Bonsoir cher lecteur !
Aujourd'hui j'aimerais te raconter ce que je fais de mes journées, en ce moment je fais une étude sur les gens, je me fait passer pour un étudiant en seconde année de Licence de psychologie et qui à pour mission donné par son professeur de faire un petit sondage auprès de personnes qualifiées de "mûre". Cet sondage porte sur les principes moraux. Bien sûr toute cette histoire est fausse, tout ce qui m'intéresse en fait c'est voir si des gens réussisse à penser de la même façon que moi, c'est à dire être prêt à affronter le problème et mesurer avec quelle difficulté ils arrivent à le résoudre. Le problème est en deux questions, je ne vous donnerais pas le contexte mais plutôt l'analyse histoire que si un jour quelqu'un vous le demande vous ne saurez pas forcément faire le lien, sachez juste que pour les conditions de l'expérience, les personnes ne vous connaissent pas, et vous ne les connaissez pas. Donc en deux questions, la première je demande à la personne si il préfère laisser mourir un groupe de personnes ou choisir de laisser mourir une seule personne. La grande majorité des gens interrogés préfère choisir de laisser mourir une seule personne, en gros choisir "le mal au pire". Après quoi je leur demande de noter la difficulté qu'ils ont eu à répondre au problème posé, dans une majorité un peu moins grande ils ont pas une grande facilité à y répondre. Suite à quoi je change un tout petit peu le problème, cette fois ci je leur dit que ce même groupe de personnes mourrons si et seulement si la personne interrogée tue de ses propres mains une seule personne. Dans ce cas les réponses sont très partagée entre le fait qu'ils ne préfère pas prendre part dans l'histoire et refuse donc de répondre et le fait ils ne tuent pas cette personne. Sauf que la ils ont beaucoup plus de difficulté à répondre, souvent même ils préfèrent retarder le plus possible le moment de la réponse en cherchant des failles dans les conditions d'expérimentations, sans résultats probants.
Du coup cette analyse soulève quelque chose d'important pour moi, ou est la limite de cette morale ? Est ce que laisser mourir cinq personnes malade c'est préférable à deux personnes saines ?
Ma réponse au problème que je leur pose c'est dans les deux cas que une seule personne meurt. Peut importe si c'est moi qui l'ai tué ou non, au final quelqu'un sera quand même mort alors c'est mieux qu'une seule personne meurt.
Vous avez pu le comprendre ou eu le temps de chercher les "symptômes" de ma personnalité déviante, la moral est pour moi quelque chose de particulièrement abstrait qui limite l'humain lambda.
Et vous ? Auriez vous laissé cinq personnes mourir ? Ou auriez choisi d'en sacrifier une pour en sauver cinq ?
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Courtes pensées d'un Sociopathe
DiversosCeci est un recueil de petites histoires et questionnement, qui, venant de ma pensée supérieure, vous gênerons très probablement où vous ferons sourire. Vous y retrouverez des idées, pensées ou actes (dans de rares cas) qui pour vous, sortirons sûre...