« -tiens tu t'en va déjà Asmita ?
-et oui Deuteros.Je dois me rendre à Nantes pour rencontrer un ami de Shion tu sais bien.
-oui oui, à Nantes tu dis, alors tu passeras voir Aldébaran certainement, tu lui passeras la bonjour de ma part.
-bien entendu. »
Asmita entendit son dernier bagage être attaché au carrosse et monta à l'intérieur. Deuteros le regarda partir, lui aussi aurai bien aimer y aller mais il devait rester par respect pour son cousin qui était resté chez lui la nuit. Enfin lui et les bonnes manières...
« -tu sais,Degel il s'en fout si t'es pas là, quoi que... t'es plus sympa qu'lautre alors...
-Manigoldo ?
-bah quoi moi aussi j'suis resté. Attends c'est Degel qui paye le carrosse.
-bof de toute façon il est déjà parti.
-écoute Deut', tu détestes ton frère, cette endroit et tu préfères de loin rester avec ton meilleur ami. Tu crois pas qu'il y a un problème ? C'est pas encore perdu pour le rattraper à cheval tu sais ?
-je vais le gêner dans ses affaires.
-te trouves pas d'excuses je suis sûr qu'Asmita sera ravie d'avoir quelqu'un qu'il connait pour être avec lui sur le voyage.
-moi pas.
-sur et certain,continua Manigoldo sans l'écouter en fermant les yeux et en inclinant la tête positivement. »
Deuteros n'hésita pas beaucoup plus, il prit son cheval et sans se changer, ni en emportant quoi que se soit, seulement ses vêtements d'entrainements (une chemise, un pantalon avec accroché à sa ceinture son épée,et une paire de bottes) il galopa vers le carrosse.
« -messire Asmita quelqu'un vient.
-moui je me doute. »
Deuteros arriva à auteur du carrosse et s'approchant de la fenêtre de la petite porte il vit le rideau se relevé.
« -pas surpris ?
-pas pour un sous,répondit Asmita, tu as seulement mis un peu plus de temps que je ne le pensais.
-...comment ?
-tu détestes cemanoir, tu t'en plein toujours et tu te plein de ton frère il n'est pas étonnant que tu t'enfuis.
-mouais apparemment je ne fait que dire ça. Comme ça je jouerai le garde du corps.
-si tu le souhaites. »
Asmita souri, lui aussi aimais bien la présence de son ami et pour une fois il était heureux qu'ils fassent le voyage ensemble.
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Kardia se réveilla malgré lui dans une chambre qu'il ne connaissait pas. Il était dans des draps immaculé et autour de lui de somptueux meubles ornaient la pièce. En tournant la tête il sourit en voyant Albafica assit sur une chaise endormit, sa tête dans ses bras croisés sur le matelas du lit.
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The Last Canvas
FanfictionDans le Paris du XVIIIè siècle, deux assassins nés dans la misère et la pauvreté sont obligés de tuer pour survivre. Tuer ou être tué. Mais leur destin change du tout au tout dès lors qu'ils rencontrent deux nobles qui leur apporterons leur aide. Vo...