C'est omniprésent, on ne réussit pas toujours ce que l'on fait, quand quelque chose ne marche pas, quand une personne découvre quelque chose qu'elle n'aurait pas dû, quand vous êtes accusé à tort de quelque chose... bref, quand quelque chose de non prévu et qui ne va pas notre sens, c'est un problème. Mais ça tout le monde le sait, alors pourquoi en parler ?
C'est le but de ce livre non ? Parler d'un sujet avec un point de vue hors du commun, vous êtes là pour ça après tout non ? Regarder le spectacle et apprendre.
Mais peut-on vraiment parler d'un problème si un seul des deux parties le considère comme cela ?
Il est de reconnaissance quasiment mondiale que le meurtre est problématique pour la victime, mais ce n'est peu souvent le cas pour le meurtrier. Alors est-ce un problème ?
Comme vous voyez dans cet exemple que je reprends très souvent, le problème n'est pas global mais subjectif. Alors si ce n'est un problème que pour vous... Est-ce vraiment un problème ? Qui êtes-vous pour vous permettre de dire que quelque chose est un problème car VOUS l'avez décrété ?Dans le cas du meurtre, le problème est évidemment éthique, mais comme vous le savez déjà, l'éthique est très relative, des pratiques très mal vue d'un point de vue éthique en occident sont pourtant monnaie courante dans certaines régions du monde. Alors est-ce limité à notre culture et notre société ou alors existe-il une définition générale à chaque être humain sur ce qu'est un problème ?
Et si le problème était justement de vouloir créer une définition générale ? Pourquoi vouloir établir des règles transcendantes à toutes vies humaines ? Laissez-nous vivre tel que nous le souhaitons bordel, arrêtez d'enfermer le monde dans un carcan de valeurs bien pensantes que VOUS jugez valables.
Mais une société comme ça serait invivable. Chacun vivrait comme il le voudrait, il n'y aurait plus aucune structure, plus aucun ordre, plus de respect. L'humain n'est pas fait pour être libre car si nous l'étions, nous causerions énormément de problèmes, et cela conviens très bien à certaines personnes, beaucoup savent ne pas être libre, le vivent très bien et en sont même content. Pourtant le fait de ne pas être libre est un problème selon d'autres personnes. Qui a raison ? Devons-nous accepter d'écraser la minorité car elle n'a pas réussi à s'élever suffisamment haut afin de devenir majoritaire, quand bien même ce serait éthiquement très discutable ?
Vous ne l'aurez probablement pas déjà lu mais j'ai écrit « La haine de vivre », dans cette œuvre je parle précisément de ça, le fait que concrètement ce n'est pas spécifiquement ce que pense l'humain qui est un problème... C'est lui le problème, nous vivons dans un monde aux ressources limitées et gaspillées, tout les jours des humains meurt car d'autres humains décide de partir du principe que ce qu'ils disent ou pense n'a pas de valeur, tout les jours des humains décide pour les autres de ce qui serait le mieux pour eux alors qu'ils ne font que choisir ce qui les arrangent, tout les jours des humains sont démis de leur statut d'humain car des personnes comme moi décidons qu'ils ne mérite pas de vivre sur le simple fait qu'ils ont agit d'une manière dont il ne fallait pas alors qu'ils sont sensé mériter ce statut comme tout le monde sur terre.
Alors comment réagir à ça ? Comment réagir quand un problème de taille survient ?
Avant de donner ma réponse personnelle à cette question, réfléchissons sur la meilleure façon d'y réagir de manière générale et pas seulement celle qui serait la meilleure pour vous ou pour les autres.L'idée de base d'un problème est qu'il est négatif et donc dans l'hypothèse où la vie devrait être la plus positive possible alors il faut régler le problème en le faisant disparaitre, soit en revenant à comment était la situation avant l'apparition du dits problème, soit en s'orientant vers une nouvelle situation où ce problème n'existe pas, jusque là j'imagine que tout le monde s'accorderais à approuver cette méthode.
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Courtes pensées d'un Sociopathe
LosoweCeci est un recueil de petites histoires et questionnement, qui, venant de ma pensée supérieure, vous gênerons très probablement où vous ferons sourire. Vous y retrouverez des idées, pensées ou actes (dans de rares cas) qui pour vous, sortirons sûre...