.
Benjamin l'attrapa par le col de son teeshirt et le plaqua au mur et commença à le frôler au visage. La scène était vraiment bizarre à voir. Mon ami se défoulais sur son frère jumeau qui était mort de rire.
Au moment où Benji' allais lui asséner un violent coup de poing je lui attrapa le poing et je le tira en arrière. Mais Joss' rattrapa son frère et lui mis un poing dans le nez, j'écartai les personnes qui c'était mis devant Joss' pour le protéger et je le frappa dans les bijoux de familles et dans le nez. Je rejoignis mon ami à l'autre bout du couloir et en remarquant que son nez saignais abondamment je décida de l'amener à l'infirmerie malgré ses contestations.
On descendis les escaliers, tout ça pour rien car l'infirmerie était fermer. Je l'emmena donc dans les toilettes, je pris des mouchoirs dans mon sac et je le fis s'asseoir par terre, j'essuya le sang qui coulait de son nez. Je me lève pour aller mouillé un autre mouchoir au lavabo et je revins m'agenouiller près de lui, je posa le kleenex sur son nez pour atténué la douleur. Il tressaille au contact de sa peau avec le papier, je continua ensuite de nettoyer le sang qui avais sécher sur ses joues puis sur ses lèvres.
_ Benji' tu as du sang dans les cheveux...
je me pencha vers lui et au moment où j'allais essuyer le liquide rouge, il détourna la tête et planta ses beau yeux dans les miens.