Chassez et découvrez les trésors d'encre d'un monde fantaisiste, rencontrant des personnages haut en couleur avec des personnalités attrayantes, dans un livre dédié à de bons moments plaisants.
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Les images de la cover ainsi que les médias qui ser...
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Normale et toute mignonne, disait Nobunaga en buvant sa bière.
Feitan mourrait d'envie de l'attacher à une chaise pour le torturer toute la journée. Elle avait une très grande force qu'elle-même ne remarquait pas.
Malgré ça, le jeune homme se sentait bête, après tout elle restait la sœur de l'épéiste de la Brigade... Comment pouvait-il en penser autrement ? Elle était puissante à sa manière, maîtresse dans les coups bas et surdouée pour les attaques surprises.
Ses yeux se posèrent sur ladite jeune (Prénom) qui discutait avec Machi et Bonorenof. Elle tenait entre ses mains une chaîne avec un boulet à l'extrémité, une carte de la ville sous elle. Ses sourcils se contractèrent en la voyant tenter de retrouver l'homme à la chaîne. Grâce à son Nen, elle pouvait localiser tout les utilisateurs dans les environs à plus de cinq cent kilomètres mais ne peut connaître leur identité, n'affichant qu'un point rouge à leur emplacement actuel.
Mais avant même de pouvoir utiliser cette capacité, elle devait faire égoutter son sang pendant plus de deux minutes pour ne serait-ce réussir à l'activer pendant trente secondes.
Une capacité qui pouvait s'avérer dangereuse pour le "bâtard à la chaîne" qui logeait surement à York Shin. Trois jours s'étaient écoulés depuis sa disparition, deux jours et cinq heures depuis qu'ils avaient retrouvé six pieds sous terre Uvôgine et encore quatre où leur chef disparut aux mains de l'ennemi.
Une vague de vertiges traversa sa vision alors qu'il essuyait avec rage ses yeux à moitié fermés dû à la lumière qui traversait les grandes fenêtres brisées de la cathédrale.
Puis, lentement la vision de (Prénom) tentant de retrouver l'enfoiré à la chaîne s'obscurci pour laisser place à Machi et Franklin qui parlaient en chuchotant pour ne pas réveiller un Nobunaga attaché à une poutre non loin d'eux.
L'environnement disparaît lorsque le jeune homme frotta ses yeux avec ses manches une nouvelle fois. A présent, il observa chaque membre de la Brigade broyant du noir à la perte de quatre personnes extrêmement importantes en si peu de temps, dont un étant leur précieux chef.
Où était-il même ? Est-ce que son esprit lui jouerait des tours ? Que se passait-il ?!
- Feitan, est-ce que tu te sens bien ?
L'interpellé leva sa tête vers Shizuku qui nettoyait ses lunettes avec un chiffon. Il acquiesça d'un simple mouvement de tête tout en continuant la lecture son livre de torture.
Son esprit était confus. D'abord, il se trouvait dans la taverne où se déroulait les bras de fers clandestins, surveillant la jeune fille qui buvait un verre d'eau en compagnie de Machi et Bonorenof. Et maintenant, il était assis sur l'emplacement de leur ancien chef.
Ses souvenirs commencèrent petit à petit à le hanter. Était-ce un traumatisme ? Pakunoda, Uvôgine, Kuroro et (Prénom)... Peut-être était-ce cela qui le faisait flancher ?
Il ne devait pas faiblir face aux autres mais aussi... Continuer à exercer le remplacement de leur ancien chef. Feitan ne devait pas se laisser abattre... Il ne devait pas... Il ne devait pas !
Le jeune homme expira bruyamment tout en fermant son livre d'un claquement fort, ce qui attira l'attention de ceux qui ne dormaient pas. Il descendit l'estrade silencieusement et se rendit jusqu'au jeu Greed Island. Finalement, accompagné ou non, il s'y rendrait plus tôt que prévu.
Il devait changer d'environnement avant que le dernier fil fragile de sa santé mentale ne finisse par se rompre.
Alors, utilisant son nen, il entra dans le jeu sous les yeux désolés de Machi qui juste avant observait Nobunaga. Le bâtard à la chaîne avait tué sa sœur en même temps que son meilleur ami, son frère d'arme. De ce fait, chacun savait que lorsqu'il reprendrait confiance, l'homme serait incontrôlable.
Depuis ce jour, Feitan et Nobunaga promirent d'un jour retrouver Kurapika pour le tuer dans d'abominables souffrances.
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